Article - Hygiène, coiffure, maquillage - Aux bains Les Romains allaient régulièrement aux bains publics, que l’on appelait également thermes. Les villes, et même les bases militaires de l’Empire, possédaient des bains. Les Romains s’y lavaient et y retrouvaient des amis. Certains faisaient de l’exercice, jouaient au ballon ou faisaient des affaires. Hommes et femmes venaient séparément, à des heures différentes; les bains étaient ouverts aux femmes le matin et aux hommes l’après-midi, l’entrée était gratuite. Ils alimentaient aussi en permanence un feu dans les sous-sols pour chauffer l’air qui circulait dans les conduites et les briques creuses des murs. Les Romains utilisaient de l’huile d’olive en guise de savon. Les thermes comprenaient des salles de gymnastique, des jardins, des salles de réunion, des vestiaires, des saunas, divers bassins et des bibliothèques. Aller aux bains comportait plusieurs étapes: les Romains s’échauffaient en jouant à la balle ou en courant, puis ils se déshabillaient et passaient au bain.
Costume de la Rome antique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Drapé de la toge : bras droit libre, bras gauche couvert Matières premières[modifier | modifier le code] Les Romains ont utilisé plusieurs types de fibres différents. La laine était probablement la plus utilisée, car elle était facilement disponible et relativement facile à préparer. Ces fibres, de natures différentes, devaient être préparées de différentes manières. La fibre la plus utilisée, la laine, a sûrement été le premier type de fibre tournée[3]. La soie et le coton étaient importés de Chine et d'Inde, respectivement. Les découvertes archéologiques montrent des vases grecs dépeignant l'art du tissage. Les tissus employés étaient les mêmes qu'en Grèce, mais les techniques de tissages s'étaient améliorées et les étoffes de lin et de laines étaient d'une plus grande finesse. La tannerie[modifier | modifier le code] Les Romains savaient obtenir du cuir souple, et du cuir dur (en le faisant bouillir) pour créer des armures. On dénombre :
Mode romaine (collège Jaurès de Cransac) L'habit fait le romain Que portaient les enfants romains dans l'antiquité ? Les Romains appliquent un linge imbibé d'huile sur le nombril de l'enfant, puis il est emmailloté. leurs corps soient déformés. trois mois après que l'on démaillotera définitivement le bébé. Bébé emmailloté en rectangle Bébé emmailloté en spirale Le jeune enfant commence à porter la toge prétexte (toga praetexta) jusqu'à sa majorité. Enfants portant un cucullus Les Romains de dix sept ans ont le droit de porter la toge virile (toga virilis) quand leur père ou leur tuteur le décident. Quels vêtements portent les Romains ? Romains portant la toge Les hommes ne portent la toge (toga) que dans des cas particuliers comme la cérémonie. Au début la tunique n'a pas de manches, plus tard on ajouta pour les hommes de petites manches qui ne descendent pas jusqu'au coude. Sénateurs est blanche à bord rayé de pourpre (la toge prétexte). Comment draper la toge L'hygiène Ils s'y lavent et y retrouvent des amis. Thermes de Pompéi
Fibule Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La fibule (du latin fibula signifiant attache) est une agrafe, généralement en métal, qui sert à fixer les extrémités d'un vêtement. Elle est généralement considérée comme l'ancêtre de l'épingle de sûreté. Les premières fibules apparaissent au Bronze final. La fibule de Nordendorf (VIIe siècle apr. Fibule trouvée à Braganza (250-200 ap. Fibule romaine dite « en Oméga », construite sur le principe de la boucle de ceinture Présentation[modifier | modifier le code] Les fouilles archéologiques ont permis de retrouver de nombreuses fibules en métal (bronze, argent, or, fer) ou ivoire, dont certaines incrustées de pierres précieuses ou richement ornementées. Aujourd'hui, les fibules aident les archéologues à dater les couches stratigraphiques qu'ils fouillent. Techniques de fabrication[modifier | modifier le code] Composition d'une fibule[modifier | modifier le code] Elles pouvaient avoir un corps rond, ovale, carré, plat ou torsadé. Fibule type Haslau
Mode dans la Rome antique « Mode dans la Rome antique » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior La tenue des Romains servait avant tout à reconnaître leur importance dans la société, seuls les gens riches avaient les moyens de se vêtir convenablement. Les femmes, les hommes et les enfants portaient tous une tenue différente. Presque tous les vêtements romains étaient en lin ou en laine, mais ceux faits en laine n'étaient pas agréables à porter. Après sa toilette matinale, la Matrone Romaine se fait aider par ses esclaves (ornatrix) pour se préparer, alors que les hommes se préparent seuls. Les femmes[modifier] Vêtements[modifier] La jeune femme est vêtue d'une tunique de base de laine ou de lin tombant sur les chevilles, qu'elle porte aussi pour rester chez elle. Coiffures[modifier] Les coiffures sont très importantes pour les femmes, elles se font coiffer par leurs esclaves personnels. Bijoux[modifier] Chaussures[modifier] La femme porte des sandales brodées ou perlées le plus souvent.
Pallium gréco-bouddhique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le pallium est un vêtement d'une seule pièce, mais il sert aussi de couverture pour la nuit, comme le précise par exemple Juvénal[1]. Version féminine du pallium: la palla (Livia Drusilla, Madrid) Le pallium est rabattu sur l'épaule gauche, passe dans le dos, puis sous le bras droit laissant l'épaule droite découverte. Le pallium romanisé est vêtu ensuite par toutes les couches de la population, et il est adopté d'abord par le peuple comme vêtement quotidien au IIe siècle. Le manteau romain est de couleur différente: pour le peuple, il est en coton (pallium carbaseum) ou le plus souvent en laine naturelle[7] donc gris ou beige clair et descend simplement en dessous du genou, pour les hautes classes, il est blanc, pourpre[8], noir, bleu, ocre jaune[9] (couleur safran), jaune croceus porté par les femmes et les hommes efféminés (selon Cicéron[10]), le vert pâle est aussi prisé[11]. Cette symbolique est reprise dans l'Empire romain d'Orient.
Images : Secret de la fibule Grâce à la découverte d'ateliers de métallurgie sur le site archéologique de l'Oppidum de Bibracte, au Mont Beuvray, une étude très détaillée sur les fibules (sortes d'épingles de nourrice servant à agrafer le manteau) et leur fabrication est menée. Pour ce faire, la mise au point d'une typologie (classement des fibules en 4 types) est effectuée, ainsi qu'une étude en laboratoire de l'alliage et des technologies de fabrication utilisées. Un bronzier d'art fabrique une fibule selon la technique de la fonte à cire perdue pour vérifier les hypothèses avancées sur le matériel utilisé, les gestes pratiqués et le temps consacré à la fabrication. Les archéologues montrent les vestiges d'un atelier de métallurgie et les objets (creuset, ratés de fabrication...) qui s'y trouvent encore, retrouvés lors de fouilles récentes.
5 Facts You Didn't Know About Roman Fashion Posted on 15. Oct, 2013 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture 1. Not everyone wore togas. Only free-born men were allowed to wear togas (as a sign of citizenship), while women wore stolas. Prostitutes and adulterers wore togas, because they were not allowed to wear stolas and this male garment was a sign of their female disgrace and shame. HBO’s Rome Series 2. Spiny dye-murex 3. A strigil used to collect strigmentum. 4. Bronze Phallic Wind chime( tintinabulum). 5. Tags: Latin language, Roman Clothing, roman culture, Roman women Share this Post! About Brittany Britanniae Hello There!
Online Companion: Body Women about to bathe, bronze mirror cover Hera, goddess of marriage and the ability to procreate, and Venus, goddess of the youthful and virginal beauty that attracts the male gaze and gives sexual pleasure, symbolize the twin cultural expectations of women's bodies. Roman history bears witness to the fact that women's bodies were not their own but, lying at the intersection of public interest as they did, were constitutionally entrusted to males to regulate and administer for the good of the state. Body is at the crux of male and female biological and cultural difference, thus setting conservative gender and sex roles and ideals. Numerous examples testify to the impact of the female body on civic well being: the rape of the Sabine women and its result in new citizens; the rape of Lucretia which ended the monarchy; the arranged marriage of Julia which brought Caesar and Pompey into alliance while her death in childbirth, an event all too common in antiquity, allowed it to dissolve.
Public Life 'If each man of us, fellow citizens, had established that the right and authority of the husband should be held over the mother of his own family, we should have less difficulty with women in general; now, at home our freedom is conquered by female fury, here in the Forum it is bruised and trampled upon, and, because we have not contained the individuals, we fear the lot ... 'Indeed, I blushed when, a short while ago, I walked through the midst of a band of women. Had not respect for the dignity and modesty of certain ones (not them all!) restrained me (so they would not be seen being scolded by a consul), I should have said, "What kind of behaviour is this? Running around in public, blocking streets, and speaking to other women's husbands! After this, when the tribunes of the people, who had declared that they would oppose the motion to repeal, had added a few remarks along the same lines, Lucius Valerius spoke on behalf of the motion which he himself had brought:
The Roman Toga The toga is the definitive representation of the Ancient Roman. It is depicted in Ancient and Renaissance art, and various styles of the toga have lasted throughout the generations. Togas were important social representations, denoting power, occupation, and social place of upper class Roman citizens. Coming from the Etruscans, and modified throughout the years, the toga was worn exclusively by prominent Roman men through the period of the Republic and the early Empire, though not always happily. Togas were heavy and hard to move in, and did not lend themselves to the active Roman. There were several types of togas worn throughout the years. Toga virilis – made of undyed wool, this toga was off-white in color and was the “everyday” toga for an adult male citizen. Toga pulla – this toga was a dark gray or brown garment that was reserved for periods of mourning. Toga candida – A toga for political candidates, its bright white-dyed color symbolized the candidate’s purity and honesty.
Découverte du costume antique à travers les collections du musée • Le vêtement grec, du drapé et du cousu Tous les vêtements portés par les Grecs ont la même base : une pièce de tissu rectangulaire qui peut atteindre 2 m de largeur pour 3 m de longueur. Ils se différencient ensuite par la façon dont ils ont drapés, cousus ou disposés. Le chiton, par exemple, est la pièce de vêtement la plus courante puisqu’elle est portée par les hommes, les femmes et les enfants. Photo : J. Au contraire, le peplos, pièce uniquement féminine, est très présent dans l’iconographie et surtout sur la sculpture. Statue d’Harpocrate datant du IIe ou du IIIe siècle, découverte à Chiragan. L’exomide est un vêtement quelque peu à part. Réplique (IIe siècle) en miniature de la statue d’Athéna du type Velleteri sculptée par le Grec Crésilas au IVe siècle avant notre ère. Les vêtements de dessus grecs sont uniquement drapés. • Une continuité des formes dans le costume romain Fragment d’un relief représentant l'empereur Maximien Hercule, découvert à Chiragan. • Bijouterie romaine
laviedesclassiques Plaute, Epidicus, 218-235, texte établi et traduit par A. Ernout, CUF. Périphane. – Quelle est cette autre, Épidique ? Épidique. – Celle dont ton fils est amouraché, entiché depuis tant d’années, celle avec qui il perd au grand galop son crédit, sa fortune, sa personne, et la tienne en même temps. Elle l’attendait près de la porte. Périphane. – Voyez l’empoisonneuse ! Épidique. – Mais avec une toilette, des bijoux, une parure ! Périphane. – Comment était-elle mise ? Épidique. Périphane. – Comment, elle avait sur elle un impluvium ? Épidique. – Cela t’étonne ? Périphane. – Comment ? Épidique. – Et la robe à la Laconienne ? Hérodote, Histoires, V, 87-88, texte établi et traduit par PH. L’unique rescapé rejoignit Athènes où il annonça le désastre et, à cette nouvelle, les femmes des combattants envoyés contre Égine, indignées qu’il se fût sauvé seul, l’encerclèrent et le déchirèrent avec les agrafes de leurs manteaux, en lui demandant où se trouvaient leurs maris.
Atelier couture : des milliers de patrons gratuits de costumes anciens Sur le site Open Culture, on retrouve des centaines de patrons gratuits pour réaliser des costumes historiques médiévaux, élisabéthains et victoriens. Qui, par exemple, n’a jamais eu envie de savoir ce que l’on ressent à porter un corset rudement serré ? Hmm ? Personne ? Ah… Le site recense dans tous les cas des liens en pagaille pour tailler un bout de gras et quelques étoffes — notamment ceux que propose le Costume & Textiles Pattern Project, dont les modèles de patron en PDF détaillent la totalité des coupes et des costumes anciens. Et une brassière modèle 1910, ça vous habille une femme avec un aplomb terrible et un sex-appeal redoutable.