Pourquoi les entreprises ne peuvent plus échapper aux réseaux sociaux Entreprendre.fr Publié le 12 mai 2015 Paradoxe : alors que 88% des entreprises estiment que les réseaux sociaux permettent de rester compétitifs (Étude Hootsuite), 2 sur 3 trouvent qu’il est difficile d’avoir un réel retour sur investissement ! 60% ne jugent pas les données collectées via les réseaux sociaux décisives pour leur rentabilité. à lire aussi Un décalage qui explique les doutes sur l’efficacité des activités sur ses sites et la réticence des entrepreneurs à franchir le pas. Pourtant, la présence des entreprises sur les réseaux sociaux est directement associée à la performance commerciale, la croissance et au développement (Étude HEC). «Les médias sociaux permettent aux commerciaux de cheminer dans le parcours décisionnel du client, de mieux comprendre les enjeux et les besoins de leurs clients et d’enrichir, par un marketing du contenu, leur proposition de valeur», précise Christophe Excoffier, président de l’institut d’études Novamétrie. Nécessaire stratégie
Infographie | Quels sont les moteurs et les freins à la digitalisation des entreprises ? Digitaliser ? Le mot est sur toutes les lèvres. Le rendez-vous d'affaires du marketing digital One to One, qui se tient à Biarritz du 4 au 5 juin, a saisi l'occasion pour interroger un panel de décideurs marketing sur les moteurs et les freins rencontrés, sur le sujet, au sein de leur entreprise. Le moteur principal : le client Ainsi, pour 82 % des répondants, le client final est le moteur principal à la digitalisation de l'entreprise. Par ailleurs, 65 % des sondés pensent qu'il s'agit de la volonté du head management, ce qui en fait le troisième moteur, selon le panel. Trois freins majeurs De façon logique, les freins liés aux outils (57 %), aux hommes (54 %) et à la compréhension des usages (46 %) sont majoritaires. Méthodologie : Sondage GoudLink/MRCC auprès de décideurs en matière de marketing digital au sein de leur entreprise, participants potentiels à Digital Marketing One to One et donc impliqué dans le digital.
L'intelligence artificielle, futur de l'entreprise - Les Echos Accueil Pour IBM, les systèmes cognitifs, inspirés du cerveau humain, vont constituer la prochaine révolution de l'informatique d'entreprise. Objectif : augmenter l'expertise humaine.(...) Cet article est réservé aux abonnés, pour en profiter abonnez-vous. Et aussi sur les Echos Les articles à la une Europe Lagarde somme les Grecs de se comporter en "adultes" La réunion de l’Eurogroupe n’a pas permis de progresser, jeudi. Infos marchés DIRECT Grèce : entre rumeurs et déclarations, un accord est-il en... Une réunion des ministres des Finances des pays de la zone euro se tenait ce jeudi. Merkel face à une opinion hostile à la Grèce Décidée à sauver la Grèce, la chancelière risque de devoir agir contre son opinion publique. à lire également sur les echos Recommandé par Les articles les plus lus Impôts : les trois pièges du prélèvement à la source Le prélèvement à la source ne sera pas un cadeau pour tout le monde. Pensions alimentaires : une charge déséquilibrée pour les...
Transformation digitale : et si on raisonnait en termes de continuité plutôt que de rupture ? C’est en train de devenir un des « clichés » du moment : dans l’imagerie véhiculée par les médias et par un certain nombre d’experts, la transformation numérique serait nécessairement synonyme de rupture et de changement brutal de paradigme, pour toute organisation. Il suffit d’ailleurs de penser aux bouleversements introduits par Amazon ou Uber pour être pris de vertige ou de bouffées d’angoisses, en imaginant les conséquences que pourrait occasionner sur son propre marché l’irruption soudaine d’acteurs aussi disruptifs. Au point que « l’ubérisation » est devenue un nom commun… et un épouvantail que l’on agite sous le nez des techno-sceptiques et autres organisations supposément rétives à l’innovation. Qu’on ne se méprenne pas sur le titre de mon billet du jour : loin de moi l’idée de nier l’ampleur ou la rapidité des bouleversements qui guettent de plus en plus d’acteurs et de secteurs d’activité, du fait des dernières évolutions numériques. 3ème avantage : une forte création de valeur
Digitalisation entreprise : les moteurs et freins de sa mise en place Publié le 09 juin 2015 par Cibleweb Lors de la seconde édition du Digital Marketing One to One qui s’est déroulé les 4 et 5 juin à Biarritz, la digitalisation des entreprises était au cœur des discussions. La transformation des entreprises est devenu une priorité stratégique et soulève de nombreuses questions quant à son opérationnalisation. Lors du digital Marketing One to One, des décideurs marketing ont été interrogés et une infographie a pu être créée indiquant les moteurs et les freins de la digitalisation des entreprises. Les moteurs et les freins de la digitalisation des entreprises Les moteurs Pour 82% des répondants, c’est le client final qui est le moteur principal à la digitalisation de l’entreprise. Les freins Les freins, comme on pouvait s’y attendre, sont liés aux outils (57%), aux hommes (54%) et à la compréhension des usages (46%). Quels sont les éléments décisifs pour la digitalisation de l’entreprise ? Détails en infographie
Transformation digitale : bienvenue dans le nouveau monde du travail Du mail à la visioconférence ou plus récemment le Smartphone, l’arrivée progressive de nouveaux outils bouleverse les habitudes professionnelles. Travailler à distance n’apparaît plus comme une idée abjecte. Nombreuses sont les entreprises qui adoptent le réseau social en interne. Franck Lapinta La transformation digitale n’est pas une tempête contre laquelle il faut faire le dos rond, mais bien un processus continu qui perdurera dans le temps » assure Franck Lapinta, responsable de la stratégie digitale et de la communication externe RH à la Société Générale. Des niveaux de développement inégalitaires selon les entreprises Le phénomène du « tout digital » en entreprise trouve racine dans le développement opéré par les équipes marketing et informatiques. Bertrand Duperrin Or aujourd’hui, les collaborateurs ont des usages de consommation dans leur vie privée qu’ils aspirent à retrouver au niveau professionnel » il s’agit surtout d’une tendance émergente. Arnaud Gien Pawlicki
Transition numérique, de nouvelles inégalités dans l'entrepriseMédias sociaux, marketing et ressources humaines La transition numérique est le thème central des discours sur les stratégies d’entreprise. Elle n’épargne aucun secteur d’activité et est vécue à la fois comme une menace, avec l’arrivée de pure players, ou une opportunité, pour les entreprises qui sauront exploiter les nouveaux comportements des clients. Ce sujet est la plupart du temps traité sous le seul angle d’une évolution positive pour les entreprises comme pour les collaborateurs. Mais cette transition numérique n’héberge-t-elle pas en son sein les germes d’inégalités nouvelles pour les collaborateurs ? La transformation digitale est aujourd’hui le mantra de la stratégie d’entreprise. Les collaborateurs, grands gagnants de la transformation digitale ? Etes-vous plutôt client ou collaborateur ? Le digital : source d’inégalités nouvelles chez les collaborateurs ?
Emploi, recrutement : quand la data révolutionne les ressources humaines Par Farid Gueham, de Trop Libre Plus qu’une évolution, les usages du numérique ont conduit à une véritable révolution des fonctions du recrutement et des ressources humaines. Bénédicte de Raphélis Soissan, fondatrice de Clustree, l’a bien compris. Évoquez des profils ou des candidats, elle préfère vous parler de « talents » : la data permet une approche plus fine et précise des besoins des employeurs, mais aussi du potentiel parfois ignoré des candidats eux-mêmes. « Les Ressources Humaines font face à beaucoup trop de paramètres pour pouvoir gérer les talents sans data. Elles sont conscientes des problématiques (turn-over, perte des talents, émergence forte de nouveaux métiers, obsolescence des compétences) et sont prêtes à prendre le virage du big data. » Comment la data impacte les secteurs du recrutement et la gestion des carrières ? Pourquoi ne progressent-ils pas naturellement dans leurs fonctions ? … résume Bénédicte de Raphélis Soissan. … ajoute Bénédicte de Raphélis Soissan.
Le blurring, un phénomène qui s'accentue chez les cadres La frontière entre la vie professionnelle et la vie personnelle est de plus en plus floue. Ce phénomène du « blurring » s’accentue chez les cadres. Votre journée de travail ne s’arrête jamais, même quand vous quittez votre bureau ? Vous devez parfois gérer des questions personnelles depuis votre lieu de travail ? Chez les cadres, l’effacement de la frontière entre vie pro et vie perso est de plus en plus une réalité. 78% des cadres sollicités par leur travail en dehors des horaires Une enquête de Cadreo sur la frontière pro-perso réalisée l’an dernier, avait montré à quel point les cadres continuaient de travailler en dehors de leurs horaires et même pendant les week-ends et leurs vacances. Les outils de communication encouragent la flexibilité Le phénomène s’accentue également en raison des outils pros mis à la disposition des salariés.
Transitions : les 7 leviers de la révolution numérique Quand on évoque l’apport du numérique à nos sociétés, on dit souvent qu’il est une révolution en observant surtout certains de ses effets, particulièrement sa capacité a favoriser la collaboration… Pourtant, son rôle « capacitant » n’est qu’un des aspects de l’action du numérique, qui ne doit pas nous faire oublier les autres : sa capacité d’optimisation, sa capacité à « cognitiser » le monde comme le dit Kevin Kelly, à le rendre ouvert et transparent, à le rendre agile, à renforcer l’innovation… Dans le cadre du travail de prospective sur les Transitions qu’elle vient de publier, la Fing distingue 7 leviers, 7 impacts du numérique sur les transformations du monde. Autant de moyens de mieux comprendre sur quoi agit le numérique. Ce qu’il remet en cause. En quoi et comment le numérique est une révolution. On dit volontiers que la ‘révolution numérique’ va transformer tous les domaines d’activité humaine, tous les secteurs économiques, tous les métiers. Optimal De quoi parle-t-on ? Soft
Les data issues des objets connectés du salariéMédias sociaux, marketing et ressources humaines Nous avions évoqué l’évolution de la notion du BYOD dans l’entreprise dans un premier billet. La pratique s’est surtout développée aux USA, où les entreprises y ont vu un élément d’attractivité et d’image auprès des plus jeunes candidats et collaborateurs, tout en comprenant les avantages financiers qu’elles pouvaient en tirer. En revanche, l’intégration dans les entreprises françaises ne s’est pas véritablement opérée. Le plus souvent, le phénomène a mué vers le développement du COPE “Corporate Owned, Personnaly Enabled”, en raison de contraintes culturelles, sociales, fiscales, sécuritaires. Rien de révolutionnaire toutefois, puisque le COPE consiste simplement à agrandir le catalogue des terminaux informatiques fournis par l’entreprise et destinés à être connectés à son système d’information, tout en laissant une liberté plus grande au salarié concernant une utilisation faite à titre privé dudit terminal. Quel COPE pour les objets connectés ?
Transformation numérique : quel est le bilan de vos 12 compétences digitales ? Depuis deux ans maintenant j’écris sur les tendances et le basculement digital. Nous en nous sommes tous les spectateurs et les acteurs, qu’on le veuille ou non. Ce billet 118 est dédié aux compétences digitales. Les chiffres du « Cyber Darwinisme » Comprenez bien l’ampleur de la mutation numérique. 1- Une étude du parlement britannique en février 2015, le Digital Skills Committee, indique qu’en 2017, 750 000 travailleurs dans le domaine du digital seront requis sur le marché de l’emploi. 35% des emplois au Royaume Uni seraient remplacés d’ici 20 ans par l’automatisation digitale selon Deloitte cité dans ce rapport parlementaire. 2- Selon l’étude EMC Vanson Bourne Research 2015 qui porte sur plus de 3600 répondants à travers le monde, 96% d’entre eux répondent que le mobile, les fonctionnalités sociales, le Big Data Analytics et le Cloud ont définitivement changé les règles de leur domaine d’affaires. 12 compétences pour passer à l’âge de la croissance digitale #3 Centration clients