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Les utopies déjà tentées sur Terre

Les utopies déjà tentées sur Terre

Utopie pirate pourquoi cette fascination pour les pirates depuis le 16eme siecle ? leur soif de libertés ? leurs visions humanistes du monde ?leur acceptation de tous les hommes, quels que soient leurs origines, religions, taille ou couleur de peau ? plus loin que le drapeau noir et le peroquet, ils representent dans l’imaginaire populaire le refus de l’ordre établi, la volonté de mener leur vie comme ils l’entendent, sans lois autres que celles qu’ils se sont eux meme fixés... je suis un pirate, je vis selon mes lois, celle de l’etat dans lequel je vis je ne les ais pas voté, on ne m’a pas demandé mon avis, je les subis plus qu’elles me servent...prendre une amende lors d’un controle d’alcolémie en rentrant de mon boulot le dimanche matin ca me soule, surtout quand l’alcootest des gendarmes indique 0,06...

Auroville Auroville (« la ville de Sri Aurobindo » mais aussi « la ville de l'Aurore »[1]) est une ville expérimentale située à une dizaine de kilomètres au nord de Pondichéry dans l'État du Tamil Nadu en Inde. Elle fut créée en 1968 par Mirra Alfassa (Mirra Richard), plus connue sous le nom de la Mère et compagne spirituelle du philosophe indien Sri Aurobindo. Auroville a pour vocation d'être, selon les termes de sa conceptrice, « le lieu d'une vie communautaire universelle, où hommes et femmes apprendraient à vivre en paix, dans une parfaite harmonie, au-delà de toutes croyances, opinions politiques et nationalités[2],[3] ». Aujourd'hui, les Aurovilliens, issus de cinquante pays, sont organisés en 35 unités de travail : agriculture, informatique, éducation, santé, artisanat, etc. Projet[modifier | modifier le code] Au centre d'Auroville, se trouvera le Matrimandir (« la Maison de la Mère »), considéré par Mirra Alfassa comme l'âme du lieu. L'UNESCO a soutenu le projet depuis le début.

Initiative fédérale pour un revenu de base - Revenu de base Le revenu de base inconditionnel (RBI) est un versement mensuel par une caisse publique, à chaque individu, d'une somme d'argent suffisante pour couvrir les besoins de base et permettre la participation à la vie sociale, comme une rente à vie. C’est la concrétisation d’un droit humain fondamental. L’idée est soutenue de longue date par de nombreuses personnalités, de tous horizons politiques, de toutes confessions et de toutes nationalités. Le revenu de base n’est pas une prestation sociale et ne doit pas être confondu avec le salaire minimum, l’assurance chômage, l’aide sociale ou toute autre prestation attribuée de manière conditionnelle. Le revenu de base est donc : versé aux individus et non aux foyers (ménages) cumulable avec les autres revenus versé sans qu’il y ait exigence d’effectuer ou d’accepter un travail d’un montant suffisant pour couvrir les besoins de base et permettre la participation à la vie sociale. Découpler activité professionnelle et revenu, une nécessité Financement

sans titre © Casterman - 1983 Pirates et forbans : histoire politique des ennemis de l'humanité En l’an 78 avant Jésus Christ, un jeune homme aux manières précieuses et à l’air hautain prend la mer. Banni de Rome par Sylla, il se rend à Rhodes accompagné d’esclaves, afin de s’instruire des arts perfides de la rhétorique. Une troupe de pirates le capture alors et demande une rançon de vingt talents contre sa vie. Orgueilleux à souhait, le bel éphèbe rétorque que sa vie en vaut au moins cinquante, et que son ravisseur n’entend rien à son propre métier s’il n’est pas capable de mesurer la valeur d’un homme. Ce jeune homme n’est autre que Jules César. Ils sont sanguinaires, impitoyables, naviguent sous des voiles noires et rendent la mer rouge de sang. Le pirate, témoin obscur d’une histoire vacillante Pas poète pour deux sous, le pirate est une tombe lorsqu’il s’agit de lui soutirer quelques informations sur ses exactions. Qui furent les premiers hommes à s’aventurer en mer ? « Ô mes hôtes, qui êtes-vous ? Dionysos châtie les pirates tyrrhéniens. « Les fils démoniaques de Poséidon »

piraterie urbaine | martin parker 2 déc Cette intervention sur plus de 1200 boutons de feux rouges à Portland et San Fransico fut déclinée avec une dizaine de messages différents. Certains de ces collages sont toujours en place aujourd’hui. Quelques photos prises par les internautes surgissent de temps à autre sur la toîle. Traffic Light Button Project – Détournement sur boutons appel piétons – Stickage – Portland – 2002 Traffic Light Button Project – Détournement sur boutons appel piétons – Stickage – San Fransisco – 2002 Tags:installation, performance, piraterie urbaine, street art Christiania (Danemark) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Christiania (Fristaden Christiania) est un quartier de Copenhague au Danemark, autoproclamé « ville libre de Christiania », fonctionnant comme une communauté intentionnelle autogérée, fondée en septembre 1971 sur le terrain de la caserne de Bådsmandsstræde par un groupe de squatters, de chômeurs et de hippies[1]. Ce quartier est une rare expérience historique libertaire toujours en activité en Europe du Nord. Christiania a créé son propre drapeau, comportant trois points jaunes sur fond orange, ou inversement, représentant les points des trois « i » de Christiania. Il aurait été créé par Viktor Essmann, également créateur du nom de la communauté, choisi en référence à « Christianshavn » (le port de Christian IV)[2]. En 2003, la cité comptait près de 1000 habitants sur 34 hectares, possédait sa propre monnaie et toutes sortes d'activités culturelles et sportives, ainsi qu'un vaste espace agricole. L'histoire de Christiania est agitée.

Texte de Carl ROGERS sur l'écoute - Se-ressourcer Voici un très beau texte de Carl ROGERS sur l'écoute. J'aime être entendu. Un certain nombre de fois dans ma vie, j'ai eu l'impression d'être écrasé par des problèmes insolubles, ou bien de tourner en rond dans des cercles infernaux. Pendant une certaine période, accablé par des sentiments d'indignité et de désespoir, j'ai même été certain de sombrer dans la psychose. Je considère que j'ai été plus heureux que d'autres en rencontrant à ces moment-là des personnes qui ont été capables de m'entendre et de me délivrer du chaos de mes sentiments. Il est étonnant de constater que des sentiments qui étaient parfaitement effrayants deviennent supportables dès que quelqu'un nous écoute. J'en viens à certaines de mes déceptions dans ce domaine. Mais ce que je déteste vraiment en moi, c'est lorsque je ne puis entendre quelqu'un parce que je sais tellement bien à l'avance ce qu'il va dire que je ne l'écoute même pas. Bien à vous Geneviève

Autour des pirates | Lutin Bazar Alors voilà… Grâce aux nombreux commentaires que vous m’avez laissés, j’y vois désormais clair sur mon thème « Pirates » en CE1/CE2 ! Le travail mené se déroulera en 2 temps : d’abord faire connaissance avec le monde des pirates par le biais de documentaires, puis lire des histoires de pirates. Le gros projet de l’année étant sur la mythologie grecque, nous avons beaucoup travaillé sur des textes narratifs. J’avais donc envie pour la fin d’année, d’axer le travail sur le genre documentaire. Pirates et corsaires à petits pas, Eric Dars et Eric Teyssier J’ai choisi de travailler sur cet ouvrage car je suis fan de cette collection de documentaires des éditions Actes Sud (il en existe plein, notamment sur la préhistoire, les Gaulois, etc.). Pourquoi cet ouvrage ? Le texte est facile d’accès sans pour autant être pauvre en terme de vocabulaire.Les illustrations sont pleines d’humour. Composition de l’ouvrage Introduction : Qu’est-ce qu’un pirate et un corsaire ? Mon utilisation de l’ouvrage

« Hackez la ville ! » – Les conseils d’un pirate en colère Ne parlez plus de Génération Y, mais de « Génération G » comme Généreuse. C’est ce que nous explique trendwatching.com, relayé par l’excellente newsletter de Curiouser qui y voit « l’émergence d’une culture digitale du partage, où les individus échangent, donnent, s’engagent, créent, collaborent . Selon une récente étude « The New Sharing Economy », les médias sociaux seraient le catalyseur d’une économie de partage offline », annonçant le passage « d’une économie de la propriété vers une économie de l’accès ». C’est joli, peut-être un peu trop pour être totalement entendu par certains, mais qu’importe : il s’agit d’ores et déjà d’une réalité pour de nombreux territoires, qui les encadrent voire les promeuvent (on pense au vélo en libre service). Tous ? « ‘Dead Drops’ is an anonymous, offline, peer to peer file-sharing network in public space. Traduction approximative : La première clé USB a été installée à New York en octobre dernier. Et maintenant, à nous / vous de jouer !

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