Biocarburant Ceux qui sont produits par la filière agricole sont désignés sous le vocable d'agrocarburant. Actuellement, deux filières principales coexistent : D'autres formes moins développées, voire simplement au stade de la recherche, existent aussi : carburant gazeux (biogaz, biométhane, dihydrogène), voire carburant solide (gazogène), etc. La production mondiale d'agrocarburants s'élève à 4 113 PJ en 2019, en progression de 56 % par rapport à 2010. La consommation mondiale de biocarburants a atteint 58,8 Mtep en 2011 (41,6 Mtep de bioéthanol et 17,2 Mtep de biodiesel), soit 3,1 % de la consommation mondiale des transports routiers. En Europe[2], depuis juillet 2011, pour être certifié « durable » un biocarburant doit répondre à des « normes de durabilité »[3], à travers sept mécanismes ou initiatives[4]. La consommation européenne a été de 14,4 Mtep en 2012, en hausse de 2,9 %[réf. nécessaire]. Dénomination[modifier | modifier le code] Première et deuxième générations[modifier | modifier le code]
Champs d'éoliennes Énergie hydroélectrique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'énergie hydroélectrique, ou hydroélectricité, est une énergie électrique renouvelable obtenue par conversion de l'énergie hydraulique, des différents flux d'eau naturels[1], en électricité. L'énergie cinétique du courant d'eau est transformée en énergie mécanique par une turbine hydraulique, puis en énergie électrique par un alternateur. En 2011, l’énergie hydroélectrique représente environ 16,2 %[2] de la production mondiale d’électricité et possède de nombreux atouts. Quatrième source de production d'électricité mondiale, l’énergie hydroélectrique est amenée à se développer en intégrant la protection des ressources piscicoles et en s’articulant avec d’autres énergies renouvelables comme l’éolien ou d’autres systèmes hybrides (par exemple avec l’hydrogène). Principes[modifier | modifier le code] Il existe quatre grands types de turbines. Historique[modifier | modifier le code] Entrée monumentale de l'exposition de 1925 On distingue ainsi :
untitled Wikipédia, l'encyclopédie libre Un laboratoire flottant pour les low-tech Qu’ont en commun un four solaire, une serre hydroponique et un pédalier qui produit de l’électricité pour recharger un téléphone ? Ce sont tous des low-tech. Soit des systèmes simples, ingénieux et peu coûteux à bricoler soi-même, dont la source d’énergie est à portée de main et qui répondent à des besoins de base. Autre point commun de ces inventions : elles pourraient se retrouver sur le , un catamaran autonome français consacré à la recherche sur les low-tech. À la barre de ce projet, Corentin de Chatelperron, Elaine Le Floch et Pierre-Alain Lévêque. En dépit de son ingéniosité évidente, le trio ne parviendra pas à lui seul à régler ces enjeux sociaux et environnementaux. En tout, 50 défis à relever (comment fabriquer son savon, récupérer de l’eau douce, faire de la colle avec des ressources naturelles, etc.) pour permettre au bateau d’être autonome en énergie, en alimentation, en eau, en matériaux et en soins.
Fédération Environnement Durable (FED) - Non aux éoliennes industrielles ! Anti-eolien! Énergie marémotrice L'énergie marémotrice est issue des mouvements de l'eau créés par les marées et causés par l'effet conjugué des forces de gravitation de la Lune et du Soleil. Elle est utilisée sous forme d'énergie potentielle — grâce à l'élévation du niveau de la mer — ou sous forme d'énergie cinétique — grâce aux courants des marées[1]. L'exploitation de l'énergie marémotrice est ancienne. Principes[modifier | modifier le code] Le phénomène de marée est synchronisé par la différence des temps de rotation entre la Terre sur elle-même (24 heures) et la Lune dans son mouvement autour de la Terre (28 jours), avec en outre un effet de la rotation de la Terre autour du Soleil (une année), et il est dû aux forces d'attraction gravitationnelles exercées entre ces trois corps. En toute rigueur, l'énergie dite marémotrice constitue donc une récupération d'énergie faite sur l'énergie cinétique du couple Terre-Lune. L'énergie correspondante peut être captée sous deux formes : Projets[modifier | modifier le code]
Centrales Nucléaires, une incroyable légèreté industrielle? | mon-pays-salonais Grande réunion hier soir à l’ENSAM où tout le gratin du nucléaire était présent. Un exposé totalement incompréhensible pour le béotien sur les Réacteurs Expérimentaux dont ceux de Cadarache, mais dont quelques idées fusent toutefois. La première, c’est que le MOX est effectivement reconnu par la Société Française de l’Énergie Nucléaire comme très complexe à maitriser, notamment parce que ses déchets sont très nocifs, mais aussi parce qu’il est extrêmement thermogèhe et que son circuit de refroidissement est donc crucial, vital… La deuxième porte sur la résistance au séisme du Tricastin et de Cadarache; pour la teneur au séisme, les amplitudes retenues sont celles de Lambesc et les données historiques. Vive Pline l’ancien dont les écrits fascinaient le latiniste que j’étais, adolescent. Et c’est aujourd’hui, évidemment, celui qui crée la terreur des experts. AREVA, fournisseur du MOX, a proposé ses services au Japon. Like this: J'aime chargement…
L'Ouest s’intéresse aux trottoirs chauffés Dans son édition de mardi, Le Devoir faisait l'inventaire d'une pléthore de petits aménagements urbains pouvant être réalisés pour rendre les centres-villes plus agréables l'hiver. Mobilier résistant à l'assaut des déneigeuses, trottoirs et abribus chauffés, design urbain limitant le facteur vent: les solutions, parfois très simples, sont nombreuses. Mais pour des raisons obscures, sinon un acharnement à nier notre condition nordique en ce pays de glace et de blizzard, très peu sont appliquées. Pourtant, dans l'Ouest du pays, là où le mercure plonge souvent sous la barre des - 30 degrés Celcius, le débat sur le chauffage des trottoirs fait rage depuis que la ville de Saskatoon a annoncé en décembre son intention d'étudier sérieusement cette possibilité. Les villes d'Edmonton et même de Toronto regardent avec attention la direction que prendra Saskatoon, elles aussi attirées par le chant des sirènes et le rêve de trottoirs sans glace. L’exemple européen
Energie de la mer Les mouvements de la mer sont une source inépuisable d'énergie :L'énergie maréemotrice. La houle (le mouvement des vagues), la marée et les courants marins pourraient fournir de l'électricité pour de nombreuses villes et villages des bords de mer. Éoliennes sous-marine Une seule turbine suffirait à alimenter une soixantaine de foyers. IT Power une entreprise britannique va bientôt commercialiser un prototype de turbine sous-marine afin d'utiliser l'énergie cinétique des marées sous forme d'électricité, elle installera bientôt un prototype dans la Manche. Comme celles des bras de mer ou des détroits, les marées de la Manche sont particulièrement puissantes : de 2 à 3 m/s. Les premiers tests montrent qu'en fonction de la force des marées les pales de la turbine effectueront de six à douze rotations par minute, fournissant une puissance de 300 à 600 kW qui pourra alimenter le réseau d'électricité national. Des turbines sous-marine de type “moulin à vent”. Énergie des vagues Énergie de la marée
Sous les pavés, la chaleur... D’ici la fin du siècle, on aura à Montréal des hivers aussi doux qu’en Pennsylvanie. Sans blague. C’est le groupe de recherche Ouranos qui en fait la prédiction dans son dernier rapport. Mais bon, c’est le scénario le plus pessimiste. Il neige. On n’a donc d’autre choix que d’adopter la gadoue, les bancs de neige et même, misère, les abris Tempo. Convenons-en, elle ne peut laisser la neige au sol. Cela dit, il y a une chose qu’elle pourrait faire différemment. J’avoue que la première fois que j’ai entendu parler de cette idée, j’étais sceptique : chauffer les trottoirs. Oui, oui, je sais. Pas pour nous vanter, mais ici, quand la neige décide de neiger, elle neige pas à peu près. C’est ce qui explique que l’administration Tremblay n’a pas recouvert le Quartier des spectacles de trottoirs chauffants comme elle l’avait envisagé. Puis j’ai parlé à Jean-Claude Michel… Le chauffage, Jean-Claude Michel connaît ça. — Jean-Claude Michel, directeur général de CCUM
Les centrales nucléaires en France Une centrale nucléaire utilise l'énergie issue de la fission d'un atome radioactif pour produire de l'électricité. L'énergie produite par la fission nucléaire permet de chauffer un fluide qui passe à l'état gazeux et active une turbine de production d'électricité. Il existe plusieurs types de centrales nucléaires et le plus récent est l'EPR. Les 58 réacteurs nucléaires français assurent 78% de la production d’électricité du pays dans 19 centrales. Les Réacteurs à Eau Pressurisée (REP) Le Réacteur à Eau Pressurisée, également appelé Pressurised Water Reactor (PWR) est le réacteur nucléaire le plus répandu dans le monde. La centrale de Chinon en Indre-et-Loire est la plus ancienne centrale nucléaire française. La centrale de Saint-Laurent dans le Loir-et-Cher exploite deux réacteurs de 900 MW chacun. La centrale nucléaire du Bugey à St Vulbas dans l'Ain possède 4 REP de 900 MW chacun. La centrale du Tricastin dans la Drôme alimente sa région en électricité grâce à 4 REP de 900 MW.
Tchernobyl, le spectre du nucléaire Un photoreportage de Melanie Julien D'une intensité équivalente à plus de 200 bombes d'Hiroshima, les rejets radioactifs ont dépassé les frontières, atteint l'Europe et provoqué des dizaines de milliers de morts, notamment à cause de divers cancers, surtout de la glande thyroïde. Aujourd'hui, 5 millions d'Ukrainiens, de Biélorusses et de Russes vivent toujours dans des secteurs irradiés à divers degrés. Pour accéder à la zone d'exclusion rouverte en 1999, nous devons présenter nos passeports à deux postes de contrôle entourés de barbelés. Photo(s) : Melanie Julien Premier arrêt : le village de Kopachi, tellement contaminé que les autorités ont décidé de l'enterrer, maison par maison. Une ancienne école primaire s’y dresse toujours, abandonnée à elle-même dans la forêt. Direction Pripyat, petite ville située à 3 kilomètres de la centrale, près de la frontière avec le Bélarus. Le réacteur 4 a explosé dans les premières heures du 26 avril. Aujourd’hui, la nature a repris ses droits.