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Air et pollution atmosphérique

Air et pollution atmosphérique

La pollution et l’ozone Norovirus Norovirus is a genus of genetically diverse single-stranded RNA, non-enveloped viruses in the Caliciviridae family.[1] The known viruses in the genus are all considered to be the variant strains of a single species called Norwalk virus. The viruses are transmitted by fecally contaminated food or water, by person-to-person contact,[2] and via aerosolization of the virus and subsequent contamination of surfaces.[3] Noroviruses are the most common cause of viral gastroenteritis in humans, and affect people of all ages.[4] Norovirus infection is characterized by nausea, forceful vomiting, watery diarrhea, abdominal pain, and in some cases, loss of taste. Winter vomiting bug is a common term for noroviruses in the UK, because the virus tends to cause vomiting and to spread more easily in winter, when people tend to spend more time indoors and near to each other.[5] The genus name Norovirus is derived from Norwalk virus, the only species of the genus. Diagnosis[edit] Virology[edit] History[edit]

Le transport routier reste la plus importante source de pollution de l’air en Europe Est-on certain que le transport routier est la source la plus importante de pollution en Europe, tout au moins en période de chauffage ? Ce n'est pas l'avis du programme scientifique européen Carbosol qui a rendu son verdict le 15 Décembre 2007 : "La combustion de biomasse (feux de cheminée, feux agricoles et feux de jardins) est responsable de 50 à 70% de la pollution carbonée hivernale en Europe". Savez-vous que la combustion du bois en France pollue beaucoup plus que l'ensemble du transport routier ? Selon les estimations du CITEPA, qui assure la réalisation technique des inventaires dans notre pays (mise à jour de février 2008), pour TOUTE l'année 2006 : Le bois-énergie émet 26% des PM10 (particules de taille inférieure à 10 micromètres), 39% des PM2,5 et 64% des PM1 (les plus nocives avant les encore plus inquiétantes nanoparticules : les PM0,1 malheureusement non encore inventoriées). Le transport routier : respectivement 11%, 12% et 16%, on pourrait presque dire : seulement !

L'action du Canada sur les changements climatiques - Information sur les changements climatiques - missions de gaz effet de serre Pays Tous les pays émettent des gaz à effet de serre du fait de leurs activités naturelles et humaines. Les pays développés, dont le processus d'industrialisation a débuté il y a 150 ans et qui dépendent de l'énergie pour faire fonctionner les véhicules et les usines et pour chauffer les maisons, produisent habituellement plus de gaz à effet de serre que les pays en développement. Ainsi, la Chine serait actuellement le pays qui émettrait la plus grande quantité de gaz à effet de serre. On trouvera de plus amples renseignements concernant les émissions de gaz à effet de serre des États membres de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) sur la page Web consacrée aux rapports nationaux aux termes de la CCNUCC à l'adresse suivante : (en anglais seulement). Secteurs

Murine Norovirus: a Model System To Study Norovirus Biology and Pathogenesis Human noroviruses are the major cause of nonbacterial, epidemic gastroenteritis worldwide (19, 23, 33, 46) and cause significant numbers of endemic cases, as well. One study from 1999 estimated that, in the United States alone, human noroviruses cause 23 million cases of gastroenteritis and 50,000 hospitalizations per year (49). Norovirus outbreaks involve people of all ages and often occur in crowded locations, such as cruise ships, aircraft carriers, nursing homes, hospitals, schools, and restaurants (23). Noroviruses are classified as class B biological agents due to their high infectivity and stability and to the suddenness of outbreaks and the debilitating nature of the disease. Although most noroviruses have been associated with gastrointestinal disease in humans, noroviruses of cattle, swine and mice have also been identified (36, 44, 70). The first norovirus to infect mice, MNV-1, was described in 2003 (36). Phylogenic analysis of the Caliciviridae.

Coût de la pollution atmosphérique en Europe Combien coûte la pollutionen Europe ? Selon l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), qui est chargée d'informer la Commission européenne, le coût total de la pollution atmosphérique en Europe est de 59 àt 189 milliards (le montant varie selon la méthode de calcul utilisée). Les choses s'améliorent car en 2008, ce coût représentait de 79 à 251 milliards d'euros. Autrement dit, c'est l'équivalent du PIB finlandais que les Etats membres ont du "perdre" en 2012 à cause de la pollution atmosphérique, due pour beaucoup aux centrales thermoélectriques, notamment celles qui fonctionnent au charbon. Environ 90 % des citadins de l’Union européenne (UE) sont exposés à l’un des polluants atmosphériques les plus nocifs et à des niveaux jugés dangereux pour la santé. Alerte pollution : comment vous protéger ? COMPARER : Nombre de décès prématurés en Europe dus à la pollution de l'air COMPARER . COMPARER : Décès dus à la pollution atmosphérique dans le monde Statistiques mondiales sur la pollution

Indicateurs environnementaux - Émissions de gaz à effet de serre par secteur économique Une répartition des émissions du Canada par secteur économique montre les sources des émissions de gaz à effet de serre (GES) au Canada en 2012. Les émissions peuvent être attribuées à sept secteurs clés de l'économie : Exploitation pétrolière et gazière (25 % des émissions totales); Transport (24 %); Électricité (12 %); Bâtiments (11 %); Industries touchées par les échanges et rejetant de grandes quantités d’émissions (11 %), Agriculture (10 %); Déchets et autres (7 %). Répartition des émissions de gaz à effet de serre par secteur économique, Canada, 2012 Voir les données de ce graphiqueComment cet indicateur est calculé Note : Le secteur « Déchets et autres » inclut les émissions de l'industrie légère, de la construction, des ressources forestières, des déchets et de la production de charbon. Indicateurs connexes Renseignements supplémentaires Date de modification :

Notions - Effet toxique 5. Qu'est-ce qu'un effet toxique ? 5.1 L'effet toxique Lorsqu’un individu absorbe des produits chimiques, divers effets biologiques peuvent se produire et se révéler bénéfiques (ex. : l’amélioration de la santé après l’administration d’un médicament) ou néfastes (ex. : une atteinte pulmonaire suivant l’inhalation d’un gaz corrosif). Le fait d’inhaler, de toucher et même d’ingérer des substances chimiques n’entraîne pas nécessairement un effet toxique. La toxicité englobe l’ensemble des effets néfastes d’un toxique sur un organisme vivant. L’effet néfaste est lié à la dose, à la voie d’absorption, au type et à la gravité des lésions ainsi qu’au temps nécessaire à l’apparition d’une lésion. Un effet aigu se fait sentir dans un temps relativement court (minutes, heures, jours), tandis qu’un effet chronique ne se manifeste qu’après un temps d’exposition relativement long et de façon permanente (semaines, mois, années). Tableau 5. Figure 5. 5.2 Comment survient et évolue un effet toxique

Pollution de l'air intérieur : avis d'expert Vincent, l’animateur du blog de la consommation responsable Consommer Durable s’est penché sur le sujet de la pollution de l’air intérieur. Comme chacun sait et aussi étonnant soit-il, l’air intérieur de notre domicile, de notre bureau, est plus vicié que l’air extérieur. Pour aller plus loin, Vincent a rencontré le professeur Damien Cuny, toxicologue spécialisé dans la pollution de l’air intérieur. La pollution de l’air intérieur a connu récemment une actualité en la création d’un affichage environnemental sur les produits de décoration, d’ameublement et de construction de l’habitat. Peintures, papiers peints, vernis, colles, tapis sont désormais classés de A à C selon le potentiel d’émissions de polluants organiques volatils. Aujourd’hui, j’ai eu l’occasion d’interviewer le professeur Damien Cuny, toxicologue spécialisé dans la pollution de l’air intérieur, exerçant au sein de l’université des sciences biologiques et pharmaceutiques de Lille. Ne pas se calfeutrer

Les intoxications au monoxyde de carbone Avec une centaine de décès en moyenne par an, le monoxyde de carbone (CO) est la première cause de mortalité accidentelle par toxique en France. Entre le 1er septembre 2013 et le 31 mars 2014, 1 028 épisodes d’intoxication domestique au CO survenus par accident et impliquant 3 050 personnes, ont été signalés au système de surveillance de l’Institut de veille sanitaire (InVS). Pourtant, certains symptômes sont annonciateurs d’une intoxication au monoxyde de carbone : maux de têtes, nausées et vomissements. Bien identifiés, ils permettent de réagir rapidement et d’éviter le pire. Il est essentiel que chacun, professionnels de santé ou sociaux, installateur ou revendeur de matériel de chauffage, mais aussi chaque citoyen, soit vigilant afin de dépister au plus tôt cette intoxication encore mal connue. Comment éviter les intoxications au monoxyde de carbone en hiver ? La campagne de prévention annuelle 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Nombre de décès prématurés en Europe dus à la pollution de l'air La pollution atmosphérique en Europe Combien de décés prematurés dus à la pollution en Europe ? 403 000 personnes Selon le dernier rapport de l'Agence Européenne pour l'Environnement ( 2012) des Européens sont exposés à des concentrations de O3 supérieures aux recommandations de l’OMS. La pollution atmosphérique causée par les grands établissements industriels a coûté entre 102 et 169 milliards d’euros à l'Europe en 2009. La pollution atmosphérique endommage la santé en Europe Environ 90 % des citadins de l’Union européenne (UE) sont exposés à l’un des polluants atmosphériques les plus nocifs et à des niveaux jugés dangereux pour la santé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Le rapport 'Air quality in Europe – 2013', est une contribution de l’AEE à la révision par la Commission européenne de la politique européenne de la qualité de l’air et à l’Année de l’air de l’UE. Les véhicules, l’industrie, l’agriculture et les habitations contribuent à la pollution de l’air en Europe.

chapitre8 1.1. Bases moléculaires du cancer Un néoplasme est la conséquence d’anomalies successives qui perturbent de façon permanente la prolifération cellulaire. Dans la cellule cancéreuse il y a rupture permanente de l'équilibre entre les signaux intracellulaires : activation de voies stimulatrices Suppression de voies inhibitrices La coexistence de plusieurs événements est nécessaire à la transformation cancéreuse. Agents initiateurs : ils induisent une lésion définitive de l’ADN (par exemple mutation…). carcinogènes chimiques: hydrocarbures polycycliques aromatiques (pétrole, tabac), amines aromatiques (colorants, industrie du caoutchouc..), 2-naphtylamine, agents alkylants, aflatoxine b1… virus (hépatite B, d’Epstein Barr,…) radiations Agents promoteurs : ils favorisent l’expression d’une lésion génétique, préalablement induite par un agent initiateur. Les oncogènes Certains virus animaux sont capables d’induire des tumeurs (ex : sarcome de Rous du poulet, découvert en 1911).

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