Bataille de Normandie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La bataille de Normandie est l'une des grandes batailles de la Seconde Guerre mondiale sur le théâtre militaire européen. Elle se déroule entre juin et août 1944 en Normandie, et permet aux Alliés d’ouvrir un nouveau front en Europe de l'Ouest, face aux troupes du Troisième Reich. Elle débute le 6 juin 1944 — appelé Jour J — par le débarquement (codé opération Neptune) et le parachutage des premières troupes alliées sur et aux abords des plages de l'ouest du Calvados et de l'est du Cotentin pour finir entre le 19 août 1944 (fermeture de la Poche de Falaise) et le 29 août (fin des opérations de traversée de la Seine par l'armée allemande), simultanément avec la Libération de Paris le 25 août. Son effet est renforcé par l’opération Bagration lancée le 22 juin par Staline et par le débarquement de Provence le 15 août. Certains historiens considèrent que la bataille de Normandie s'achève le 12 septembre avec la libération du Havre.
Anschluss Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’ ou [ Note 1 ] , [ Note 2 ] est l’annexion de l’ Autriche par l' Allemagne nazie le 12 mars 1938 . Les événements de 1938 ont marqué le point culminant des pressions transnationales pour unifier les populations allemandes et autrichiennes au sein d’une même nation. Dans les années qui précédèrent l’Anschluss, l’Allemagne nazie avait soutenu le parti nazi autrichien dans sa tentative de conquérir le pouvoir et de doter l’Autriche d’un gouvernement nazi. Totalement attaché à l’indépendance de son pays, mais soumis à des pressions grandissantes, le chancelier autrichien, Kurt von Schuschnigg , tenta d’organiser un référendum pour demander à la population autrichienne si elle souhaitait rester indépendante ou être incorporée à l’Allemagne. L’Anschluss fut une des étapes majeures dans la création, voulue depuis longtemps par Adolf Hitler , d’un regroupant les pays et territoires germanophones. — Adolf Hitler, Mein Kampf [ 10 ] .
Bataille d'Angleterre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En ce qu'elle mit un terme à la série de victoires éclairs et éclatantes des Allemands, la bataille d'Angleterre (en anglais : Battle of Britain, juillet 1940-mai 1941) a marqué une étape décisive dans le cours de la Seconde Guerre mondiale[1]. Elle opposa les armées de l'Air du Royaume-Uni et de l'Allemagne, soutenue par l'Italie, dans une campagne aérienne marquée par les bombardements de Coventry et de Londres, souvent désignée par l'expression « le Blitz ». Cette opération de grande ampleur était menée par la Luftwaffe pour détruire la Royal Air Force, annihiler la production aéronautique britannique et anéantir les infrastructures aéroportuaires afin de permettre à l'armée allemande d'envahir le Royaume-Uni. Un objectif alternatif était de terroriser la population britannique et de pousser son gouvernement à faire la paix avec l'Allemagne. Le contexte historique[modifier | modifier le code]
Bilan de la Seconde Guerre mondiale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Seconde Guerre mondiale fut le conflit militaire le plus meurtrier de l'histoire. Plus 60 millions de personnes ont été tuées, ce qui représentait plus de 2,5% de la population mondiale à l'époque. Cet article tente de dresser un bilan humain et matériel de cette guerre. Bilan humain[modifier | modifier le code] Comme le montre ce graphique, plus de la moitié des victimes furent des civils En 1945, de nombreuses régions sont détruites en Europe et plusieurs millions de personnes sont mortes ou blessées. Pertes militaires en Europe[modifier | modifier le code] Graphique représentant les pertes militaires en Europe selon le front de combat. Au total, selon les estimations, environ 17 877 000 de militaires sont morts sur les champs de bataille européens, dont 10 774 000 du côté des alliés et 7 103 000 du côté des forces de l'Axe. Pertes civiles[modifier | modifier le code] Bilan matériel[modifier | modifier le code]
ALBERT CAMUS Editorial de "Combat" (Texte) Le monde est ce qu'il est, c'est-à-dire peu de chose. C'est ce que chacun sait depuis hier grâce au formidable concert que la radio, les journaux et les agences d'information viennent de déclencher au sujet de la bombe atomique. On nous apprend, en effet, au milieu d'une foule de commentaires enthousiastes que n'importe quelle ville d'importance moyenne peut être totalement rasée par une bombe de la grosseur d'un ballon de football. Des journaux américains, anglais et français se répandent en dissertations élégantes sur l'avenir, le passé, les inventeurs, le coût, la vocation pacifique et les effets guerriers, les conséquences politiques et même le caractère indépendant de la bombe atomique. Nous nous résumerons en une phrase : la civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir, dans un avenir plus ou moins proche, entre le suicide collectif ou l'utilisation intelligente des conquêtes scientifiques. Qu'on nous entende bien.
Trente Glorieuses Période historique comprise entre 1946 et 1975 pendant laquelle la France et la plupart des économies occidentales connurent une croissance exceptionnelle et régulière et à l’issue de laquelle elles sont entrées dans l’ère de la société de consommation. 1. L'origine de l'expression « Trente Glorieuses » Titre de l’étude publiée en 1979 par l’économiste Jean Fourastié, l’expression fut choisie en référence aux « Trois Glorieuses » de la révolution de 1830 et à la « révolution invisible », sous-titre de l’ouvrage, dont la France fut le théâtre au cours de ces années. 1.1. En prélude à son étude, J. Le second, Cessac, dont le niveau de vie moyen est quatre à cinq fois plus élevé, où la population active est majoritairement employée dans des activités tertiaires, dont les rendements agricoles ont été multipliés par quatre et dont les ménages sont équipés de tout le « confort moderne ». 2. 2.1. 2.2. 2.3. 2.4. 2.5. 3.
Actes de capitulation du Japon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rappel des évènements amenant la reddition[modifier | modifier le code] La cérémonie officielle[modifier | modifier le code] Le général Douglas MacArthur signe les actes de capitulation au nom des Puissances Alliées. Le ministre japonais des affaires étrangères Mamoru Shigemitsu signe les actes de capitulation au nom du gouvernement japonais. Le 15 août 1945, le Japon capitule. La signature des accords dura 23 minutes et fut diffusée à travers le monde. En tant que témoins, le lieutenant-général américain Jonathan Mayhew Wainwright IV, qui avait capitulé aux Philippines, et le lieutenant-général britannique Arthur Percival, qui avait capitulé à Singapour, reçurent deux des six stylos utilisés lors de la cérémonie. Après la signature de MacArthur en tant que commandant suprême, les représentants suivants signèrent les actes de capitulation au nom de chacune des Puissances Alliées : Drapeaux à la cérémonie[modifier | modifier le code]
Pertes humaines de la Première Guerre mondiale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Classification des statistiques[modifier | modifier le code] Le nombre des pertes estimées pour la Première Guerre mondiale varie énormément. Pertes par pays[modifier | modifier le code] Pertes militaires alliées par pays. Sources du tableau[modifier | modifier le code] Les principales sources utilisées pour les pertes civiles et militaires sont les suivantes : (en) Le rapport 2006-2007 de la Commonwealth War Graves Commission[26] est la source pour les pertes militaires du Royaume-Uni, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Afrique du Sud et le Raj britannique. Pertes humaines selon les frontières modernes[modifier | modifier le code] Autriche[modifier | modifier le code] Royaume de Belgique (incluant le Congo)[modifier | modifier le code]
Conférence de Yalta Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt). Elle s'est tenue du 4 au 11 février 1945 dans le palais de Livadia, situé dans les environs de la station balnéaire de Yalta en Crimée. adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la Seconde Guerre mondiale ;régler le sort de l’Europe après la défaite du Troisième Reich ;garantir la stabilité du nouvel ordre du monde après la victoire. L'objectif principal de Staline est de faire confirmer les résultats de la conférence interalliée de Moscou du 9 octobre 1944 esquissant un plan de partage de l'Europe du Sud-Est en « zones d'influence » pour l'après-guerre. Staline négocie d'autant plus en position de force, qu'à ce moment les armées soviétiques ne sont plus qu’à une centaine de kilomètres de Berlin. Rapport des forces[modifier | modifier le code]
Traité de Versailles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le traité de Versailles est un traité de paix signé le 28 juin 1919 entre l'Allemagne et les Alliés à l'issue de la Première Guerre mondiale. Choix du lieu[modifier | modifier le code] Le lieu de la signature du traité permet à la France d'effacer symboliquement l'humiliation de la défaite lors de la guerre franco-allemande de 1870. C'est en effet dans la même galerie des Glaces, au château de Versailles, qu'avait eu lieu la proclamation de l'Empire allemand, le 18 janvier 1871. Choix de la date[modifier | modifier le code] La signature du traité de Versailles le 28 juin 1919 commémore le 28 juin 1914, date de l'attentat de Sarajevo, cause de l'ultimatum austro-hongrois adressé à la Serbie, dont le refus a déclenché la Première Guerre mondiale. Conditions de la rédaction et de la signature du traité[modifier | modifier le code] On[Qui ?] L'affaire de Fiume[modifier | modifier le code] Contenu[modifier | modifier le code]