Les conditions de travail dans l'entreprise La protection de la santé et de la sécurité de vos salariés ainsi que l'amélioration des conditions de travail au sein de votre entreprise se placent dans un ensemble d'obligations réciproques, entre vos salariés et vous-même. Tous les établissements occupant au moins 50 salariés ont un Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT). De même, la médecine du travail est obligatoirement organisée, sur le plan matériel et financier, par les employeurs, avec en particulier l'objectif de la prévention des risques professionnels (notamment liés à l'amiante) et la prise en compte des maladies graves au travail. En cas d'accident du travail, d'accident de trajet et de maladie professionnelle, vos collaborateurs bénéficient d'un arrêt de travail et d'une indemnisation légale. En cas d'accident ou de maladie non professionnelle, le salarié peut bénéficier également d'un arrêt de travail. L'état de santé du salarié peut avoir une incidence sur son maintien au poste de travail.
Les compétences les plus recherchées pour trouver un emploi selon LinkedIN | Le Huffington Post LIFE L’interactivité, condition de tout recrutement efficace Près de 30% des entreprises françaises sont concernées par des difficultés de recrutement. Défaut de compétences ou profil inadapté côté postulant, manque de connaissances candidat côté entreprise. Se renouveler pour mieux se démarquer La "guerre des talents" s’intensifie, et le recruteur doit être encore plus proactif, ingénieux et en veille permanente. Le recrutement casse ainsi les codes standards pour devenir plus mobile et omniprésent. La force du digital réside dans sa capacité à créer du lien Le digital permet à ses utilisateurs de revisiter les normes actuelles de communication pour gagner en rapidité, proximité, et transparence. Le numérique leur offre une chance de parfaire leur connaissance du candidat et confirmer leurs choix. Recrutement 3.0 : plus d’interaction pour plus de confiance Afin de se rassurer, le recruteur a besoin de se rapprocher du candidat idéal et de se familiariser avec son univers.
Conditions de travail dans les entreprises et développement durable Dans tous les pays, qu'ils soient en voie de développement ou développés, les entreprises ont la responsabilité des conditions de travail de leurs salariés. Elles ont l'obligation de procurer à leurs employés des conditions de travail décentes et propices à un bien-être physique et mental, ainsi qu'à une meilleure productivité qui bénéficiera à l'entreprise. Les conditions de travail regroupent beaucoup de paramètres : matériels, physiques, moraux, en termes de risques... De nombreux critères doivent être pris en compte : la pénibilité du travail, les risques et accidents au travail, les pathologies relevant du travail, l’hygiène et la sécurité, le bruit, la chaleur ou le froid, l’exposition à des produits toxiques, le harcèlement moral, le harcèlement sexuel, le type de contrat de travail, la rémunération, l’accès à la formation, la possibilité d'expression et d'initiative, etc.
La Poste : Des experts s’inquiètent des conditions de travail des facteurs Ça va mal à La Poste. Et ce sont des experts indépendants qui l’affirment. Ce vendredi, huit cabinets ont adressé une lettre ouverte au président de la Poste et au gouvernement pour leur demander de réagir au plus vite face à la « dégradation rapide des conditions de travail » à la Poste, révèle RTL. La station s’est procuré cette missive, qu’elle dévoile en intégralité. D’après les experts, « les agents de La Poste subissent des réorganisations permanentes qui réduisent chaque fois les effectifs, et soumettent les agents qui restent à des cadences accélérées ». Des documents « cachés » par les directions Ils vont même jusqu’à écrire qu’une « logique purement taylorienne s’impose : les agents ne sont vus que comme des exécutants sommés d’appliquer la stratégie édictée par des cadres dirigeants – qui sont par ailleurs les seuls à voir leur effectif s’étoffer ». >> A lire aussi : La Poste: Une inquiétante vague de suicides frappe les postiers depuis trois ans Des négociations programmées
Quand la génération Y impose ses codes au travail Allergiques à la hiérarchie, soucieux de préserver leur temps libre et d’entreprendre, les jeunes nés entre 1980 et 1997 voient les entreprises s’adapter à leurs envies. Et non le contraire. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Isabelle Chaperon Formidable jeunesse, comme l’ont clamé les universités d’été du Medef qui se sont tenues les 26 et 27 août à Jouy-en-Josas (Yvelines) ? Lire aussi La qualité de vie au travail, un critère qui prend du galon Chacun l’a remarqué, les fameux « Y » ou « millenials » – nés entre 1980 et 1997 – n’acceptent pas les codes traditionnels du monde du travail. Cela pourrait paraître anecdotique. Les millenials sont allergiques à la hiérarchie ? Faire bouger les lignes Mais pourquoi diable ce traitement de faveur ? Premier atout que ne possédaient pas leurs prédécesseurs, les « Y » – qui représenteront selon une étude de Deloitte et du Brookings Institute, 75 % des actifs dans le monde d’ici à 2025 – détiennent les clés de la transformation numérique.
Emploi : les étudiants préfèrent une bonne ambiance à une bonne rémunération Recevez nos newsletters : Une étude Ipsos menée auprès de 134 grandes écoles françaises dévoilent que les étudiants privilégient le contenu et l’ambiance de leur futur emploi aux conditions matérielles. Dans leur travail, les jeunes veulent s’engager socialement et ne considèrent pas que la rémunération est une priorité dans leur choix de carrière. Près de 80% des étudiants des grandes écoles ont une idée du métier qu’il veulent exercer une fois diplômés. Les perspectives d’évolution et la fierté que le travail procure sont également des critères mis en avant par les étudiants de grandes écoles, devant les responsabilités et l’utilité du travail. Seul un étudiant sur deux serait fier «d’avoir gagné beaucoup d’argent» Les étudiants de grandes écoles veulent être utiles et participer à l’innovation. Les étudiants préfèrent les grands groupes, les alumni sont tentés par l’entrepreneuriat L’économie sociale et solidaire, un secteur attractif mais encore trop méconnu
ENQUETE FRANCE 2. Cadences effrénées, forte pression, salaire minimum... Dans les coulisses des "drives" des supermarchés Publié le 30/10/2018 20:28 Mis à jour le 31/10/2018 11:34 Temps de lecture : 3min - vidéo : 4min Comment les services "Drive" des supermarchés peuvent-ils livrer en quelques minutes les courses à leurs clients ? France 2 a enquêté sur les conditions de travail du secteur en se faisant employer dans un de ces magasins. Cinq minutes, ça c’est pour la théorie. Dans ce temps record, les salariés doivent trouver les codes correspondant aux commandes à livrer, les scanner avec un appareil appelé “douchette”, qui chronomètre chacun de leurs gestes et enfin livrer les sacs au client dans sa voiture. Dès qu’un nouveau client arrive, une alarme, pour le moins désagréable aux oreilles, retentit dans tout l’entrepôt. Ce rythme est tellement effrené qu'une salariée affirme parcourir 23 km par jour. Une situation dénoncée par les syndicats.
Quand croissance rime avec confiance. Par Véronique Plessier-Chauveau Burn-out, bore-out, scepticisme ambiant : ces concepts sont plus que jamais sur le devant de la scène. Les employés ne sont plus spécialement fiers d’appartenir à leur entreprise. Pourtant, il existe des sociétés, des rassemblements d’individus, heureux de travailler pour leurs clients, qui savent stimuler la confiance en soi et en les autres. Et détiennent ainsi un puissant vecteur de performance et de croissance. Recréer de la confiance en soi pour donner confiance aux autres Il n’y a pas de secret véritable. Ce gain de temps dans l’opérationnalité est essentiel. Un écosystème gagnant grâce au travail en meute Le travail en meute est une autre façon d’aborder le changement, avec sérénité et efficacité. Comme chacun a confiance en soi, il donne confiance aux autres et est accélérateur de business. Une communauté d’experts travaillant « en meute » Pour que cela fonctionne, il ne suffit pas de constituer un vivier de personnes. Les bénéfices pour l’entreprise sont de plusieurs natures.
Pour recruter la génération Z, les entreprises devront changer d'outils Ultra connectés et en attente de relations plus humaines, la nouvelle génération pousse les ressources humaines à se réinventer. Les jeunes nés à partir des années 90 commencent à entrer en force sur le marché du travail. Pour trouver un emploi, ils n'ont nullement l'intention de se limiter à l'envoi massif de CV et de lettres de motivation sur des sites Internet sans âme. Pour eux, l'entreprise ne doit pas être en position de force et sélectionner les candidats sur des motifs qu'ils jugent futiles. "La génération Z recherche un recrutement agile, mobile, digital et humain" François Geuze, maitre de conférences en ressources humaines à l'université de Lille est catégorique : "La génération Z a un nouveau rapport au travail. D'après le spécialiste, cette nouvelle génération changera à court terme le secteur du recrutement. "Chez Carrefour, 60% de nos recrutements a lieu chez les moins de 26 ans" Techniques venues du e-commerce Une perte de pouvoir des ressources humaines ?
le groupe Pasquier Célèbre pour ses brioches et ses viennoiseries industrielles, le groupe Pasquier est l’une des premières entreprises à avoir testé la méthode dite du « management socio-économique » mise au point par l’Institut de socio-économie des entreprises et des organisations (Iséor). Concrètement, il s’agit de faire reculer l’absentéisme en regonflant la motivation de ses salariés. Première règle : chez Pasquier, qui compte 4000 salariés répartis sur 18 usines dans le monde, chaque site, spécialisé sur un métier, un produit ou un client, reste à taille humaine. Autre règle mise en place dans les usines du groupe : « les salariés ont une très forte autonomie sur leur poste de travail, détaille Henri Savall, président-fondateur de l’Iséor. Et les résultats semblent plutôt probants. «Replacer l’humain au cœur du magasin» Autre illustration avec le Leclerc de Luçon (Vendée), hypermarché presque comme les autres avec ses lignes de caisses et ses 260 salariés. Concrètement, qu’est ce qui a changé ?