Portail de la statistique publique Accueil > Actualités & Evénements > Dossiers Les immigrés en France Pour le suivi des flux migratoires, l'accueil et l'intégration des immigrés, l'asile et le développement solidaire. De la notion d'étranger à la définition d'immigré ; dénombrement des résidents en France au 1er janvier 2006 Enquête sur les parcours d’intégration des personnes bénéficiaires d’un premier titre de séjour ayant vocation à s’installer durablement en France... En 2009, la France a accueilli 97 736 nouveaux migrants, candidats au séjour permanent. Intégration économique, résidentielle, scoalire, sanitaire... En 2009, la France a accueilli 97 736 migrants bénéficiaires d’un premier titre de séjour, signataires du Contrat d’Accueil et d’Intégration (CAI). Tableaux annuels détaillant la nationalité, le sexe, l'âge et le motif Une mobilisation importante des réseaux familiaux et personnels pour l’accès à l’emploi... Par région et département : structure des ménages, logement, formation, emploi...
L'immigration familiale / Immigration - Immigration, asile, accueil et accompagnement des étrangers en France - Ministère de l'Intérieur Le dynamisme économique d’après-guerre, de l’Europe en général et de la France en particulier, a indéniablement été un facteur de développement de l’immigration. Les pouvoirs publics avaient initié des politiques d’encouragement d’immigration de travailleurs pour répondre aux besoins de main-d’œuvre qu’exprimait l’appareil productif livré à de fortes tensions liées à la reconstruction. Le reflux de l’immigration professionnelle, qui a coïncidé avec la fin des « trente glorieuses », a laissé place à l’immigration familiale. A l’origine, l’immigration familiale s’est développée au fur et à mesure que la situation matérielle des migrants s’améliorait. Elle correspondait, avant de devenir l’un des modes les plus répandus de concrétisation des mouvements migratoires, au désir du travailleur de se « stabiliser » sur le territoire ; le retour au pays natal devenant difficile. L’immigration familiale prend, en effet, plusieurs formes.
Gérard Noiriel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Il grandit au sein d'une famille à problèmes, dans un quartier de HLM à la périphérie de Mirecourt ; il déménage à Molsheim, en Alsace, alors qu'il a six ans. Il se voit alors attribuer un poste d'« instituteur remplaçant » dans une commune reculée des Vosges. Il découvre au début des années 1970 le militantisme politique, via les syndicats étudiants très présents sur le campus après mai 1968, comme l'UNEF et l'UEC, où il milite successivement[4]. Après sa maîtrise, il décide de passer l'agrégation d'histoire; il devient alors enseignant dans le secondaire, puis effectue son service militaire comme coopérant en République populaire du Congo, pendant deux ans. Il est ensuite envoyé par l'éducation nationale à Longwy pour enseigner dans un collège de banlieue, pendant les conflits sociaux de la fin des années 1970. Carrière[modifier | modifier le code]
Un quart des Français issus de l’immigration ? Durant tout l’été, en région parisienne, quatre affiches font la promotion de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration. Sur l’une d’elles, on peut lire : « Un Français sur quatre est issu de l’immigration », un chiffre qui peut surprendre, mais qui est attesté par différents travaux. Si vous habitez en région parisienne, vous ne pouvez pas les manquer. Quatre photos sépia illustrent de manière emblématique l’arrivée d’étrangers en France. Une campagne d’affichage due au Musée de l’histoire de l’immigration qui, par cette initiative, veut à la fois relancer un public qui se fait rare et rappeler ce que la France doit à l’apport étranger. « Un Français sur quatre est issu de l’immigration », peut-on lire au bas des clichés. Des estimations à nuancer en fonction de la géographie Le travail compliqué des démographes D’autres travaux, plus récents, ont permis de proposer des chiffres plus frais. L'une des affiches de la campagne du Musée de l'histoire de l'immigration (BETC).
Les Tchèques et les Slovaques en France depuis la fin du XIXe siècle La présence en France de Tchèques et de Slovaques, alors ressortissants austro-hongrois, remonte aux dernières décennies du XIXe siècle. Elle va fluctuer en fonction du contexte géopolitique et économique : Première Guerre mondiale, création de la Tchécoslovaquie, besoins de main d’œuvre en France, Deuxième Guerre mondiale, arrivée au pouvoir des communistes en Tchécoslovaquie et révolution de velours… Rovnost, Louvre, octobre 1907 : congrès de la Libre Pensée. © MHC-BDIC/Fonds Cinkl La présence en France de Tchèques et de Slovaques, alors ressortissants austro-hongrois, remonte aux dernières décennies du XIXe siècle. Vers l’indépendance nationale Une réunion dominicale des membres de l'association socialiste tchèque Rovnost au restaurant Brettschneider, à Chaville, en 1914. Soldats tchèques dans les tranchées françaises, Michelbach (Alsace) 1918. © Hulton-Deutsch Collection/Corbis Le temps de l’immigration organisée En 1918, la victoire des alliés permet la création de la Tchécoslovaquie.
L'immigration et l'exode des réfugiés entre 1920 et 1940 dans les Alpes-Maritimes Ne sont prises en considération que la notion Nationalité et APATRIDE, le cas des Juifs, pris dans le sens «racial» des Allemands de l’époque est traité sur le site L’histoire événementielle a souvent pris le pas sur l’Histoire des Hommes. Ils subissent plus qu’ils ne suscitent les grands faits du passé, souvent décidés en dehors de considérations sur leur vie quotidienne. La mémoire historique livresque relate plus fréquemment les grandes batailles gagnées, quelquefois perdues, que les conséquences humaines qu’elles entraînent. Les égoïsmes des possédants qui détiennent la plupart du temps le pouvoir économique apportent aussi, comme les grandes batailles, des souffrances innombrables. « Des volcans lancent des pierres et les révolutions des hommes. Traditionnellement, depuis la découverte du Nouveau Monde, les migrations se faisaient d’Europe vers les pays neufs. Entre les deux guerres, le mouvement s’est ralenti pour plusieurs raisons. Tableau 1 départements
L'immigration et l'exode des réfugiés entre 1920 et 1940 dans les Alpes-Maritimes Pour rendre ce tableau plus synthétique, nous avons transformé ces données en un graphique, qui nous indique plus clairement les répartitions par catégories professionnelles déterminées ci-dessus. Ces groupes de professions ont été conçus par le doctorant pour les besoins de cette recherche. Graphique 14 Professions regroupées en globalité On remarque le peu d’immigrants dans certains domaines : artistes, professions libérales, et une forte proportion de personnes sans qualification. Nous pouvons à nouveau subdiviser ces professions en catégories quantitatives : Tableau 14 Professions regroupées en nombre Pour le commerce, nous observons la présence de 861 commerçants, et de 584 commerçantes. Sous la rubrique « divers » nous notons, pour un chiffre global de 4 196 personnes, la présence de 363 concierges, mais surtout de 3 271 femmes de ménage. Les professions dénommées « sans qualification » révèlent un chiffre global de 8 814 personnes, soit plus du tiers du total analysé. Région du Nord
The Lost Children 1C’est une évidence d’affirmer que la seconde guerre mondiale est un conflit total(isant), dont les effets touchent au premier plan les civils, à la fois mobilisés et victimes des faits des guerres. Tout au long du conflit, ces derniers sont intentionnellement visés. Les destructions, les combats, les bombardements, les déportations, les déplacements forcés, mais aussi les mobilisations militaires et industrielles, sont autant de facteurs qui entraînent les civils au cœur de la tourmente, attaquant les familles dans leurs fondements, leur composition, leur fonction de cohésion sociale. En Europe, il en résulterait l’éclatement, à la fois géographique et « moral », de la famille traditionnelle de l’avant-guerre. La situation se caractérise notamment par des séparations, tant forcées que volontaires, entre parents et enfants, frères et sœurs. 1 Nous renvoyons ici à la conclusion générale, intitulée « From Divided Families to a Divided Europe (...)
CD || Portail du Groupe de Presse l'Avenir Ce film constitue un signal fort sur cette page oubliée de l’histoire de la transition congolaise. Nos frères et sœurs, nous ne vous oublierons jamais, a lâché une dame affectée par cette tragédie rapportée dans ce documentaire. « Un amour pendant la guerre tel est le titre du film de Mme Osvalde Lewat-Hallade qui rapporte les méfaits de différents épisodes de guerres dans les provinces de l’Est de la Rdc. Un documentaire poignant, dramatique et sensationnel qui s’illustre à un devoir des mémoires à préserver, de ces opprimés et oubliés de l’Est de la Rdc, plus de 3.500.000 personnes qui ont croise la mort dans la fournaise de guerres. Ce film sera projeté le lundi 19 mai en la salle Brel du Centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa. Ce film constitue un signal fort sur cette page oubliée de l’histoire de la transition congolaise. Ce même sentiment se fait ressentir auprès d’autres téléspectateurs qui n’ont pas hésité de faire couler les larmes. Saint Hervé M’Buy
La Voix des Adoptés - Charte de l'aide à la recherche de ses origines Charte de l'aide à la recherche L'association La Voix des Adoptés a aussi pour but d'aider l'adopté(e) à le/la guider dans sa volonté de recherches d'origines/familiales. Pour ce faire, l'association a mis en place un système d'aide sur place dans le pays de naissance via les cellules par pays et les contacts établis là bas. L'association vous remercie, via votre adhésion, du soutien que vous lui apportez pour réaliser ses projets. Cependant, il est important de préciser plusieurs points d'accord entre l'association et l'adopté(e) qui fait cette demande. Les recherches familiales sont engagées uniquement pour les personnes majeures Nous n'acceptons pas de demande de la part d'adopté(e)s mineurs, même avec l'accord parental. L'association et la cellule du pays de naissance en question se propose d'aider l'adopté(e) dans ses recherches et en aucun cas d'effectuer les recherches à sa place L'association ne demande aucune contrepartie monétaire à l'adopté pour cette aide
Saintes : douze ans après, elle retrouve sa famille grâce à Facebook Le soir où Ruta, une Saintaise de 20 ans, a vu la photo de son frère Ainars apparaître sur l'écran d'ordinateur, elle en a pleuré. Son frère, elle en a peut-être rêvé. Jamais elle ne l'avait vu. Il faut dire que Riga, la capitale de la Lettonie, c'est le bout du monde. Après plusieurs années de recherches, la jeune femme vient enfin de retrouver sa famille. Déposée par ses frères dans un orphelinat de Riga à l'âge de 3 ans, la Saintaise a vécu jusqu'à l'âge de 8 ans entourée d'autres enfants abandonnés. « Mon père et ma mère n'avaient pas d'argent pour m'élever. À 8 ans, donc, l'espoir est venu de France. Après avoir fréquenté un foyer pendant un an, Ruta s'est retrouvée en situation de semi-autonomie dans un appartement. Une caméra pour se voir « J'ai cherché. « Ils ne sont pas riches. Julien a aidé son amoureuse à traduire quelques mots de français en anglais. « Mais même l'anglais, ils ne comprenaient pas.
Une famille à la recherche de sa mémoire La mémoire est une affaire de transmission. Elle est donc d’abord une affaire de famille. Mais au Cambodge, il est parfois difficile pour les anciens de parler de ce qu’ils ont vécu pendant le régime khmer rouge. Un comportement qui arrange parfois la jeune génération, qui ne veut pas revenir sur le passé sombre de son pays et préfère s’investir dans son avenir et son développement. Le fossé qui sépare les générations au Cambodge est parfois tout aussi présent à l’étranger, dans les familles de cambodgiens qui se sont réfugiés puis installés loin de chez eux. La jeune génération à la recherche de son passé L’initiative de mémoire vient des plus jeunes. Un projet familial L’idée de docu-mémoire apparaît lors des réunions de famille. Personnage clef dans cette histoire, la grand-mère. Le documentaire sera l’occasion pour chacun de raconter, dans le cadre d’une interview, ce qu’il a vécu.