Gabriele Basilico - A.A.M. Galleria Roma Gabriele Basilico, 1980-1982 Quartiere IACP Fabio Filzi, Milano, 1936-1938 (Arch. Franco Albini 1905-1977, con Arch. Renato Camus e Arch. Giancarlo Palanti) Stampa ai sali d’argento su carta baritata (VINTAGE PRINT), 30,5x25,5 cm Note: serie “Ritratti di Architettura” e “Immagini del Novecento, Milano architetture 1919-1939” Copyright: Studio Gabriele Basilico / Courtesy: Collezione Francesco Moschini e Gabriel Vaduva A.A.M. Architettura Arte Moderna Gabriele Basilico, 1980-1982 Quartiere IACP Fabio Filzi, Milano, 1936-1938 (Arch. Gabriele Basilico, 1980-1982 Edificio per abitazioni in Via Gabrio Serbelloni, n.10-12, Milano, 1924-1927 (Arch. Gabriele Basilico, 1980-1982 Edificio per abitazioni in Via Gabrio Serbelloni, n.10-12, Milano, 1924-1927 (Arch. Gabriele Basilico, 1980-1982 Edificio per abitazioni in Via Gabrio Serbelloni, n.10-12, Milano, 1924-1927 (Arch. Gabriele Basilico, 1980-1982 Palazzo Fidia, Via Wolfgang Amadeus Mozart, n.11, Milano, 1929-1932 (Arch.
Tour Eiffel. Paris. Histoire (D'après Guide officiel de la Tour Eiffel, paru en 1893) M. Gustave Eiffel, né à Dijon en 1832, sortit, en 1855, de l'École centrale des arts et manufactures de Paris. Son premier travail de direction fut celui du grand pont de Bordeaux (1861). Les projets du palais des Machines de l'Exposition universelle de 1867, la construction des viaducs sur piles métalliques de la ligne de Commentry à Gannat (1868), de la Tardes, près Montluçon, de Cubzac, près Bordeaux, et surtout le grand pont en arc sur le Douro, à Porto, de 160 mètres d'ouverture (la plus grande qui ait été jusqu'alors réalisée pour un pont fixe de chemin de fer) établirent sa renommée, grâce à laquelle il fut chargé de la construction de la belle galerie, avec les trois dômes, formant la grande façade, sur la Seine, du palais de l'Exposition de 1878. En 1879, il construisit, sur le type de son pont du Douro, le pont de Garabit (à la lisière des départements du Cantal et de la Corrèze), qui est la principale de ses œuvres. M.
La construction de la Tour Eiffel ClaireKönig Enseignante Sciences Naturelles A cette époque le défi de réaliser une tour « haute de plus de mille pieds », occupe l'esprit des architectes. Ceux-ci se heurtent à d'innombrables problèmes techniques. Les dimensions de la Tour Eiffel Dès 1878, Jules Ferry envisage une grande Exposition universelle pour 1889. Après diverses entrevues et signatures officielles, le 28 janvier 1887, les travaux commencent et les Parisiens n’en reviennent pas ! Maçonneries de la pile n° 3 (20 avril 1887) Atlas Photo, PL.2 © BNF 1 - Les calculs préliminaires Eiffel dit à ce propos : « Les charges verticales entrant dans le calcul de l’ossature générale comprennent uniquement le poids de la construction. Commencement du montage métallique de la pile n° 4 (18 juillet 1887) Atlas Photo, PL.3 © BNF 2 - Les fondations Les fondations ont été exécutées avec un soin particulier, du 28 janvier 1887, au 30 juin. Il fallut 12 000 m3 de matériaux pour les massifs en maçonnerie. Vue de la Tour Eiffel octobre 1888
La Tour Eiffel Autres objections contre la tour et son utilité. Gustave Eiffel évoque lui-même dans son livre les diverses objections élevées contre la tour et y répond : "Les objections les plus fréquemment mises en avant étaient que la construction elle-même était impossible, que jamais on ne pourrait lui donner une résistance capable de s'opposer à la violence du vent; que même y arrivât-on sur le papier, on ne trouverait pas d'ouvriers capables de travailler à cette hauteur, les difficultés devant être encore aggravées par les énormes oscillations que prendrait cette colossale tige de fer sous l'effet des vents. Ces objections, qui semblent actuellement bien puériles, ne me touchaient guère. La tour a créée de l'intérêt pour l'exposition J'eus bien davantage à lutter contre cette objection sans cesse renaissante de l'inutilité de la tour, qui était la tarte à la crème courante. L'intérêt scientifique de la tour Un observatoire et un laboratoire à la disposition de la science
Le Corbusier: An Atlas of Modern Landscapes at MoMA A retrospective on the life and work of Le Corbusier opens today at the Museum of Modern Art (MoMA) in New York. This selection of drawings and paintings by the architect documents the various stages of his career, as presented in the exhibition. The first of five sections in Le Corbusier: An Atlas of Modern Landscapes is entitled From the Jura Mountains to the Wide World and covers the early years of the architect's life. Born in 1887 under the name Charles-Édouard Jeanneret, he learnt to draw by exploring the landscape surrounding his home in Switzerland. Towards the end of this time he visited cities across Europe, including Vienna, Athens, Paris and Berlin. Section two, The Conquest of Paris, shows works completed after the architect settled in Paris, when he adopted the pseudonym Le Corbusier and launched avant-garde art journal L'Esprit nouveau (The new spirit) with friends. The exhibition is open at MoMA until 23 September and is curated by architect and historian Jean-Louis Cohen.
1889-exposition universelle, la tour Eiffel Le projet dénommé « Tour de 300 mètres » de l'exposition de 1889 est annoncé dès 1884. L’entreprise Eiffel connaissait déjà une grande renommée, elle a construit les ponts les plus hauts, les plus longs, aussi bien en France qu’au Portugal, sa signature figurait au fronton d’édifices en Roumanie, en Hongrie, en Espagne, au Sénégal, au Maroc, en Algérie, en Amérique du sud. On lui doit en 1878 la conception de la structure métallique de la Statue de la Liberté de Bartholdi, qui trône dans la rade de New York. Le dernier étage n'est pas encore terminé, au premier plan on aperçoit la gare du Champ de Mars de 1878. L’emplacement en bord de Seine pose quelques problèmes d’infiltration d’eau, mais il est dicté par des raisons purement administratives. Presque sous l'arche de la tour Eiffel, on aperçoit le chalet scandinave de Charles Garnier, ainsi que lses autres réalisations sur l'histoire de l'habitation. Un bout de l'escalier, à Nogent et à Levallois-Perret.
La tour Eiffel dans les arts En tant qu'emblème de la France, même si ce n'est pas un titre officiel, la tour Eiffel a beaucoup de succès auprès des artistes, et celà quel que soit le support artistique choisi. Dans les pages ci-dessous se trouvent de nombreuses références à cette grande dame de Paris dans les chansons, les peintures, au cinéma, etc. Il y a aussi une rubrique sur la tour Eiffel en tant que support dans la publicité. Ce n'est pas vraiment de l'art, mais c'est là que cette partie du site était la mieux disposée. Est ce que la tour Eiffel a immédiatement servi de support au domaine artistique ? La réponse est oui, et bien plus tôt qu'on ne le croit, puisque c'est avant même ça construction qu'elle a fait l'objet de poèmes. Voir aussi : Description de la tour Eiffel
socks-studio Webtype > Blog Daily User Ranked Lists There’s not much information about helter skelters on Wikipedia, so we decided to find out more:Despite becoming a recent fixture at Victorian themed winter fairs and a perennial one at summer funfairs, the helter skelter is clearly modeled on a Victorian lighthouse, and so is originally and end of pier attraction. We found a picture from 1907 where the helter skelter is clearly labeled as a one and we even found one labeled a helter skelter at Coney Island, so perhaps its a term that did carry to the US. The architectural style is even referenced in a spire at Disneyland, the capital of the funfair world.An almost exclusively British term for a spiral fairground slide, helter skelter is known in the US from songs by the Beatles, Oasis and Genesis, and from the association with Charles Manson. In the UK its one of those things that every child can recognize, but which when you really look at, becomes strangely unfamiliar and weird – an architectural naked lunch.
The Archigram Archive [Image: From an "ongoing speculative proposal exploring the implications of cones of vision and their interaction with an existing neoclassical ‘temple’ on the River Thames in Henley, Berkshire," by Archigram/Michael Webb]. As of roughly 16 hours ago, the Archigram Archival Project is finally online and ready to for browsing, courtesy of the University of Westminster: the archive "makes the work of the seminal architectural group Archigram available free online for public viewing and academic study." The newly launched site includes more than 200 projects; "this comprises projects done by members before they met, the Archigram magazines (grouped together at no. 100), the projects done by Archigram as a group between 1961 and 1974, and some later projects." There are also brief biographies of each participating member of the collaborative group: Warren Chalk, Peter Cook, Dennis Crompton, David Greene, Ron Herron, and Michael Webb.
BLDGBLOG [Image: Jeffrey Inaba]. BLDGBLOG: With Volume 10 you call for more “agitation” in architectural discourse. Could you go into this a bit more? For instance, do we need a new Archigram or another Superstudio? Where will this agitation come from? Jeffrey Inaba: It’d be great if there was another Archigram or Superstudio. What seems ridiculous about that – not even on a content level, but on a deeper, structural level – is that these alliances and antagonisms are based on the least substantial of terms. Furthermore, when alliances are developed in tenuous terms like this, it doesn’t necessarily generate more in-depth discussion. In that sense, it seems important to reintroduce the term agitation because its meaning has been diminished: it now means trouble-maker or rabble-rouser, or somebody who is disruptive for ill-founded reasons. Once you re-introduce it, as well, you can begin to look out for it. [Image: A page-spread from Volume 10]. Inaba: Yeah. Inaba: That’s a really good question.
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