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La signification de la psychologie cognitive

La signification de la psychologie cognitive
La psychologie cognitive est la branche de la psychologie qui étudie les fonctions psychiques et comportementales des êtres humains, telles que l'intelligence, le raisonnement, la logique, la perception des évènements et la résolution des problèmes. Les expérimentations La psychologie cognitive repose sur des expérimentations sur le comportement des individus par rapport à des situations précises, et mesure notamment le temps de réaction, le temps d'action nécessaire à la réalisation d'une opération donnée, sur la justesse des réponses à des questions précises, et même les données physiologiques comme ceux liés à l'oculométrie par exemple. L'architecture cognitive constitue la base de départ pour certains chercheurs qui tentent de comprendre les différents mécanismes qui gèrent la cognition. Ces mécanismes ne sont pas liés à des unités cérébrales définies, mais constituent plutôt des entités nécessaires au fonctionnement de structures distinctes du cerveau. Les types de mémoire

Thérapie cognitive, principes • Une cognition, qu'est-ce que c'est ? Le mot "Cognition" vient du latin "Cognito" signifiant : une pensée. D'un point de vue formel, le terme "Cognition" comprend l'ensemble des connaissances, des croyances et des représentations mentales d'une personne ; Dans un sens plus large, cela inclut également les mécanismes par lesquels cette personne acquiert de l'information (démarches d'apprentissage), la traite, la conserve et l'exploite. Les cognitions sont liées à la perception, à l'éducation, à l'apprentissage, à la mémoire, à l'intelligence, à la fonction symbolique et au langage. Plus simplement, on pourra retenir que nos "cognitions" sont nos croyances et nos pensées. • Nos émotions sont le fruit de nos pensées." C'est là le principe premier de la thérapie cognitive : ce n'est pas le monde extérieur qui est la cause de nos émotions et de notre humeur, mais seulement la représentation que l'on en a et les pensées qui nous traversent l'esprit. Schéma d'après David Burns. 1. [Accueil]

Treize outils utiles à l’enseignement 20 mars 2011 Henri Boudreault Didactique professionnelle, Environnement didactique, Instruments didactiques, Les pratiques, Planification, Pratique pédagogique Ceci est une présentation que j’ai réalisée pour expliquer l’utilisation de treize outils didactiques permettant de mettre en place une démarche d’enseignement différencié à l’éducation des adultes en formation professionnelle. Je présente l’idée que le choix d’une formule pédagogique ne doit pas mettre en question l’objet d’apprentissage et ses intentions. En formation professionnelle nous sommes en présence de compétences. Ensei indivi1 <p>JavaScript est requis pour lire <a hreflang="fr" type="video/mp4" href=" indivi1</a>. Ensei indivi2 <p>JavaScript est requis pour lire <a hreflang="fr" type="video/mp4" href=" indivi2</a>. Ensei indivi3 Ensei indivi4 Ensei indivi5 Ensei indivi6 Like this:

Synapse : une puce IBM qui imite le cerveau humain L’avenir de l’homme, c’est vraiment l’ordinateur. IBM veut à nouveau le démontrer via Synapse. Ce 18 août, Big Blue a révélé le résultat de ses recherches sur une architecture de puce électronique « conçue pour imiter les capacités du cerveau humain pour percevoir, agir et comprendre. » Elle apprend de ses expériences, fait les associations nécessaires, vérifie ses hypothèses et se souvient des résultats, ce qui lui permet de s’adapter seule aux nouvelles situations. Comme un cerveau biologique. Baptisées « neurosynaptic computing chips » , les puces issues de cette architecture « Systems of Neuromorphic Adaptive Plastic Scalable Electronics » (Synapse) devraient permettre d’utiliser « plusieurs ordres de grandeurs d’énergie et de place de moins que les ordinateurs actuels » , selon le communiqué d’IBM. L’architecture du mathématicien John von Neumann (en savoir plus sur sa page Wikipedia) est le modèle de référence pour les micro-processeurs actuels mais elle atteindrait ses limites.

[Entretien] Robert-Vincent Joule R.-V. Joule : Professeur de psychologie sociale à l’Université de Provence (Aix-en-Provence, France). Sylvain Delouvée : Merci d’avoir accepté cet entretien. Robert-Vincent Joule : C’est une question difficile… vous placez la barre très haut en ce début d’entretien… mais je ne me défilerai pas. Sylvain Delouvée : Pour celles et ceux qui ne connaissent pas vos travaux, comment, en quelques mots, présenteriez-vous vos thématiques de recherches ? Robert-Vincent Joule : Deux domaines, au cœur de la vie sociale, me passionnent et m’ont toujours passionné : celui du changement d’attitude et celui du changement comportemental. Sylvain Delouvée : Lors d’un entretien accordé à la Radio Nationale Dolmate (1) vous répondiez avec Jean-Léon Beauvois aux critiques qui sont souvent adressées à vos travaux sur les « armes » que vous fournissez aux manipulateurs. Robert-Vincent Joule : Je ne le pense pas. Il y a là de quoi alimenter la réflexion. Robert-Vincent Joule : Merci à vous. 1.

- La méthode La méthode du Professeur Feuerstein n’est pas qu’une simple théorie, mais plutôt une discipline englobant une philosophie, des théories structurées et des outils méthodiques qui peut être appliquée à travers différentes techniques pédagogiques et cliniques. Cette méthode est une synthèse improbable entre la confiance dans la capacité d’un individu à changer et une science et des recherches précises ; entre une approche philosophique et une approche pratique et appliquée ; entre une approche ancrée dans la foi et dans la tradition juive et une approche universelle indépendante de toute considération relative à la race, à la religion, au sexe ou à la nationalité. Cette méthode repose sur l’hypothèse selon laquelle l’intelligence humaine n’est pas fixe et les résultats des tests de QI ne reflètent pas exactement l’intelligence. Les théories, la recherche et les méthodes d’application s’inspirent d’une vision globale du monde. Cette vision du monde entraîne une révolution à deux niveaux : 1.

Éducation physique et sportive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir EPS. C'est une discipline qui privilégie l'expression du corps. EPS dans l'Union européenne[modifier | modifier le code] Pour l'Europe, une recommandation[1] encourage vivement la mise en place et la pratique dans les 27 pays de l'Union. EPS en France[modifier | modifier le code] En France, l'EPS est obligatoire pour tous les cursus d'étude, du CP à la terminale. Finalités[modifier | modifier le code] Selon les instructions officielles (BO n°6 du 28 août 2008 pour le collège et BO no 4 du 29 avril 2010 pour le lycée)[3], l'éducation physique et sportive a pour finalité de former, par la pratique scolaire des activités physiques, sportives et artistiques, un citoyen cultivé, lucide, autonome, physiquement et socialement éduqué. Didactique[modifier | modifier le code] Les conceptions et les groupes de pression s'y affrontent. Programmes[modifier | modifier le code] École primaire[modifier | modifier le code]

L'étonnante plasticité du cerveau humain Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l'Académie des sciences répondent aux grandes questions de l'actualité scientifique. Pierre-Marie Lledo, neurobiologiste au CNRS et à l'Institut Pasteur vous répond. Avec ses 86 milliards de cellules nerveuses et ses millions de milliards de connexions, le cerveau de l'homme moderne est une merveille de complexité qui n'a pourtant rien d'immuable et de figé comme le sont les composés d'un ordinateur. Toutes nos aptitudes particulières, manuelles ou intellectuelles, qui concourent à faire de chacun d'entre nous un spécialiste, un expert unique, sont pour une grande part façonnées durant les premières phases du développement cérébral de l'enfant et de l'adolescent. La première singularité concerne la lente croissance de notre cerveau qui nécessite plusieurs décennies pour s'accomplir. Programmés pour apprendre * Lauréat 2012 du prix Mémain-Pelletier décerné par l'Académie des sciences. » Le cerveau humain a rétréci depuis Cro-Magnon

Apprendre à apprendre : ça s'apprend ! - Université de Lille Université de Lille L'essentiel à savoir pour réussir sans travailler plus mais mieux. "notre chance d’avenir repose sur ce qui fait notre risque présent : le retard de notre esprit par rapport à ses possibilités" Edgar Morin, dans La méthode, tome 3 : La connaissance de la connaissance Si la capacité à apprendre est innée, car dans la nature du cerveau, le "savoir apprendre", qui favorise la réussite et mène à une véritable autonomie, est une compétence complexe qui nécessite d'acquérir une méthodologie d'apprentissage, et d'accepter de modifier ses représentations sur l'apprentissage, et parfois même ses représentations de soi. Tout apprentissage est une transformation profonde, il faut changer pour apprendre et on change en apprenant. Insolite à l'université ? Contrairement aux idées reçues, apprendre ne consiste pas simplement à accumuler des connaissances pour les ressortir plus ou moins telles quelles à l'examen. Comment apprendre à apprendre ? Le site Contact : crl@univ-lille3.fr

sociologie et histoire de l'EPS Ce qui peut paraître nouveau dans la transformation de l'épreuve d'écrit 1, c'est finalement moins la dimension historique qu'épistémologique. En effet, jusqu'à présent, l'épreuve se nourrissait essentiellement de connaissances historiques et sociologiques pour répondre à des questions disciplinaires. L'approche épistémologique peut apparaître comme une nouveauté. Est-ce vraiment le cas? Il semble que non. Ainsi, l'histoire présente plusieurs intérêts dans la formation de l'enseignant. Si nous avons pu construire différents rôles attribués à l'histoire dans la culture des concours en EPS à travers une analyse historique des concours, pour autant ces trois modèles dépassent le cadre disciplinaire et offrent trois manières de concevoir une formation historique de l'enseignant. Nous nous sommes inspirés de cette analyse en trois temps dans la construction d'une compétence historique de l'étudiant par une triple approche. 1. Exemple de périodisation de l'EPS après 1945: 2. 3. 1. 2. 3. 4. 5.

Cerveau, apprentissage et enseignement Il y a quelques années, la pertinence de s’intéresser au cerveau en éducation était plutôt limitée. Intuitivement, les chercheurs, les enseignants et les autres intervenants du milieu de l’éducation se doutaient bien de l’existence d’un lien important et profond entre le cerveau et les apprentissages scolaires. Cependant, ce lien n’était ni clair ni appuyé sur des connaissances scientifiques solides, ce qui rendait les retombées éducatives des recherches sur le cerveau somme toute peu nombreuses et fragiles. Aujourd’hui, par contre, grâce aux avancées considérables de l’imagerie cérébrale et des neurosciences en général, cette situation a considérablement changé. Dans cet article, nous présentons trois grandes découvertes qui permettent non seulement d’établir des ponts plus solides entre le cerveau et l’éducation, mais aussi d’appuyer l’hypothèse selon laquelle mieux connaître le cerveau des élèves peut nous aider à mieux leur enseigner. Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner

Comment développer l'estime de soi B. Talents et capacités a. Maîtriser mes fonctions intellectuelles Les besoins affectifs ne sont pas les seuls constituants de notre être. L'intelligence humaine permet d'analyser et de comprendre la réalité. 1. De cette façon, nous conservons une maîtrise sur ce qui nous influence et sur nos choix qui en découlent. 2. Toutes les sociétés ont tendance à dicter des idées et à peu apprécier la critique, la remise en question et la déviance intellectuelle. Si nous choisissons de perfectionner notre personne au plan intellectuel autant que qu'aux plans affectif et physique, il faut nous attendre à déployer des efforts. Il est tentant d'accepter le diagnostic de "déficit d'attention" fort à la mode et facilement applicable à mon fils. Je décide donc d'essayer de comprendre. Ces quelques mois d'investissement sont récompensés le jour où mon fils s'ouvre. Cette expérience m'amène beaucoup de satisfaction et renforce ma confiance dans ma capacité de comprendre des situations complexes. 3. b.

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