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Le serment du Jeu de paume, 20 juin 1789

Le serment du Jeu de paume, 20 juin 1789
Contexte historique Cet événement fondateur de la Révolution française constitue une étape symbolique dans la destruction de l’absolutisme. L’ouverture des états généraux avait suscité une querelle de procédure : le tiers état souhaitait la réunion des trois ordres ainsi que le vote par tête, le vote par ordre donnant nécessairement la majorité au clergé et à la noblesse. Face au refus du roi, le tiers état se proclama Assemblée nationale et appela les deux autres ordres à le rejoindre. Louis XVI fit fermer la salle de réunion des députés. Ces derniers se portèrent alors dans la salle du Jeu de paume. Analyse des images La scène prend place dans la salle du Jeu de paume dont David dessina l’architecture in situ. Sur la toile inachevée, la nudité suggérée sous les vêtements concourt encore à l’idéalisation de la scène à laquelle David n’assista pas, mais qu’il souhaita hisser au rang d’acte universel. Interprétation

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serment du jeu de paume L'AUTEUR DAVID : peintre consacré, Membre de l'Académie royale de peinture et logé au Louvre à ce titre. Auteur de peintures neoclassiques comme LE SERMENT DES HORACE en 1785 Les députés du tiers état se réunissent dans la salle du jeu de paume de Versailles parce que c'est le seul endroit qu'ils trouvent pour continuer les dicussions des états généraux (20 juin 1789). Ils se sont constitués en Assemblée nationale Le tableau de David n'a jamais été achevé. L'esquisse de David se trouve au musée du château de Versailles.

Jacques Louis David,Le Serment du Jeu de Paume,20 Juin 1789,classicisme,éducation,enseignement,analyse et etude de la toile et du style,art,culture,peinture Laisser un commentaire ou un avis. Jacques Louis David. (1748-1825). Le Serment du Jeu de Paume. (20 Juin 1789). Le 20 juin, lorsque les députés du tiers état se présentent pour une réunion des États généraux à la salle des Menus-Plaisirs du palais de Versailles, ils trouvent la porte fermée. Ceci présage de leur renvoi prochain, ils se rassemblent donc à l’instigation de Joseph Ignace Guillotin, dans la salle voisine du Jeu de paume et la réunion débute vers 10h30. Au cours des débats, présidés par Jean Sylvain Bailly, Jean-Joseph Mounier déclare que : « les représentants de la nation doivent se lier au salut public et aux intérêts de la patrie par un serment solennel ».

Musée de l'histoire de France // L’ébauche du Serment du Jeu de paume « Non, l’histoire d’aucun peuple n’offre rien de si grand, de si sublime que ce serment du Jeu de paume, que je dois peindre ». Jacques-Louis David, Lettre à l’Assemblée nationale du 5 février 1792. Une commande de l’Assemblée nationale Au début de l’année 1790, Jacques-Louis David convainc les Jacobins puis l’Assemblée de soutenir son projet de représenter la scène du 20 juin 1789, bien qu’il n’y ait pas assisté. Il remplit plusieurs carnets de croquis et de notes qui renferment ses toutes premières recherches.

La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 Travail de séminaire en histoire du droit Pascal Nicollier, Fribourg 1995 La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 de Pascal NICOLLIER est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Partage à l’Identique 3.0 Suisse. Sommaire:

Introduction du dossier « Le 14 Juillet, naissance d’une fête nationale » - Pour mémoire - CNDP Dans un discours prononcé à La Ferté-sous-Jouarre (Seine-et-Marne), le 14 juillet 1872, Léon Gambetta proclame : « […] les journées les plus décisives de la Révolution française sont contenues, sont impliquées dans ce premier fait qui les enveloppe : le 14 juillet 1789. Et voilà pourquoi aussi c’est la vraie date révolutionnaire, celle qui fait tressaillir la France ! On comprend que ce jour-là notre Nouveau Testament nous a été donné et que tout doit en découler. »

1789 Serment du Jeu de Paume Le Serment du Jeu de Paume Le Serment du Jeu de Paume : l'acte fondateur de la démocratie française Afin de résoudre la grave crise financière que traverse son gouvernement, Louis XVI convoque au printemps 1789 les Etats Généraux, c’est-à-dire la réunion des trois ordres, noblesse, clergé et tiers état. Les députés du tiers état espèrent des réformes. Rapidement déçus, ils refusent de se soumettre au pouvoir royal. Refusant de siéger par ordre, ils s'allient avec quelques députés du clergé et se constituent solennellement en Assemblée nationale le 17 juin 1789. Les signataires du serment du Jeu de paume Contexte historique Un acte de courage politique accompli dans des conditions de fortune 17 juin 1789, face à l’inertie générale, les députés du Tiers Etat aux Etats généraux se constituent, en Assemblée nationale. La majorité du clergé vote, le 19, sa réunion au Tiers. Le roi qui ne veut pas reconnaître ces mesures prescrit la fermeture de la salle où le Tiers se rassemble. Les députés se rendent, le 20 juin, à la Salle du jeu de paume et décident de prêter serment de ne se séparer qu’après avoir donné une constitution à la France.

La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789 Christian AMALVI, « Le 14 Juillet », in Pierre NORA (dir), Les Lieux de mémoire, t. 1, « La République », Paris, Gallimard, 1984, rééd. coll. « Quarto », 1996. François FURET, Mona OZOUF, « La prise de la Bastille », in François FURET, Mona OZOUF, Dictionnaire critique de la Révolution française, Paris, Flammarion, 1988, rééd. coll. « Champs » 1992. François FURET, Denis RICHET, La Révolution française, Paris, Fayard, 1965, rééd. 1997. Jacques GODECHOT, La Prise de la Bastille, Paris, Gallimard, coll. « Les Trente Journées qui ont fait la France », 1965. COLLECTIF, La Révolution française et l’Europe 1789-1799, catalogue de l’exposition au Grand Palais, Paris, RMN, 1989.

Louis Marc Antoine de Noailles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le vicomte Louis Marie Marc Antoine de Noailles, né à Paris le 17 avril 1756 et mort à La Havane (Cuba) le 7 janvier 1804, est un général et homme politique de la Révolution française. Biographie[modifier | modifier le code] Origines et famille[modifier | modifier le code] Serment du Jeu de paume Le serment du Jeu de Paume est un engagement solennel d’union pris le 20 juin 1789 à la salle du Jeu de paume, à Versailles, par 300 députés du tiers état, auxquels s'associent certains députés du clergé et de la noblesse lors des états généraux de 1789. Préfigurant la souveraineté nationale et la séparation des pouvoirs, il amènera la réunion des trois ordres (noblesse, clergé, tiers état) en une « Assemblée nationale constituante », dont sera issue l'abolition des privilèges (4 août 1789), la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (26 août 1789), et les grands principes de la Constitution (fin 1791). Contexte[modifier | modifier le code] Le Serment est un moment clef de la Révolution française et l'une des principales journées révolutionnaires de l'« année sans pareille ». Le 24 janvier, Louis XVI convoque les états généraux dont l'ouverture est alors fixée au 27 avril. Le Royaume est au bord de la banqueroute.

La veuve et ses « marris » « Tout condamné à mort aura la tête tranchée ». Cette phrase sèche, coupante comme la guillotine, est célèbre pour les variations théâtrales qu’en fait le Schpountz dans le film éponyme de Marcel Pagnol. Il s’agit à l’origine d’un article du Code pénal adopté en 1791 par l’Assemblée nationale constituante. Il est impossible de bien traiter en quelques pages la question des représentations iconiques de la guillotine qu’on surnomma – sous la Révolution ou plus tard – « Le Rasoir national », « le coupe-cigare », « le massicot », « Louison » ou « Louisette » (de Louis Guillotin ou d’un autre Louis qui perfectionna le système ?) Aux surnoms populaires, souvent imagés, s’ajoutent des appellations occasionnelles comme cette périphrase de Céline, assistant à une exécution capitale : « Somme toute, la guillotine c’est le Goncourt du crime ! » [2] Cité par René Fallet, Carnets de jeunesse, t. 2, Paris,... [2] .

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