Energie : moins au solaire, plus pour la méthanisation Si les ministères de l’Ecologie, de l’Agriculture et de l’Energie ont annoncé une régulation plus encadrée et moins dispendieuse dans la filière solaire, ils ont en revanche précisé une politique de soutien plus volontariste en faveur de la méthanisation, dans le tarif de rachat de l’électricité sera revalorisé. Si le nouveau dispositif dans l’énergie photovoltaïque prévoit que une baisse des tarifs d’achat du mois de mars 2011, qui seront fixés à « environ 20 % en dessous du tarif en vigueur au 1er septembre 2010 puis ajustés trimestriellement en fonction des volumes de projets déposés et des baisses de coûts attendues, estimées à ce stade à 10 % par an », la méthanisation sera elle revalorisée. Le gouvernement souhaite « encourager l’accélération des projets afin d’atteindre les objectifs fixés pour 2020 avec la mise en place de dispositifs de soutien renforcé ». De 15,2 à 20,1 c€/kWh
Champs d'éoliennes Biomasse pour les nuls Commençons par la définition du terme biomasse : « Dans le domaine de l’énergie, et plus particulièrement des bioénergies, le terme de biomasse désigne l'ensemble des matières organiques d'origine végétale (algues incluses), animale ou fongique pouvant devenir source d'énergie par combustion (ex : bois énergie), après méthanisation (biogaz) ou après de nouvelles transformations chimiques (biocarburant). » Source : www.fr.wikipedia.org En fait, c’est l’énergie solaire qui est stockée sous forme de carbone dans la matière vivante et qui peut être récupérée. On peut donc produire de l’énergie sous forme de chaleur en brulant la biomasse. On peut aussi récupérer les gaz qui s’échappent lors de la décomposition de la biomasse ou procéder à des transformations chimiques pour faire du biocarburant. La production d’énergie renouvelable sous toutes ses formes à partir de la biomasse suscite énormément d’intérêt au fur et à mesure où les stocks d’énergies fossiles diminuent.
Biogaz : la nouvelle priorité du gouvernement ? Par Patricia Laurent le 03 mars 2011 Alors que le gouvernement s’apprête à donner un nouveau coup de frein au développement de la filière photovoltaïque, il semble vouloir donner la priorité au développement du biogaz. Le projet de tarifs d’achat vient d’être présenté au public ainsi que le projet d’arrêté fixant les conditions d’achat. Des tarifs d’achat en hausse De manière inhabituelle, c’est par un communiqué de presse du 24 février 2011 que pas moins de 4 ministres ont présenté le projet de tarifs d’achat, d’une part de l’électricité issue de la méthanisation, d’autre part du biogaz injecté dans le réseau de distribution de gaz naturel. Le projet d’arrêté relatif aux conditions d’achat du biogaz A la suite de ce communiqué de presse, le gouvernement a fait circuler auprès des professionnels un projet d’arrêté « fixant les conditions d’achat de l’électricité produite par les installations qui valorisent le biogaz ». Le biogaz : « une énergie exemplaire ».
untitled Côtes d'Armor (22)<br>Les contestataires au projet de méthanisation boudent le débat public C’est dans une atmosphère relativement apaisée que s’est déroulée jeudi 16 juin à Quintin une réunion publique autour d’un projet de méthanisation sur La Harmoye. Un projet porté à la fois par un agriculteur de la commune voisine de Lanfains et le groupe SPTI spécialisé dans les énergies renouvelables. La plupart des opposants au projet avaient décidé de ne pas participer à la réunion. 50 000 tonnes de biomasse Le projet dénommé Biogazland vise à méthaniser 50 000 tonnes de biomasse. Défaut de communication Du côté de la profession agricole, sans ambiguïté, les responsables professionnels se disent favorables à la méthanisation. « Le défaut de communication complique un peu les choses dans ce dossier », admet Jean-Pierre Le Bihan, responsable environnement à la Chambre. Photo : Plus de 150 personnes ont participé jeudi soir à la réunion publique à Quintin et écouté les propos d’Isabelle Motte, présidente du directoire de la société STPI. Les procédures d’autorisation sont en cours
Un laboratoire flottant pour les low-tech Qu’ont en commun un four solaire, une serre hydroponique et un pédalier qui produit de l’électricité pour recharger un téléphone ? Ce sont tous des low-tech. Soit des systèmes simples, ingénieux et peu coûteux à bricoler soi-même, dont la source d’énergie est à portée de main et qui répondent à des besoins de base. Autre point commun de ces inventions : elles pourraient se retrouver sur le , un catamaran autonome français consacré à la recherche sur les low-tech. À la barre de ce projet, Corentin de Chatelperron, Elaine Le Floch et Pierre-Alain Lévêque. En dépit de son ingéniosité évidente, le trio ne parviendra pas à lui seul à régler ces enjeux sociaux et environnementaux. En tout, 50 défis à relever (comment fabriquer son savon, récupérer de l’eau douce, faire de la colle avec des ressources naturelles, etc.) pour permettre au bateau d’être autonome en énergie, en alimentation, en eau, en matériaux et en soins.
***** G E O T E X I A ***** Énergie marémotrice L'énergie marémotrice est issue des mouvements de l'eau créés par les marées et causés par l'effet conjugué des forces de gravitation de la Lune et du Soleil. Elle est utilisée sous forme d'énergie potentielle — grâce à l'élévation du niveau de la mer — ou sous forme d'énergie cinétique — grâce aux courants des marées[1]. L'exploitation de l'énergie marémotrice est ancienne. Principes[modifier | modifier le code] Le phénomène de marée est synchronisé par la différence des temps de rotation entre la Terre sur elle-même (24 heures) et la Lune dans son mouvement autour de la Terre (28 jours), avec en outre un effet de la rotation de la Terre autour du Soleil (une année), et il est dû aux forces d'attraction gravitationnelles exercées entre ces trois corps. En toute rigueur, l'énergie dite marémotrice constitue donc une récupération d'énergie faite sur l'énergie cinétique du couple Terre-Lune. L'énergie correspondante peut être captée sous deux formes : Projets[modifier | modifier le code]
Nouveau projet biomasse pour Areva en france > Biocarburants, biomasse Oui m'manje serai prudent, j'te jure le nitrate, le fuel, le rouleau d'alu, l'acide chlorydrique, le permanganate, la gycérine , l'acide nitrique , l'hydrazine... J'ai mon kit de survie de l'énergéticien moyen en milieu hostile... mais tout ce qui stocke des gigawatts sur terre n'approche pas la dangerosité, la toxicité et l'irréversibilité de 10 grammes de plutonium. En outre , en suivant les source publiques sur nasa.gov , on comprend qu'on peut stocker de l'énergie avec tous les éléments de la table de mandeleiev, notamment les plus abondants, les plus stables, les moins toxiques pour la vie cellulaire. Je peux comprendre qu'on s'interresse de près à l'uranium qui peut rendre des services sans équivalent, mais qu'on transforme un pays entier qui n'en veut pas, en "1re producteur nucléaire mondial" puis qu'on s'acharne dans cette voie comme s'il s'agissait d'un bien culturel, dénigrant les alternatives pour satisfaire un instinct de domination hormonal, ça me dépasse quel gâchis
L'Ouest s’intéresse aux trottoirs chauffés Dans son édition de mardi, Le Devoir faisait l'inventaire d'une pléthore de petits aménagements urbains pouvant être réalisés pour rendre les centres-villes plus agréables l'hiver. Mobilier résistant à l'assaut des déneigeuses, trottoirs et abribus chauffés, design urbain limitant le facteur vent: les solutions, parfois très simples, sont nombreuses. Mais pour des raisons obscures, sinon un acharnement à nier notre condition nordique en ce pays de glace et de blizzard, très peu sont appliquées. Pourtant, dans l'Ouest du pays, là où le mercure plonge souvent sous la barre des - 30 degrés Celcius, le débat sur le chauffage des trottoirs fait rage depuis que la ville de Saskatoon a annoncé en décembre son intention d'étudier sérieusement cette possibilité. Les villes d'Edmonton et même de Toronto regardent avec attention la direction que prendra Saskatoon, elles aussi attirées par le chant des sirènes et le rêve de trottoirs sans glace. L’exemple européen
Google soutient un projet de méthanisation en Caroline > Gaz Un projet pilote élaboré par l'Université de Duke et Duke Energy a été accueilli favorablement la semaine dernière par Google, le géant des moteurs de recherche sur internet qui cherche à investir dans des systèmes de compensation de carbone sur le territoire américain afin de remplir ses objectifs de neutralité. Le dispositif porte sur une installation porcine située à 40 km à l'ouest de Winston-Salem, qui traite les déjections de porcs pour au final générer de l'électricité, et obtenir ainsi des crédits de compensation carbone. La capture et le brûlage des gaz émanants des effluents font tourner une turbine, de sorte que le système soit capable de produire assez d'électricité pour alimenter 35 foyers par an. D'un investissement de 1,2 million de dollars, le prototype a été installé dans un élevage de 9.000 porcs à Yadkinville ( Caroline du Nord ). Grâce à sa licence "open source", le prototype a été conçu dans l'objectif d'être diffusé à grande échelle.
Sous les pavés, la chaleur... D’ici la fin du siècle, on aura à Montréal des hivers aussi doux qu’en Pennsylvanie. Sans blague. C’est le groupe de recherche Ouranos qui en fait la prédiction dans son dernier rapport. Mais bon, c’est le scénario le plus pessimiste. Il neige. On n’a donc d’autre choix que d’adopter la gadoue, les bancs de neige et même, misère, les abris Tempo. Convenons-en, elle ne peut laisser la neige au sol. Cela dit, il y a une chose qu’elle pourrait faire différemment. J’avoue que la première fois que j’ai entendu parler de cette idée, j’étais sceptique : chauffer les trottoirs. Oui, oui, je sais. Pas pour nous vanter, mais ici, quand la neige décide de neiger, elle neige pas à peu près. C’est ce qui explique que l’administration Tremblay n’a pas recouvert le Quartier des spectacles de trottoirs chauffants comme elle l’avait envisagé. Puis j’ai parlé à Jean-Claude Michel… Le chauffage, Jean-Claude Michel connaît ça. — Jean-Claude Michel, directeur général de CCUM
Méthanisation : coup de boost sur la filière française > Gaz Le nouveau dispositif de soutien à la méthanisation par l'injection de « biométhane » dans les réseaux de gaz naturel a été présenté hier par le Ministre chargé de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie numérique, Eric Besson. La méthanisation consiste à produire du gaz naturel (méthane) au moyen de déchets. Ce processus permet ainsi de valoriser les déchets urbains, industriels, agricoles en une énergie renouvelable. Avec ce nouveau dispositif réglementaire, les producteurs de biométhane pourront désormais injecter leur production de gaz à partir de déchets dans les réseaux de gaz naturel. En fonction de la taille de l'installation, du type d'unité de production et de la nature des déchets valorisés, les producteurs de biométhane bénéficieront d'un tarif d'achat compris entre 45 et 125 euros par mégawattheure. - pour la production d'électricité à partir de déchets. - pour la production de chaleur à partir de déchets. [ Cliquez sur l'image pour zoomer ]