Le bar gay (1/6): Pourquoi les bars gays et lesbiens sont importants Le bar gay ou lesbien est un refuge pour les jeunes de la communauté, seul endroit où ils ont «la liberté d'être entièrement gay». Enquête sur une espèce en voie de disparition Lorsque le vendredi 24 juin, le sénat de l’État de New York a légalisé à 33 voix contre 29 le mariage entre personnes de même sexe, les gays et lesbiens new-yorkais (et quelques militants hétéros) ont su exactement où aller fêter la nouvelle: au Stonewall Inn, le bar où, 42 ans plus tôt, le mouvement pour les droits des homosexuels était né. Au milieu du formidable chaos des cracheurs de feu, des drag-queens et des demandes en mariage spontanées, de vieux couples homosexuels, main dans la main, se promenaient, admirant le spectacle. Je ne fréquente plus tellement les bars lesbiens. Je me rappelle encore le frisson de peur et d’excitation que j’ai eu en m’y aventurant les premières fois, la jubilation de découvrir d’autres gays et lesbiennes dans toute leur diversité sordide, fabuleuse, lugubre et magnifique.
Vidéos Buzz, Jeux Flash et Images sur Koreus.com Mon expérience à l’Existrans – Compte-rendu et ressenti | Le Bric-à-Brac de Brieuc Bonjour à tous, Aujourd’hui, je vous propose un compte-rendu de mon expérience lors de la marche qui a eu lieu spour les droits des personnes trans et intersexuées. J’y raconterai d’abord le déroulement de l’évènement avant de donner mon ressenti personnel. Voici donc la chronologie de ce samedi 17 octobre 2015: Passons donc à mon ressenti suite à cette journée: Tout d’abord, j’ai été horriblement surpris de découvrir certaines difficultés dont j’ignorais l’existence dans le parcours des personnes en transition. Bref, il y a des problèmes et un flou juridique assez effrayants. Néanmoins, si la France peine à avancer sur ces questions, notons tout de même quelques signes encourageants, comme cette personne intersexe qui s’est récemment vue accorder la mention de « sexe neutre » sur ses papiers. Votre serviteur (à gauche) ainsi que Manon, une très sympathique « étudiante-relais » au sein du GLUP.
PHILITT | Philosophie, littérature et cinéma Ne vous appropriez pas les identités trans et non-binaires - Unique en son genre (Avertissement : mention de cissexisme, transphobie, dysphorie, suicide, meurtre) Bonjour, bonsoir ! Cet article m’a été inspiré par la planche de la BD Assignée Garçon de Sophie Labelle (je conseille d'aller la lire avant de continuer). Je souhaitais en effet développer le sujet, qui me paraît intéressant. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui s’approprie une identité trans ou non-binaire sans l’être mais l’existence de cette planche soulève la question. Est-ce que, par choix politique, dans une volonté de déconstruire le concept du genre et l’oppression binaire, on peut s’identifier au terme agenre, neutrois, ou un autre terme NB/trans ? 1. On ne choisit pas son genre, premièrement. Agenre est une identité de genre, une vraie identité, que les gens ressentent dans leur cœur. Donc, quelque soit l’identité trans ou non-binaire, si ce n’est pas ce que vous ressentez au fond de vous, n’utilisez pas cette étiquette. 2. 3. 4. Conclusion : Bonne journée/soirée Nouah
Les Kiosques Jeunes, mode d'emploi | Paris Jeunes Idéal pour profiter de la vie nocturne de la capitale, même quand on a un budget serré, les 3 Kiosques Jeunes vous proposent quotidiennement des nombreux bons plans pour sortir à Paris. Concerts, théâtre, humour, manifestations sportives etc. l’offre des Kiosques est large et les partenaires nombreux. Au Marais, au Champs de Mars et à la Goutte d’Or, les équipes vous accueillent et vous aident à trouver le bon plan qui vous plaira parmi les centaines d’invitations et de tarifs très réduits pour de nombreux spectacles parisiens. KIOSQUE JEUNES LE MARAIS lundi>vendredi / 11h>19h 14 rue François Miron - Paris 4e / M° Hôtel de Ville/Saint Paul 01 42 71 38 76 KIOSQUE JEUNES CHAMP DE MARS mardi>vendredi / 13h>18h 101 quai Branly - Paris 15e / M° Bir Hakeim 01 43 06 15 38 Attention : le Kiosque Jeunes Champ de Mars est exceptionnellement fermé le mercredi 15 avril. Tarifs réduits, invitations… comment ça marche ?
Les baisers entre personnes du même genre ne sont pas des blagues (n'en déplaise au PAF) En ce moment j’ai souvent la télé allumée. L’écran (et le son) m’accompagne pendant de longues journées en solitaire à travailler sur des projets secrets pour sauver le monde. Je vois défiler toutes les émissions les unes après l’autres, du JT de 13h aux films mal doublés de l’après-midi, en passant par les plus célèbres talk-shows du PAF — je suis sûr que vous voyez très bien de quoi je parle, ça commence parfois par « touche pas » et finit par « à mon poste »… À lire aussi : Cyril Hanouna, Enora Malagré et les filles faciles C’est mon petit plaisir pas si coupable pendant lequel je relève souvent la tête pour me délecter des coups de gueules surjoués des chroniqueurs ayant apparemment « mal à leur France ». Un « gag » récurrent Je l’admets, dans ce genre de talk-show/divertissement, ça s’amuse, ça fait des boutades pas très recherchées souvent en dessous de la ceinture. Le public scande alors le fameux « Un bisou ! Ce genre de séquence revient souvent. Pourquoi ça fait tellement rire ?
Qui sommes-nous ? | Prenons le maquis Prenons le Maquis est né en réponse à notre époque où les tensions et les crises, de plus en plus fréquentes et inattendues, nous rappellent que l'équilibre de l'ordre social est toujours fragile. Alors que les avancées technologiques semblent aller de pair avec la méconnaissance toujours plus flagrante d'un savoir pratique élémentaire, Prenons le maquis propose des outils pour reconstruire un rapport sain et responsable à l'existence. Nous invitons donc toutes celles et tous ceux qui le souhaitent (par l'offre de matériel, de contenu théorique et de stages pratiques) à renouer avec des connaissances basiques que des décennies de consommation effrénée et de modernité nous ont fait oublier : dormir en pleine nature, allumer un feu, s'adapter à la fatigue, résister aux intempéries… le tout grâce à des gestes et à un équipement appropriés. Ainsi, bien loin de toute complaisance pessimiste, nous nous plaçons dans une logique constructive et émancipatrice.
Les asexuel-les fantasment-ils ? | orgacemique Oui, mais uniquement sur des gâteaux. Les fantasmes sont techniquement des « représentations imaginaires traduisant des désirs plus ou moins conscients ». Les personnes sur le spectre ACE ont des désirs, comme tout le monde. A ce titre, ils ne sont donc pas exempts de fantasmes. La vraie question qui est réellement sous-entendue ici est : « est-ce que les asexuel-les fantasment sur le sexe ? Fantasmer sur des actes sexuels, sur des situations liées à la sexualité, etc. n’invalide pas l’orientation asexuelle de quelqu’un. Car encore une fois, être asexuel-le ça n’est pas se couper totalement de la sexualité, mais ressentir un décalage vis à vis de celle-ci. Cette façon de vivre son orientation asexuelle a d’ailleurs un nom : l’autochorisexualité. Une fois encore, il s’agit d’une étiquette. Car ressentir un désir extrêmement profond sans jamais avoir la possibilité de l’accomplir est aussi une forme d’asexualité. Vous posez des questions est normal. A bientôt les petits clous ! J'aime :
Bureaucratics book preview Skip to content Bureaucratics book preview Contact info Tel: +31 651 365 983 Email: info@janbanning.comEmail contactform Update and connectYou can stay in touch for new updates, please connect through one of these services: © Copyright by janbanning.com "Le ‘Gender’ à l’américaine - Un verbiage qui noie la réalité du pouvoir patriarcal" drôle d'article !! Le ‘Gender’ à l’américaine - Un verbiage qui noie la réalité du pouvoir patriarcalmardi 16 août 2011par Dre Michèle Dayras, présidente de SOS-SEXISME La théorie du ‘gender’ est prônée, en France, par les homos, les bi et surtout par les transsexuels, mais aussi par de jeunes féministes qui militent dans des groupes mixtes, (notre pays est le seul où des femmes luttent contre l’oppression masculine, avec les oppresseurs), et par des universitaires qui se veulent ‘branchées’. La Commission de Terminologie et de Néologie écrivait en 2005 : « (…) La substitution de “genre” à sexe ne répond donc pas à un besoin linguistique et l’extension de sens du mot “genre” ne se justifie pas en français. Dans cette acception particulière, des expressions utilisant les mots “genre” et a fortiori l’adjectif “genré”, ou encore le terme “sexospécificité”, sont à déconseiller. » Mais les choses ont bien changé depuis. La théorie du ‘genre’ (et des ‘genres pluriels’ !) Notes 1.
Larmes observées au microscope, une découverte troublante ! Désignant souvent un état de tristesse, désespoir, de douleur ou même dans d’autres circonstances, un état émotionnel (joie, rire, rage, …), les larmes se présentent sous forme de gouttes et coulent le long des joues. Qu’il s’agisse de larmes de joie ou de tristesse, on peut penser qu’elles sont toutes identiques. En réalité, non ! Pour nous montrer à quel point les larmes de joie et de douleur sont différentes, Rose-Lynn Fisher a réalisé une expérience quelque peu troublante, celle d’analyser les larmes avec un microscope. Lors de son étude portant le nom de “La Topographie des larmes”, cette femme a analysé plus de 100 larmes différentes et en est venue à constater que celles de base (celles produites par notre corps pour lubrifier les yeux) sont bel et bien différentes des larmes qui coulent lorsque nous coupons des oignons par exemple. Larmes de fou rire Larmes de soulagement Larmes de chagrin Larmes provoquées par des oignons Larmes de base (pour humidifier l’œil) Larmes de changement
Des féministes transphobes Il y aurait beaucoup à dire sur la place des trans dans le féminisme. C'est un vaste sujet, comme la place d'autres populations dominées dans le féminisme (par exemple la place des non-blanc-he-s ou la place des prolos) et je ne suis pas sûre qu'un seul article suffise. Dans ce texte je vais m'intéresser à la transphobie de certain-e-s féministes. En effet comment les trans peuvent trouver une place dans le féminisme si certain-e-s féministes les rejettent en refusant de reconnaître l'identité de ces trans. Il y a peu Prose a eu un tweet attirant mon attention. Si j'ai bien compris c'était au sujet de deux choses. Mais ça concernait aussi ce texte dans lequel la transidentité de Brandon Teena passe à la trappe. Les féministes radicales des féministes transphobes ? Alors autant le dire c'est des choses avec lesquelles j'ai un peu de mal. Du coup comment parler de choses que je connais peu? Cathy Brennan "Mon féminisme qui dit que pénis = mâle" : Michèle Dayras, femmes XX et "femmes" XY :
Drogues et réalité virtuelle : les psychonautes qui tripent avec Oculus Rift Imaginez que vous vous envolez à travers un monde virtuel à 360°, rempli d’obstacles vous obligeant à effectuer des sauts géants, à escalader des murs ou à vous balancer dans le vide grâce à un grappin, façon Spider-Man. Maintenant, imaginez que vous pouvez réellement sentir l’accélération, le vent sur votre visage, et que les mouvements que vous effectuez vous font progressivement oublier que vous êtes dans un jeu. Parce que vous avez pris deux doses de LSD. « Comme Néo quand il prend la Pilule Rouge, la drogue change la façon dont vous percevez le monde, même si ce monde a été généré par ordinateur » explique Tardigrade1, modérateur de r/RiftIntoTheMind sur Reddit. « Les drogues psychédéliques en particulier rendent l’expérience de Réalité Virtuelle extrêmement réaliste. » Tardigrade1 (qui m’a demandé d’utiliser son pseudonyme, Jon Connington) est un « futuriste » de 21 ans qui travaille dans la technologie financière et s’est spécialisé dans l’Internet des objets. Image: Peter Rothman