La crise de la république romaine En 133 avant Jésus Christ, Rome était devenue une superpuissance méditerranéenne avec laquelle il fallait désormais compter. Même les souverains les plus puissants pliaient l’échine devant Rome : en effet, les Romains s’étaient emparés des territoires de la dynastie des Antigonides, en Grèce ; et les souverains Lagides et Séleucides, en Égypte et en Syrie, déchirés par les querelles dynastiques, ne représentaient plus une menace. Débarrassée des troubles en Italie, débarrassée de sa rivale Carthage, débarrassée des successeurs des diadoques, Rome se retrouvait à la tête d’un véritable Empire. Cependant, au cours du II° et du I° siècle avant Jésus Christ, les crises n’eurent pas lieu dans des territoires conquis, mais à Rome même... les conflits qui opposèrent les optimates aux populares furent les plus violents qu’ait jamais connu la capitale. Rome et les États de Méditerranée, 128 avant Jésus Christ (vous pouvez faire un "clic droit" sur la carte afin de faire un zoom).
Les affranchis à Rome Les affranchis (liberti) sont d'anciens esclaves, qui ne sont pas pour autant les égaux des citoyens de naissance libre (ingenui) ; seuls leurs fils deviennent des citoyens à part entière, comme le poète Horace . Même si ce n'est pas toujours le cas (exemple de Mécène), les Romains manifestaient souvent à leur égard un certain mépris (Cicéron). Sous la République, on devient affranchi : a) par testament du maître (testamento), à la mort de ce dernier ; c'est le cas le plus fréquent ; b) par inscription, au moment du cens (censu), comme personne sui juris, c'est-à-dire qui ne dépend que d'elle-même ; c) par décision judiciaire : au cours d'un simulacre de procès, devant un magistrat, le maître touche la tête de l'esclave avec une baguette (vindicta) en prononçant les mots suivants - "je dis que cet homme est libre" Sous l'Empire, les modes d'affranchissement sont beaucoup plus variés ; Le maître de l'ancien esclave devient le patron (patronus) du nouvel affranchi L'affranchi coiffe le pileus,
Latine Loquamur ! eNq1V11z2jAQfM+v8PgdG1MCtGPItDRpmUmmNAnTvmWELYOokJyTxEd/fWXjBNyxkyCiR1uavdPqbm8VXmyW1FlhEISzvht4TdfBLOIxYbO+O7m/avTci8FZuEArdLit6zUfOl3XiSgSou9my94UIya83zfXX7EGwOAOzpyQTxc4kqV9ShLqfUdifoPSbI8TrjiJnSWWcx733VTJ/K8TCgk6jUHKQSI6RBLPOGxDv/hd2kJQmgYP5712p3e4IfQz6DfEIOIXhz8iRREeA1+RGMeVgRJEBTaKkKzjMZLzEUt4JbKv8++2O93go0+RJAw3KH9UaKnAKNz66Tiv8NXsGPI1ERiuEZvZo2vImcQbmbFWw1hWGIQaHmCcl5Wl9FXGDo8QreY/gYfJnREw4Mc7DCuKX+AlJiKlaOstRGoa46fCsL3LPytjkLj/XK9GMaZI4AnQSvC5lOkn31+v1x6KGikCIrwEnq7bNz2T1XoCLLgCrR516ItoKd65x7VoERbztXjn4tW9gQDpZQxaoi11SKQAMJO2ZX1cGh6WzkLEiF2BLq8fSUJqJFeCMgNPD+6ijPyW2VoLf9jLJVi9gADQtoRLtdJ7Oz1wHYrZTM61DXhCKmLoYsSbvtt8/r0/Q5VW5BueWcg/8sBF2vuV0N+d9NgJBTbVfcgVkzV1a6jtRAzlpihVgoWl5NECbW7x46ga97Ne1VnIRrMRtD80u+etIGj3WsEpLiGfg9Za7/ZAea0F+bIbVzbdAqoZtYnZcNi55ldktdUy0+7DMq0MYTqjs0u8B/2O0PPxf5qZotQ/jgM1rSbgJOuizGyLBQOgCdOdrLCQk9vRi57mZE+o/XitJzz+YjTaWxO3Q1v1U+z4g2iDoaaURDorzmw5JZu+dbdQifvt8t50jO0ztqbIw7J/tBSnaJviyfW+xk43watPuaz6Txi9hUmxRM5fzqq97q4nTK305ZFp7u1h6GdmdXD2D5liJyo=
Découvrir l'univers du bâtiment et des travaux publics — Enseigner avec le numérique Le site Passerelle(s) est le fruit d'un partenariat original entre la Bibliothèque nationale de France (BnF), le CCCA-BTP (réseau de l’apprentissage BTP) et la Fondation BTP PLUS. Comme le précise l'À propos du site, Passerelle(s) offre une une exploration interactive des métiers du BTP et de quelque 70 constructions phares, représentatives de l'histoire et des techniques de leur époque. Il est destiné aux apprentis du bâtiment et des travaux publics et à tous les jeunes en insertion professionnelle sans oublier ceux qui s'intéressent à la construction et à l'architecture. À partir de la page d'accueil de passerelles.bnf.fr plusieurs rubriques sont proposées : Constructions, Métiers, Promenades, Glossaire, Carte, Aide, Recherche (zone en haut à droite de tous les écrans). Sources Réseaux et médias sociaux
Ces noms antiques associés à des maladies Le Figaro indique une recrudescence des Diogène à Paris. Oedipe, Protée, Narcisse sont également des noms de personnages antiques, liés à des maladies. Buste antique-Ruslan Gilmanshin fotolia.com Paris compte de plus en plus de personnes souffrant du syndrome de Diogène, encore appelées des entasseurs. Le phénomène est loin d’être anecdotique, car la Mairie de Paris consacre une partie d’une page de son site à cette réalité. Au fait, pourquoi ce nom, syndrome de Diogène, du nom d’un philosophe de l’Antiquité grecque ? Parmi les personnages célèbres de l’Antiquité ayant donné leur nom à une maladie, se trouve également Protée. Narcisse de son côté est associé aux personnalités pathologiquement égocentriques. Enfin, le nom d’Oedipe ne peut être contourné : le personnage de la tragédie de Sophocle est devenu une référence psychanalytique. Ce n’est pas à proprement parler une maladie, mais cela désigne tout de même votre point faible : le talon d’Achille. Sandra Ktourza
Magistrula