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Controverse de Valladolid

Controverse de Valladolid
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec la conférence de Valladolid, une réunion théologique qui se tint à l'université de Valladolid en 1527. La controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda en deux séances d'un mois chacune (l'une en 1550 et l'autre en 1551) au collège San Gregorio de Valladolid, mais principalement par échanges épistolaires. Ce débat réunissait théologiens, juristes et administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu'elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience [1]. Ce débat eut lieu sous le pontificat du pape Jules III. Le contexte[modifier | modifier le code] Les exactions des colons[modifier | modifier le code] La contestation[modifier | modifier le code]

La Controverse de Valladolid de Jean-Claude Carrière Intro Biographie Œuvres Liens Présentation du roman La Controverse de Valladolid de Jean-Claude Carrière Quatrième de couverture Dans un couvent de Valladolid, quelque soixante ans après la découverte du Nouveau Monde, deux hommes s'affrontent : les Indiens sont-ils des hommes comme les autres ? Pour le dominicain Las Casas, ardent défenseur de la cause indienne, cela ne fait aucun doute: les Espagnols, avides de conquête, ont nié l'évidence, assujettissant et massacrant les indigènes par millions. Dans ce livre, Jean-Claude Carrière raconte un fait historique se déroulant en 1550. Un texte de Jacques Lassalle L'effet indien Un matin d'avril 1550, dans une salle désaffectée du monastère des dominicains à Valladolid, à une portée de cantique du Palais-Royal, quatre hommes sont réunis. "Ce que nous disons, si je l'estime nécessaire, ne dépassera pas les murs de cette pièce. Cela change beaucoup de choses. Et c'est alors précisément que l'Histoire renoue avec ses ironies.

Doctrine Monroe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La doctrine de Monroe a caractérisé la politique étrangère des États-Unis durant le XIXe et le début du XXe siècle. Tirée du nom d'un président républicain des États-Unis, James Monroe, elle condamne toute intervention européenne dans les affaires « des Amériques » (tout le continent) comme celle des États-Unis dans les affaires européennes. Le discours de Monroe[modifier | modifier le code] l'Amérique du Nord et du Sud ne sont plus ouvertes à la colonisation ;toute intervention européenne dans les affaires du continent sera perçue comme une menace pour la sécurité et la paix ;en contrepartie, les États-Unis n'interviendront jamais dans les affaires européennes. Le journal American Rationalist écrit[1]: « In 1823, the Monroe Doctrine pronounced that the United States would no longer interfere with existing European colonies in the New World and proclaimed that European powers were to leave American colonies alone.

Les nouveaux maîtres du monde de JEAN ZIEGLER “Les nouveaux maîtres du monde” JEAN ZIEGLER Après les mafias internationales et les banques suisses, le sociologue et agitateur genevois revient à l’attaque. Dans son dernier essai, il s’en prend au “prédateur”, le capitalisme mondialisé, et à ses “mercenaires”, les institutions financières et commerciales internationales. (13 novembre 2002) Votre dernier livre s’intitule Les Nouveaux Maîtres du monde et ceux qui leur résistent*. Ce sont les minces oligarchies qui détiennent le capital financier spéculatif mondialisé et que, dans mon livre, j’appelle les prédateurs. Où se trouvent les “maîtres du monde” et comment exercent-ils leur pouvoir ? Leurs sièges se trouvent, ainsi que l’avait prédit il y a quelques années Max Gallo, dans un étroit triangle qui relie Tokyo, New York et Stockholm. Que reprochez-vous à ces institutions ? De mettre en œuvre ce consensus, car il est contraire à la vision de l’Histoire et aux valeurs fondatrices de notre société. Les inégalités se sont creusées.

Quelle civilisation eurasiatique a découverte l'Amérique ? - Realite-Histoire « C’est Christophe Colomb en 1492 ! » Voici la réponse d’un professeur à un élève lorsque l’un d’eux lui demanda « Qui est-ce qui a découvert l’Amérique ? » Et si un ou plusieurs explorateurs avaient marché sur le « Nouveau Monde » avant le navigateur de Gênes ? Les expéditions Vikings Au IXème siècle, les Vikings étaient établis dans les Iles Britanniques ainsi que sur les côtes de Francie. Ce n'est que la première étape d'un long mouvement migratoire vers l'ouest, jusqu'en Amérique. Après l'installation des premières colonies, les Vikings organisèrent plusieurs expéditions afin de découvrir le "Nouveau Monde". Les preuves archéologiques doivent permettre de savoir si les écrits contiennent une part de réalité. Une présence romaine ? Grâce à quelques minces découvertes, nous pouvons quasiment affirmer que les Romains avaient atteint les côtes américaines. Des Phéniciens en Amérique ?

Le Monde diplomatique Numéro coordonné par Dominique Vidal Lire le compte rendu de ce numéro, paru dans Le Monde diplomatique d’août 2010, par Gilles Lapouge. Besoin d’utopieD. V. Espoirs d’en bas Longtemps ancrée au cœur de la sphère sociale, la notion même d’utopie a glissé, à partir du XIXe siècle, dans le seul univers technologique, au risque de perdre son caractère subversif en renonçant à tout changement, surtout radical, du système. Elle a pourtant toujours été enracinée, au long de l’histoire de l’humanité, dans les rêves et les combats de millions d’hommes et de femmes. Et les espoirs d’avancées s’incarnent, en bas, dans des luttes quotidiennes et novatrices : pour les droits des travailleurs à travers le monde, pour les logiciels libres, pour la gestion publique de l’eau… De la socio-utopie à la techno-utopie. L’essence du néolibéralisme.Pierre Bourdieu Enquête sur la décroissance, une idée qui chemine.Eric Dupin Quand résistance rime avec rébellion.Christian de Brie Remunicipaliser l’eau.Marc Laimé

Géopolitique de la Colombie 2012 : vers la légalisation et politisation des FARC ? Hugo Chavez, icône du nouveau socialisme en Amérique Latine, l´a affirmé à maintes reprises: en ce début de XXI ème siècle, la "lutte armée" ne représentent plus une alternatives valable pour la conquête du pouvoir, ni pour les FARC en particulier ni pour la gauche latino-américaine en général. Les FARC (Forces Armées Révolutionnaires Colombiennes) semblent initier un processus ver une légalisation et constitution d´un front politique démocratique. La libération "non stop" et unilatérale de quasiment tous les séquestrés par la guérilla colombienne est sans doute le premier pas vers l´abandon definitif de la lutte armée. Principales raisons du probable abandon de la lutte armée par les FARC Isolement régional : le bloque régional UNASUR qui réuni l´ensemble des pays du continent Sud-Américain, s´est prononcé à maintes reprises sur ce thème en refusant clairement n´importe quelle tentative de prise de pouvoir située en dehors des élections démocratiques.

Sortir de la crise, par où commencer ?, par Jean-Marie Harribey Les impasses d’une réponse nationale à la mondialisation Alors que, en pleine bourrasque financière et boursière, l’Union européenne est menacée d’explosion, que les Etats-Unis s’agitent pour éviter la récession qui pointe, que l’Asie craint l’essoufflement, il n’est plus beaucoup de voix pour vanter la mondialisation. Pour autant, l’idée d’une « démondialisation » soulève des objections de fond que détaille le texte ci-dessous. par Jean-Marie Harribey, octobre 2011 Aperçu L’affaiblissement des sociétés sous les coups de boutoir de la finance a atteint un point limite : les structures de l’économie tremblent, et le voile idéologique qui brouillait ses représentations s’est déchiré. Ces derniers mois, tribunes de presse, articles et livres ont mis sur la place publique les thèmes du protectionnisme, de la sortie de l’euro et de la démondialisation. Taille de l’article complet : 2 563 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Jean-Marie Harribey

Chili , Géopolitique Le Chili a-t-il des amis ? Le Chili est une étroite bande de terre coincée entre la cordillère des Andes et l’océan Pacifique. Au nord, un désert particulièrement aride (l'Atacama), sépare le Chili du Pérou, tandis qu’au sud, on s’enfonce dans des forêts inhabitées qui à l’extrême sud laisse la place aux glaciers. Les rêves de grandeur et de puissance. Le Chili se veut bi-océanique et bi-continental, en cela il s’est toujours heurté à l’Argentine. Le Pacifique comme « nouvelle frontière ». Le tropisme nord américain. L’Amérique du sud tout de même. Confronté à la crise Argentine, le Chili se félicite d'être resté fidèle à « sa diplomatie multipolaire, qui ne le fait dépendre d'aucun bloc, comme le Mexique qui réalise 90 % de son commerce avec les États-Unis et s'enrhume dès que son voisin tousse.

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