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Une nouvelle politique de l'alimentation

Une nouvelle politique de l'alimentation
4 axes pour une nouvelle politique nationale Le "produit en France" c’est à la fois une fierté pour nos agriculteurs et une garantie pour les consommateurs de produits de qualité et avec un niveau de performance environnementale, sanitaire et social que l’on nous envie à l’étranger! Stéphane Le Foll 20 février 2015 "Il ne faut jamais oublier que la finalité première de notre agriculture est avant tout de nourrir les hommes," rappelle Stéphane Le Foll. Le 8 octobre 2014, il a présenté en Conseil des ministres, les 4 axes prioritaires et structurants de cette nouvelle politique. Ces 4 priorités traduisent la volonté de faire de l’alimentation un des fondements de la citoyenneté mais aussi d’accompagner l’évolution de notre société. Stéphane Le Foll insiste particulièrement sur la question de la restauration collective, qui s’adresse à 10 millions de personnes chaque jour, et qui englobe ces différentes priorités. Les appels à projet du Programme national de l'alimentation #antigaspi Related:  Nutrition et Santé publique

Des hydrocarbures dans nos aliments : Une ONG jette un pavé dans la mare L’ONG Foodwatch a récemment publié les résultats d’une étude choc portant sur la présence d’hydrocarbures dans 120 produits alimentaires de base en France, en Allemagne et au Pays-Bas. Il s’avère qu’au moins la moitié contiendrait des huiles minérales issues du pétrole… La nouvelle fait froid dans le dos. Selon cette étude menée par l’ONG Foodwatch, on retrouverait des huiles minérales issues du pétrole dans une part alarmante des produits alimentaires de base au cœur de l’Europe. La plupart des céréales testées, ainsi que des denrées aussi basiques comme le riz ou des lentilles, seraient notamment contaminées. La France, le mauvais élève… Les hydrocarbures en question sont respectivement les MOAH (hydrocarbures aromatiques d’huiles minérales), qu’on soupçonne être mutagènes, cancérigènes et dangereux sur le plan hormonal, ainsi que les MOSH (hydrocarbures saturés), qui auraient tendance à s’accumuler dans divers organes et à les endommager.

«Partout, au restaurant ou dans votre magasin, demandez des produits sans huile de palme» En Indonésie, tout le monde connaît Aurélien Brulé. Ou plutôt son surnom, Chanee (gibbon, en thaï). Ce français de 36 ans, devenu indonésien en 2012 (et dont Libération a déjà dressé le portrait), a fondé en 1997 l’association Kalaweit pour protéger ces primates. Son programme de réhabilitation est désormais le plus important au monde. La radio qu’il a créée ou encore son émission sur la première chaîne d’information du pays sensibilisent la population au sort des gibbons, victimes de la déforestation massive. Dans une vidéo choc postée le 21 octobre sur Internet et vue plus d’un million de fois toutes plates-formes confondues, il interpellait le Président indonésien au sujet des incendies criminels qui ont ravagé le pays et assombri le ciel du Sud-Est asiatique d’un nuage de fumée toxique pendant trois mois. Sauver les gibbons, certains trouveront cela anecdotique. Pour être honnête, s’ils disparaissent, cela ne changera rien au quotidien d’un Parisien dans l’immédiat. Oui. Oui.

cna-alimentation RES Rhône-Alpes Sous la coordination de l’Agence Régionale de Santé Rhône-Alpes, du Conseil Régional Rhône-Alpes et de la DREAL, l’unité Cancer Environnement du Centre Léon Bérard et le Réseau Environnement Santé (RES), en collaboration avec Envirhonalp et la plateforme Envitera, publient le premier panorama des formations en Santé-Environnement en région Rhône-Alpes. Dans un contexte où les actions relatives aux formations en Santé-Environnement tardent à être mises en œuvre, les réflexions menées dans le cadre du 2eme Plan Régional Santé Environnement (PRSE) en Rhône-Alpes 2011-2014 ont amené les acteurs régionaux à s’engager en faveur de la formation en santé-environnement. La réalisation d’un état des lieux des formations existantes dans le domaine de la santé environnementale constitue une étape préalable essentielle avant d’engager une démarche amélioration et de développement des formations des acteurs à la santé environnementale en région Rhône-Alpes. Un premier niveau de connaissances régional

Le lien entre la maladie de Parkinson et les pesticides officiellement reconnu Un décret reconnaît cette pathologie comme maladie professionnelle chez les agriculteurs. Une avancée majeure dans un domaine où règne l'omerta. Le Monde.fr | 09.05.2012 à 19h08 • Mis à jour le 09.05.2012 à 22h01 | Par Angela Bolis C'est un pas de plus vers la reconnaissance des maladies professionnelles des agriculteurs. Un pas de plus car, dans ce domaine où règnait jusqu'ici la loi du silence, la prise de conscience des effets des produits phytosanitaires sur la santé des agriculteurs commence seulement à émerger. Quelques jours plus tard, ils étaient plusieurs dizaines d'exploitants à manifester au Salon de l'agriculture, devant le stand de l'Union des industriels de la protection des plantes. Dans ce paysage qui commence doucement à évoluer, le décret concernant la reconnaissance de la maladie de Parkinson était donc "très attendu", note Guillaume Petit. >> Lire (édition Abonnés) : "Des agriculteurs victimes de pesticides veulent rompre le silence"

Soigner son intestin pour protéger son cerveau "La solution pour soigner des troubles cérébrales se niche dans l’intestin". Cette déclaration du neurologue américain David Permultter est détaillée dans son ouvrage L’intestin au secours du cerveau, sorti le 6 janvier 2016 en France. L’idée phare d’Hyppocrate, « veiller à sa nourriture pour préserver sa santé », est actualisée grâce aux études relatées par le professeur américain David Perlmutter. Dans son livre, L’intestin au secours du cerveau, ce neurologiste invite à se nourrir de manière à protéger ses intestins et donc son cerveau. Il va jusqu’à défendre l’hypothèse de soigner l’autisme par la transplantation de bactéries saines d’un autre microbiote (ou flore intestinale). La santé passe par l’assiette Pour David Permultter, lorsqu’il s’explique à la chaîne TVO, en 2015, « cerveau et intestin sont plus que connectés, ils fonctionnent à l’unisson ». Sa réponse est basique : la solution se trouve dans l’alimentation en complément d’une activité physique.

La moitié des enfants seront diagnostiqués autistes à cause du glyphosate d’i... Selon une chercheuse du MIT, la moitié des enfants seront diagnostiqués autistes à cause du glyphosate d’ici 2025 La moitié des enfants seront autistes d’ici 2025, met en garde la chercheuse principale du MIT (Massachussetts Institute of Technology) Pourquoi ? Des preuves démontrent la toxicité du glyphosate provenant de la sur-utilisation de l’herbicide Roundup de Monsanto sur notre alimentation. Pendant plus de trois décennies, le Docteur Stephanie Seneff a étudié la biologie et la technologie, publiant au fil des ans plus de 170 articles revus par des pairs scientifiques. Diagnostiqués autistes Ses collègues on rapporté que, après la présentation du Dr Seneff « Les 70 personnes présentes étaient contrariées, probablement parce qu’elles avaient désormais de sérieux doutes concernant ce qu’elles servaient à leurs enfants, tout ce qui contient du maïs ou du soja, qui sont presque tous génétiquement modifiés et donc pulvérisés de Roundup et de son glyphosate. » Le 31/07/15 by Francky !!

Un boulanger bio explique pourquoi le blé et le gluten sont devenus toxiques Le pain fait aujourd’hui partie de ces produits devenu presque interdit pour les allergiques au gluten. Pour certains, la faute serait due à l’arrivée du blé moderne. Explication en vidéo par Jean-François Berthelot, boulanger bio. Avant de pouvoir savourer cette délicieuse baguette que vous adorez, tout un processus entre en jeu qui fait intervenir agriculteurs, transformateurs, boulangers, revendeurs. Jean François Berthelot, membre du réseau Semences Paysannes, est installé dans le Périgord et explique ce qui différencie le blé moderne des « variétés anciennes, un blé abandonné par les cultivateurs, pas assez productif ». Le mot gluten en latin signifie « colle ». "Un blé délaissé par la recherche agronomique" Le paysan boulanger travaille, lui, à partir de blé dit « impanifiable ». Le paysan boulanger souhaite une révision de la réglementation pour permettre de vendre les semences qu’il a lui même exhumé de l’Inra (Institut national de recherche agronomique).

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