Mysteries of a Nazi Photo Album Wednesday | Updated Readers of Lens and EinesTages quickly figured out that the photographer was Franz Krieger. (“World War II Mystery Solved in a Few Hours.”) And that his wife and children did not survive the war. Lens has shared this story with Der Spiegel, the leading German newsweekly, and Spiegel Online, its Web edition. Lens hat Spiegel Online bei dieser Geschichte um Unterstützung gebeten. There are certainly many photo albums of Nazi leaders and many photo albums of the Nazis’ victims. At least one does, however, and it has surfaced in New York City. Two pages in this album, on the Eastern Front in 1941, are devoted to prisoners. Four pages later, there is Hitler himself, waiting at a train station for the arrival of Adm. Clearly, this photographer had a lot of access — and not a little talent. But who was he? And what was he showing to posterity? Private collection, via The New York TimesPage 11: Bus window. The central figure in the album; presumably the photographer himself. Dr.
le génocide des juifs dans l'histoire - Profs d'Histoire lycée Claude Lebois un groupe de tuerie mobile (Einsatzgruppe) en actionsource : site de l'université de Pembroke, Caroline du Nord die Endlösung der Judenfrage la "solution finale" de la question juive la politique génocidaire de l'Allemagne hitlérienne Le terme allemand Endlösung signifie "solution finale". Dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale, la politique hitlérienne a visé le génocide des populations juives en Europe. Dans le cas du génocide, cependant, la volonté d'exterminer un peuple en tant que tel a été plusieurs fois exprimée explicitement et le processus d'élimination a été systématiquement mené sous des formes diverses sur une population sans défense. 1) l'antlsémitsme de la société allemande La vigueur des idées antisémites est largement répandue dans toute la société allemande bien avant l'apparition du N.S.D.AP. (à suivre) 2) l'extermination des juifs "prophétisée" par Hitler Le 30 janvier 1939, Hitler déclarait devant le Reichstag : Hitler au Reichstag le 30 janvier 1939 xxxxxx vocabulaire
Inédit : Album(s) d'Auschwitz, par William Karel et Blanche Finger Album(s) d'Auschwitz raconte les histoires croisées de deux albums de photographies. Celui découvert par Lili Jacob, une jeune fille juive rescapée, au camp de Dora en 1945. Les photographies de cet album décrivent l'arrivée à Auschwitz, le 26 mai 1944, d'un convoi de juifs hongrois. Elles révèlent les quelques heures précédant le meurtre dans les chambres à gaz de la plupart d'entre eux. Lili Jacob faisait partie de ce convoi. Les photographies de ces deux albums ont toutes été prises par des SS. Ce document inédit est proposé à 22h45 ce mardi.Réalisé par William Karel et Blanche Finger. William Karel : "Je connaissais depuis longtemps le premier album, celui de Lili Jacob. Propos de William Karel recueillis par Pierre-André Orillard : A votre avis, à quoi était destiné l’album trouvé par Lili Jacob ? Si on peut considérer que le second album a été réalisé au titre de « souvenirs de vacances », ce que confirment les légendes des photos, la question reste posée pour le premier. Oui.
Nazis sur écoute Un membre des commandos spéciaux (Einsatzgruppen) s'apprête à tuer d'une balle dans la tempe un civil agenouillé au bord d'une fosse où s'entassent des cadavres, sous les yeux d'un groupe de soldats allemands. Cette photo d'une exécution de masse en Ukraine est un des témoignages visuels, peu nombreux, sur la «Shoah par balles», ce massacre de centaines de milliers de juifs de l'Est qui a précédé l'extermination industrielle dans les camps de la mort. Ce fut un choc pour l'opinion allemande de découvrir ces photos en 1995 dans une exposition itinérante sur la Wehrmacht. Massacres routiniers Le livre passionnant de Sönke Neitzel et Harald Welzer prolonge l'entreprise de dévoilement en s'appuyant sur les milliers de pages de transcription des bavardages entre soldats allemands faits prisonniers par les Britanniques, que ceux-ci enregistraient secrètement. La scène photographiée ici revient si souvent dans leurs conversations qu'elle fait partie de la routine de la guerre. André Burguière
La vraie histoire des «Bienveillantes» On les appelait les Einsatzgruppen. Souvent dirigés par des intellectuels, ils assassinèrent plus de 1,5 million de juifs entre 1941 et 1942. Michaël Prazan et Christian Ingrao ont étudié ces commandos dont Jonathan Littell a tiré, en 2006, son roman fleuve Pour le dossier Pierre Goldman comme pour le massacre oublié de Nankin en 1937, Michaël Prazan a alterné documentaire et livre. A l'origine, son film "Einsatzgruppen" devait durer quatre-vingt-dix minutes. Quand il avait lu dans les journaux brésiliens la formation par le régime de Vichy d'« une Légion des Volontaires de la Mort », Bernanos avait soupiré : « C'est tellement bête que ça doit être vrai.» Michaël Prazan tout d'abord. A partir de 1941, lorsque les armées allemandes envahissent l'URSS et que les pays Baltes sont déclarés «Judenfrei» («libérés des juifs»), ces fonctionnaires du crime ne cessent de porter la terreur. Comment peut-on être intellectuel et SS? (c)D.R. Croire et détruire. ©Hannah-Opale Einsatzgruppen.
Des photos bouleversantes en couleurs d'un ghetto juif en Pologne | imediabuzzy Hugo Jaeger était l’un des photographes personnels d’Hitler dans les années 30 et un grand passionné des nouveaux films couleurs. Il a eu l’occasion d’utiliser cette nouvelle technologie de l’époque en prenant une série de photographies dans le ghetto de Kutno quelques mois après l’invasion de la Pologne par les nazis, une petite ville à quelques kilomètres du ghetto de Lodz, le deuxième plus grand de Pologne.Le ghetto de Kutno comptait 8000 juifs et sera vidé dans sa totalité en 1942. Les juifs furent transportés au camp de Chełmno pour y être exterminés. Il resta à Kutno, les vieillards et les malades qui furent exécutés sur place. Pourquoi les photographies de Hugo Jaeger sont uniques ? Benjamin Siahou Source: Lifetime Copyright : Time Life Pictures
Violette Jacquet-Silberstein (1925-2014), sept décennies de bonheur après Auschwitz Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Elle aimait dire que la musique lui avait « sauvé la vie ». Qu'elle lui avait permis de traverser la nuit concentrationnaire et de jouir de près de sept décennies de bonheur. Le son de la radio, ou celui de la chaîne Mezzo, l'accompagnait continuellement, dans la chambre de l'Institution des invalides qu'elle avait intégrée en 2009. Née le 9 novembre 1925 à Petroseni, en Roumanie, Violette Silberstein a trois ans lorsqu'elle arrive en France. Le père et la mère sont immédiatement assassinés. Elle éprouve du plaisir à jouer. Depuis son retour à Paris il y a vingt ans, Violette avait trouvé une nouvelle passion : transmettre.
La carte des enfants déportés LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Denis Cosnard A première vue, cela ressemble à un plan interactif comme Internet en offre à foison. Un bel hexagone à l’intérieur duquel on peut zoomer, jusqu’à détailler chaque rue de Paris, Marseille ou encore Bordeaux. Il suffit de passer le curseur sur chaque cercle : une bulle indique le nombre d’enfants juifs qui furent arrêtés sur place, puis déportés. Des noms, des prénoms, des adresses. A l’origine de cette initiative, deux hommes.
Une carte interactive de la déportation des enfants juifs en France Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Denis Cosnard A première vue, cela ressemble à un plan interactif comme Internet en offre à foison. Un bel hexagone à l'intérieur duquel on peut zoomer, jusqu'à détailler chaque rue de Paris, Marseille ou encore Bordeaux. Des points marron apparaissent alors. Il suffit de passer le curseur sur chaque cercle : une bulle indique le nombre d'enfants juifs qui furent arrêtés sur place, puis déportés. Des noms, des prénoms, des adresses. Leur travail, très spectaculaire, est aujourd'hui étendu à toute la France. Le projet, cependant, dépasse le cadre de la mémoire et de l'émotion. Lire aussi : La carte des enfants déportés
1941-1945 - Que savait-on de la «Shoah» ? La Shoah, entreprise d'extermination systématique des Juifs d'Europe, a été menée par les nazis dans le plus grand secret de 1941 à 1945. Malgré cela, elle n'a pas échappé dès son commencement à la vigilance de quelques observateurs de bonne volonté ainsi qu'aux représentants de la Croix-Rouge. – Le gouvernement britannique savait... Informé par ses services de renseignements que les Allemands massacrent d'innombrables civils dans les zones soviétiques soumises à leur joug, Winston Churchill, Premier ministre du Royaume-Uni, lance un avertissement aux nazis dans son discours à la Nation du 24 août 1941 : « Depuis les invasions mongoles au XIIe siècle, on n'a jamais assisté en Europe à des pratiques d'assassinat méthodique et sans pitié à une pareille échelle. Nous sommes en présence d'un crime sans nom (...). À ce moment-là, il est encore difficile pour les Britanniques de faire la différence entre le crime de guerre et le crime de « génocide » (le mot n'existe pas encore).
sans titre L’entrée du camps d’Auschwitz. Cliquez sur l’image pour découvrir les autres PHOTOS. Le camp d’Auschwitz en 2015, 70 ans après sa libération Au programme de 3e, que nous traitons actuellement, la question de la Libération des camps d’extermination, et au premier chef, le tristement célèbre camps d’Auschwitz-Birkenau fait l’actualité. Nous célébrons en effet la libération par l’Armée Rouge (l’armée soviétique de l’URSS de Staline) des camps d’extermination mis en place par le régime nazi en Pologne, qui seront responsables de la mort de millions de juifs, slaves et tsiganes, « conformément » à la logique raciale et antisémite de l’idéologie nazie. Cet épisode, qui s’inscrit dans la dernière ligne droite de ce terrible Second conflit mondial, nous rappelle qu’après Stalingrad l’armée rouge jouera un rôle déterminant dans l’écrasement de l’Allemagne nazie, au prix de millions de soldats tués. Pour mieux saisir l’importance de cet épisode, je vous propose un ensemble de ressources :
Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky I. Des lettres oubliées dans une armoire II. Un lien très fort entre l’élève et son professeur III. Une lycéenne brillante IV. V. VI. Einsatzkommando - Mémoires de Guerre Chaque Einsatzkommando était composé de 3 000 hommes en général, dont 500 à 1 000 fonctionnaires de la SS. Ces groupes, opérant dans les territoires occupés, avaient pour mission d'assassiner systématiquement des opposants réels ou imaginaires au régime nazi, des intellectuels polonais, des roms, des homosexuels, des communistes, des collaborateurs du NKVD et en particulier des Juifs. Au cours de l'Opération Barbarossa qui entraîna le large repli de l'Armée rouge, les Einsatzgruppen se sont divisés en dizaines de commandos plus petits (Einsatzkommandos), responsables de l'assassinat systématique des prétendus ennemis du Reich derrière les lignes de la Wehrmacht. Après la guerre, plusieurs officiers d’Einsatzkommando ont été jugés, notamment dans le procès des Einsatzgruppen, reconnus coupables de crimes de guerre et pendus. La majeure partie des exécuteurs n'ont jamais été inquiétés. Organisation des Einsatzgruppen Le premier Einsatzgruppe en Pologne occupée Meurtres à Piaśnica