Animus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition en psychologie analytique[modifier | modifier le code] « Chez la femme, à l'inverse, l'élément de compensation revêt un caractère masculin, et c'est pourquoi je l'ai appelé l'animus. Si, déjà, décrire ce qu'il faut entendre par anima ne constitue pas précisément une tâche aisée, il est certain que les difficultés augmentent quand il s'agit de décrire la psychologie de l'animus. (...) Le fait qu'un homme attribue naïvement à son Moi les réactions de son anima sans même être effleuré par l'idée qu'il est impossible pour quiconque de s'identifier valablement à un complexe autonome, ce fait qui est un malentendu se retrouve dans la psychologie féminine dans une mesure, si faire se peut, plus grande encore. (...) D'après Elysabeth Leblanc dans son ouvrage La psychanalyse jungienne, l'Animus, comme l'Anima, comporte de stades selon le niveau psycho-affectif de la femme. « La femme doit veiller sur son animus, sur sa nature.
Âme en psychologie analytique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le concept d'âme dans l'œuvre de Jung[modifier | modifier le code] Genèse du concept chez Jung[modifier | modifier le code] Cinq ouvrages principaux traitent du concept de l'âme en psychologie analytique dont : Problèmes de l'âme moderne, L'Âme et la vie, L'homme et ses symboles et Dialectique du moi et de l'inconscient ainsi que Les Énergies de l'âme. L'âme objet de la psychologie analytique[modifier | modifier le code] Selon Friedha Fordham « Jung a choisi les termes psyché et psychique pour parler de l'esprit et de l'activité mentale, car si esprit et mental sont principalement associés à la conscience, psyché et psychique couvrent à la fois la conscience et l'inconscient »[1]. La psychologie analytique envisage plusieurs voies possibles pour accéder à la psyché et qu'elle nomme les manifestations psychiques. Structure de la psyché[modifier | modifier le code] Références et sources[modifier | modifier le code] Autres ouvrages de C.
Féminisation de la langue: quelques réflexions théoriques et pratiques Les personnes lisant régulièrement ce blog auront sûrement remarqué que j’essaie au maximum d’éviter d’employer le masculin universel (j’explique ci-dessous ce que j’entends par là). Je voudrais tenter d’expliquer pourquoi (c’est le côté théorique) et surtout comment, par quelques réflexions liées à mon parcours sur cette question et à ma pratique comme féministe, blogueuse, mais aussi comme prof de français langue étrangère. Cette pratique est en évolution constante. Alors que j’étais d’abord extrêmement réticente, je me suis habituée à ces graphies à force de lectures et d’échanges militants, et j’aurais du mal aujourd’hui à faire marche arrière. Ces théories et pratiques rencontrent énormément de résistances. J’ai bien conscience que traiter ce genre de sujet va m’attirer plein de remarques sympathiques en commentaire. Une dernière remarque avant de commencer, à propos du titre: le terme de « féminisation » pour désigner ces pratiques n’est pas forcément adapté. Problèmes rencontrés
Synchronicité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Le voilà, votre scarabée », dit Jung à sa patiente en lui tendant un insecte apparu alors qu'elle racontait son rêve d'un scarabée d'or. La notion de synchronicité se distingue clairement de ces notions cependant. Sur le plan de l'expérience, la rencontre avec un événement synchronistique, à la différence de la rencontre avec un archétype ou une autre manifestation de l'inconscient collectif, a un tel degré de signifiance pour la personne, mais surtout apparaît d'une manière si fortuite et choquante pour le sens commun (malgré le sens qu'il revêt, ou à cause du sens qu'il revêt, pourrait-on tout autant dire), que la personne s'en trouve transformée. Sur le plan théorique, les synchronicités (si du moins on en accepte l'existence) remplissent un tel rôle. Elles posent un défi à la notion de causalité telle qu'on l'entend habituellement et à l'idée du monde et de la place du sujet dans celui-ci (dans l'Occident moderne à tout le moins).
101 Everyday Ways for Men to Be Allies to Women | Michael Urbina I’ve considered myself a feminist and male ally to women for quite some time. When I took my first Women’s Studies class two years ago with Professor Denise Witzig, little did I know that it would take me down an unsuspecting, beautiful, and transformative path towards feminism. Below, I’ve complied a list of 101 everyday ways for men to be allies to women. I must acknowledge that this post was written with cisgender, heterosexual men as a possible, target audience due to the lack of support from this group. However, I feel that many of these points are applicable on a broader scale. 1. I’m very intentional in making this point first. 2. In order to be a successful ally, you must make a daily effort to understand privilege. 3. Allies are not perfect by any means. 4. If you’re serious about being an ally, I think this point is somewhat obvious. 5. 6. Another example of street harassment… Look guys, we have been brought up to objectify women. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18.
Archétype (psychologie analytique) L'archétype est ce qui forme a priori l'expérience humaine, par la structure même du cerveau, et qui conditionne les schémas de pensée ou de représentation. L'archétype est pour la psychologie jungienne un processus psychique fondateur des cultures humaines car il exprime les modèles élémentaires de comportements et de représentations issus de l'expérience humaine à toutes les époques de l'histoire, en lien avec un autre concept jungien, celui d'inconscient collectif. Si Jung et ses continuateurs ont toujours évoqué l'archétype comme une hypothèse à propos de la structure profonde du psychisme, ils en ont cependant fait un pivot de la psychologie analytique très polémique, corollaire du concept également controversé d'inconscient collectif. Pourtant Jung n'est pas le premier à évoquer la possibilité d'existence d'« images primordiales » conditionnant l'imaginaire et la représentation ; avant lui en effet de nombreux philosophes en ont postulé l'influence sur la nature humaine. Henri F.
La femme moderne selon les magazines féminins Temps de lecture: 5 min Pour un garçon, partir en vacances avec une fille implique deux choses: 1) supporter ses interminables séances de bronzage et 2) en profiter pour feuilleter les magazines féminins qui traînent sur le coin de sa serviette. Une lecture appréciée de la plupart des mâles, quoiqu'ils en disent: sous prétexte de se moquer de leurs traditionnels psycho-tests, c'est l'occasion de se rincer l'œil en douce (tous les mecs savent qu'il y a bien plus de demoiselles à poil dans Elle que dans n'importe quel FHM). Mais ça permet aussi de se mettre activement à la place d'une fille pendant quelques minutes. Ah, on nous murmure à l'oreillette que la presse féminine est simplement «frivole» et «pas prise de tête». La vie de la femme moderne n'est qu'un long orgasme Eh oui, les filles, pour pouvoir vous regarder fièrement dans la glace à la fin de l'été, vous avez intérêt à coucher. En vrac: «Où faire l’amour? La femme moderne n’a qu’une obsession: séduire Vous êtes grosse et moche?
Inconscient collectif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'inconscient collectif est un concept de la psychologie analytique s'attachant à désigner les fonctionnements humains liés à l'imaginaire, communs ou partagés, quels que soient les époques et les lieux, et qui influencent et conditionnent les représentations individuelles et collectives. Selon le psychiatre suisse Carl Gustav Jung (1875–1961), créateur du concept, l'inconscient collectif constitue « une condition ou une base de la psyché en soi, condition omniprésente, immuable, identique à elle-même en tous lieux »[D 1]. Toujours selon lui, « les instincts et les archétypes constituent l'ensemble de l’inconscient collectif. Je l’appelle "collectif" parce que, au contraire de l’inconscient personnel, il n’est pas fait de contenus individuels plus ou moins uniques ne se reproduisant pas, mais de contenus qui sont universels et qui apparaissent régulièrement[D 2]. » Définition[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code]
Observatoire du bonheur 2014 – Femmes | Observatoire du bonheur 2014 – Les femmes Imagination active Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'imagination active est une méthode de la psychologie analytique, théorie créée par le psychiatre suisse Carl Gustav Jung. La méthode consiste à donner une forme sensible aux images de l'inconscient et d'élargir ainsi la conscience. Selon Elie Humbert, continuateur de Jung, l'imagination active est une « méthode de confrontation avec l’inconscient, élaborée par Jung en 1913. Genèse du concept chez Jung[modifier | modifier le code] L'imagination active avant Jung[modifier | modifier le code] Les visions, reproduites sous forme d'enluminures par la sainte mystique Hildegarde de Bingen sont, selon Jung, faites par la voie de l'imagination active. Dès 1929, alors qu'il étudie les livres chinois Le Mystère de la Fleur d'or et le Yi King, Jung constate que la doctrine du non-agir taoïste est similaire à la méthode moderne de l'imagination active en dépit d'une explication philosophique. Art et imagination active[modifier | modifier le code]