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Solid-state drive

Solid-state drive
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir SSD et SSHD. Un SSD, pour solid-state drive aussi appelé disque électronique au Québec[1], est un matériel informatique permettant le stockage de données sur de la mémoire flash. Un SSD est matériellement plus solide qu'un disque dur, les plateaux de ces derniers étant de plus en plus souvent en verre depuis 2003[2]. Cette spécificité lui permet une résistance aux chocs et aux vibrations bien plus importante que les disques mécaniques. Les SSD surclassent les disques durs classiques au niveau de la performance (débit, latence inexistante sur les SSD, consommation). Une tendance apparue en 2012 sur les ordinateurs de salon consiste à mettre le système sur un SSD d'environ 100 Go et les données sur un disque dur dix fois plus gros et de coût similaire. Historique[modifier | modifier le code] Développement des SSD[modifier | modifier le code] Ce propos doit toutefois être nuancé par deux points :

6 idées reçues sur les disques SSD Les disques SSD ne tombent jamais en panne et peuvent être facilement réparés ? C’est faux. On entend toute sorte d’idées fausses à propos des SSD. Les disques SSD n’ont pas de pièces mobiles et tombent donc très rarement en panne Comme les disques SSD ne comportent pas de pièces mobiles, ils sont à certains égards beaucoup plus fiables que les disques durs traditionnels. Vous n’avez pas besoin d’effectuer une sauvegarde si vous synchronisez votre disque SSD dans le cloud Il existe une règle en matière d’informatique : si vous n’avez pas une sauvegarde sur 2 supports différents, vous n’avez pas de sauvegarde valable. Les disques SSD peuvent être facilement réparés en cas de problème C’est faux, les disques SSD sont difficilement séparables des autres composants électroniques et sont donc très difficiles à réparer. Si l’ordinateur n’a pas été éteint correctement ou la batterie est complètement épuisée, cela n’endommage pas les données

Test : Intel Optane en version cache de stockage, vers la fin des SSD ? Voici nos premiers tests de la solution Intel Optane en version cache de stockage, sous forme de petits SSD NVMe embarquant 16 ou 32 Go de mémoire 3D Xpoint ultrarapides, à des prix très raisonnables (environ 50 et 80 euros en fonction de la capacité). On est donc loin des 1520 dollars du SSD PCI Express Intel Optane de 375 Go. Tests synthétiques En lecture séquentielle et aléatoire, combiner un disque dur ou un SSD avec un cache Optane est une solution intéressante aux performances supérieures à celles d’un SSD classique. Benchmarks dans les jeux et applications Dans les jeux et les applications bureautiques intensives, comme Photoshop, la situation est plus intéressante, car il y a très peu de différence entre le 850 EVO Rapid Mode, l’Optane seul, et le couple Optane-disque dur. Le disque dur renaît À ce stade, Optane ne bat pas des records de performances dans les applications grand public, mais ce n’est pas l’objectif d’Intel.

Hadoop Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hadoop a été créé par Doug Cutting et fait partie des projets de la fondation logicielle Apache depuis 2009. Historique[modifier | modifier le code] En 2004, Google publie un article présentant son algorithme basé sur des opérations analytiques à grande échelle sur un grand cluster de serveurs, le MapReduce, ainsi que son système de fichier en cluster, le GoogleFS. Architecture[modifier | modifier le code] Hadoop Distributed File System[modifier | modifier le code] Une architecture de machines HDFS (aussi appelée cluster HDFS) repose sur deux types de composants majeurs : Le HDFS n'est pas entièrement conforme aux spécifications POSIX, en effet les exigences relatives à un système de fichiers POSIX diffèrent des objectifs cibles pour une application Hadoop. MapReduce[modifier | modifier le code] Hadoop dispose d'une implémentation complète de l'algorithme de MapReduce. HBase[modifier | modifier le code] Article détaillé : HBase.

Disque dur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Disque. Disque dur Un disque dur IBM ouvert, les plateaux sont très réfléchissants. Schéma d’un disque dur IDE. Un disque dur est une mémoire de masse magnétique utilisée principalement dans les ordinateurs, mais également dans des baladeurs numériques, des caméscopes, des lecteurs/enregistreurs de DVD de salon, des consoles de jeux vidéo. Inventé en 1956, le disque dur a fait l'objet d'évolutions de capacité et de performances considérables, tout en voyant son coût diminuer, ce qui a contribué à la généralisation de l'utilisation de l'informatique. Historique[modifier | modifier le code] Ancien disque dur IBM Disque dur IBM 3380 d'une capacité d'1 Go Le RAMAC avait déjà un concurrent : le Univac File Computer, composé de 10 tambours magnétiques chacun d’une capacité de 180 000 caractères. En juin 1954, J. Disque amovible Dans les années 1980, HP sort de nouveaux disques, plus puissant, les HP-7933 et HP-7935[4].

2018 : les disques mécaniques agonisent, les disques SSD décollent L'avenir des disques durs mécaniques (HDD - Hard Disk Drive) apparaît bien sombre en 2018 à mesure que les disques à semi-conducteurs, les SSD (Solid State Drive), peuplent de plus en plus les racks des centres de données et ce dans un marché en croissance. Fin septembre, IDC affirmait que marché du stockage en entreprise était en croissance de 2,9 % d'un deuxième trimestre (2016) sur l'autre (2017). Si l'évolution technique des disques durs mécaniques - surtout en matière de capacité de stockage - s'est longtemps poursuivi, les disques SSD sont en passe de devenir la solution de choix pour le stockage d'entreprise. Certes, le marché secondaire du stockage est encore massivement caractérisé par l'utilisation de disques durs haute capacité de 3,5 pouces. 14 To, et au delà ? La courbe de croissance de la capacité de HDD s'est toutefois tassée. La question de la densité, centrale Ou va l'hyper-convergence ? Enfin, une troisième tendance bénéficie au SSD.

Sony fait tenir 185 To de données sur une cartouche La prochaine génération de cartouche magnétique de Sony pourra 74 fois plus de données que les LTO-6 actuelles. Crédit Sony Sony a développé une technologie de bande magnétique permettant de stockerjusqu'à 185 To de données sur une cartouche. Les temps sont durs pour la conservation des données sur bandes magnétiques, confrontées à la concurrence acharnée du stockage sur disques durs. Mais voilà que Sony pourrait bien redorer le blason de cette technologie qui équipe encore les datacenters pour l'archivage de données froides. Amazon l'utilise d'ailleurs avec son service Glacier pour proposer des prix très compétitifs. Ainsi, en parvenant à créer une couche de fines particules magnétiques d'une taille moyenne de 7,7 nanomètres, le constructeur japonais a développé une technologie de stockage sur bande magnétique d'une densité 74 fois supérieure à celle que l'on trouve actuellement sur le marché, indique Sony.

Sauvegarde Réseau pour Entreprises | La sauvegarde sur Bande | Arkeia La sauvegarde sur bande reste la stratégie la plus intéressante en termes de coûts pour sécuriser un grand volume de données sur une très longue période. Aujourd’hui, 63% des utilisateurs d’Arkeia sauvegardent une partie de leurs données directement sur bande, et seulement 41% des utilisateurs répliquent quelques sauvegardes du disque vers des bandes. La sauvegarde sur bande La bande reste le support des sauvegardes par excellence. D'abord, elle représente un moyen abordable pour transporter les données hors site. Pour des petits volumes de données, le stockage hors site dans un cloud peut être moins coûteux que le stockage sur bande car il ne demande ni manipulation ni transport de matériel physique. Technologies de bande supportées Nous supportons plus de 350 périphériques de stockage sur bande. Détails techniques Arkeia utilise la fonctionnalité "lire après écriture" inclus dans tous les lecteurs de bandes, librairies ou autoloaders qui adhèrent au standard SCSI II.

Comment augmenter la productivité de son entreprise grâce au SSD ? - Cachem Cela fait maintenant plusieurs années que je suis passé aux solutions de stockage Flash tel que le SSD. L’investissement est plus important qu’un disque classique (quoique l’écart s’est considérablement réduit) mais les résultats sont vraiment au rendez-vous : vitesse d’accès, débit en lecture/écriture, bruit, chaleur, etc. Dans les entreprises, il y a encore beaucoup d’hésitations… mais les choses changent. Plus rapide, plus économique et plus efficace Par rapport aux disques durs traditionnels, la technologie Flash présente le principal avantage de fournir une accélération significative du taux de transfert des données et de faire baisser le coût total des solutions. Des entreprises de plus en plus intéressées En matière de stockage et de gestion des données, moins signifie plus. Les entreprises s’intéressent de plus en plus aux solutions flash pour leur fiabilité et leur simplicité. Mode hybride Aller de l’avant Article sponsorisé

DAS, NAS, SAN, kesako ? par Ludovic ROUCOU | Alternance Informatique Cesi Arras Bonjour à tous, vous trouverez ci-dessous un article de Ludovic Roucou qui nous fait un petit topo des technologies de stockages…. Introduction Le stockage des données et leurs exploitations sont au cœur du système d’information d’une entreprise. Pour cela différentes architectures sont possibles, mais quelles sont-elles et laquelle choisir ? I – DAS, NAS, SAN, kesako ? DAS :Direct Attached Storage, ou comme son nom l’indique, méthode de connexion où la baie de disque est directement connectée sur un serveur NAS :Network Attached Storage, via cette méthode on distingue la connexion d’une baie de stockage directement sur le réseau. SAN :Storage Area Network , on reste sur les baies de stockage connectées au réseau, mais cette fois ce réseau leur est dédié. II – lequel choisir ? A – DAS (Direct Attached Storage) Dans le cadre d’un réseau d’entreprise on comprend vite les limitations induites par une architecture DAS : Le DAS tend à disparaitre au sein des stockages d’entreprises. B – NAS et SAN

On vous dit tout sur le M.2, le SSD nouvelle génération  En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Accueil FrançoisBEDIN Journaliste Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter Actualités Les classiques SSD 2,5 pouces cèdent progressivement la place à des modèles M.2 sans boîtier. Pour les premiers SSD mis sur le marché, les constructeurs ont joué la carte de la compatibilité en choisissant un boîtier 2,5 pouces et une interface SATA (Serial ATA). Les SSD M.2 se déclinent en plusieurs tailles Le format M.2 définit plusieurs largeurs (12, 16, 22 et 30 mm) et plusieurs longueurs (16, 26, 30, 38, 42, 60, 80 et 110 mm) pour une carte. Plusieurs interfaces pour un même format Combien cela coûte-t-il ? François BEDIN à suivre sur Tweeter Sage

IBM et Fujifilm inventent une bande de stockage ultradense pour le big data Les chercheurs d'IBM testent leur prototype de bande magnétique ultradense. Crédit IBM Grâce à la technologie développée par IBM et Fujifilm, il sera possible de stocker jusqu'à 154 To de données sur les cartouches LTO à bande. Anticipant les futurs besoins du big data en terme de stockage, IBM et Fujifilm se sont associés pour développer une bande magnétique ultradense : leur prototype, annoncé pendant la conférence IBM Edge 2014 qui se tient cette semaine à Las Vegas (19-23 mai), est capable de stocker 85,9 milliards de bits de données par pouce carré. Une tête de lecture de 90 nanomètes Les chercheurs ont développé différentes techniques pour mettre toujours plus de données sur les bandes magnétiques. Voilà 10 ans qu'IBM et Fuji travaillent ensemble sur ces développements.

SSD dans le datacenter : les différents formats (U.2, M.2, EDSFF, NGSFF) L’intérêt pour les technologies de stockage NVMe dans le datacenter se traduit actuellement par une multiplication des formats de SSD. L’objectif est à la fois d’améliorer la densité des architectures de stockage Flash dans les serveurs tout en dopant les performances. La technologie NVMe permet de connecter des supports de stockage électroniques (Flash, Optane, etc.) directement sur le bus PCIe des serveurs afin de doper la bande passante disponible pour chaque périphérique et d’abaisser la latence de connexion. Elle s’accompagne également de la modernisation du jeu de commande des disques avec la mise en œuvre d’un jeu de commande simplifié et optimisé par rapport au jeu de commande SAS historique. Les premiers périphériques NVMe ont logiquement été mis en œuvre sous forme de cartes PCIe traditionnelles. Un SSD Intel Optane au format carte PCIe Le format U.2 s'impose pour le raccordement des SSD 2,5 pouces Le connecteur U.2 pour disques SSD de 2,5 pouces est dérivé du connecteur SAS

Mémoire flash QLC signée Micron : des SSD plus gros et moins chers dès cette année Micron travaille depuis de nombreux mois déjà sur de la mémoire flash NAND QLC, c'est-à-dire avec quatre bits stockés par cellule. Le constructeur vient toutefois d’apporter quelques détails intéressants sur cette nouvelle technologie. Moins chère et plus dense, aussi fiable que de la TLC On apprend ainsi que les premiers SSD équipés de ce type de mémoire flash devraient être des modèles professionnels, avec une arrivée sur le marché prévue dès cette année. Le principal intérêt de la mémoire QLC sur les précédentes générations (SLC avec un bit par cellule, MLC avec deux bits par cellule ou TLC avec trois bits par cellule) est bien entendu à chercher du côté du prix et de la densité. Les puces produites par Micron empilent ainsi 64 dies, soit une capacité totale de 768 gigabits. La mémoire QLC devrait être particulièrement intéressante pour le stockage de données, et les applications gourmandes en lecture seulement.

50 % des portables vendus en 2018 seront équipés de SSD La baisse du prix des mémoires SSD va entraîner une augmentation du nombre de PC portables livrés équipés de ce type de mémoire assure le cabinet TrendForce. 50 % des appareils portables devraient être vendus en 2018 avec cette technologie. "Le taux d'adoption moyen du SSD pour les ordinateurs portables n'était que de 45 % en 2017, inférieur aux attentes initiales" dit Alan Chen, de DRAMeXchange. "Ce chiffre devrait dépasser les 50 % cette année avec la baisse des prix SSD". De quoi mettre les disques mécaniques à la cave. Pourquoi ? Parce que les fournisseurs de disques SSD ont récemment réduit leurs prix pour inciter les fabricants de PC à adopter leurs nouveaux produits SSD 3D à 64 couches et 72 couches. Au premier trimestre 2018, les prix moyens du SSD pour les principaux fabricants de PC sont en baisse de 3 % à 5 % pour les SSD SATA et de 4 % à 6 % pour les SSD PCIe par rapport au quatrième trimestre 2017. Vers le 256 Go, le 512 Go pour plus tard

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