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How Attorney General Eric Holder Colluded With Bank Of America To Destroy Wikileaks And Silence Unfriendly Journalists, Including Glenn Greenwald

How Attorney General Eric Holder Colluded With Bank Of America To Destroy Wikileaks And Silence Unfriendly Journalists, Including Glenn Greenwald
Note: This story was published by Wikileaks via Twitter to their 800,000 followers. In light of the Assange speech this weekend, we are reposting several Wikileaks stories. When we wrote a few weeks ago about Eric Holder, Wikileaks and Bank of America, we focused on the irony of the U.S. Why hasn't Eric Holder asked to see the evidence, which Wikileaks claims to have, that executives at one of our largest banks may have committed serious crimes? Let's be honest, Holder doesn't really give a rip about financial crimes, but the media should at least be asking him why he doesn't want to see the evidence. For some reason, Holder and the rest of the Obama administration would rather endanger our Constitutional rights to due process and a free press by persecuting journalists on specious charges, than to actually do their job and enforce the law. However, new information has surfaced that shines a whole new light on the situation. But one bit of information has been largely overlooked:

"Disclosure's Effects: WikiLeaks and Tran" by Mark Fenster Mark Fenster, University of Florida Abstract Constitutional, criminal, and administrative laws regulating government transparency, and the theories that support them, rest on the assumption that the disclosure of information has transformative effects: disclosure can inform, enlighten, and energize the public, or it can create great harm or stymie government operations. This article studies WikiLeaks in order to question and evaluate prevailing laws and theories of transparency that build on the assumption that disclosure’s effects are predictable, calculable, and capable of serving as the basis for adjudicating difficult cases. Suggested Citation Mark Fenster.

WikiLeaks : entre désinformation et faits-zombies On le sait : un mensonge répété mille fois a plus de chance de faire figure de vérité, surtout si les médias se transforment en perroquets de la désinformation. Un certain nombre de factoïdes circule à propos de WikiLeaks. Et ils ont la peau dure ces faits-zombies : l’information vérifiée et, parfois, le simple bon-sens ont du mal à les faire disparaître. 1. Jusqu’à présent, aucune preuve n’a permis d’établir que les révélations de WikiLeaks aient coûté la vie à qui que ce soit. 2. WikiLeaks a publié un peu moins de 2.000 des 251.287 télégrammes en sa possession. 3. Le Département d’État américain se creuse la tête pour trouver le crime qu’aurait pu commettre Julian Assange. Alors que le gouvernement essaye de trouver une justification légale d’attaquer Assange, les médias contribuent à le présenter comme un criminel. 4. 5. 6. Comme nous l’avions vu dans un article précédent, Julian Assange aurait accepté de vendre ses droits pour l’écriture d’un livre autobiographique. 7. 8.

Merci Wikileaks - Transnets - Blog LeMonde.fr La mise à nu des secrets du pouvoir est ce dont rêve tout journaliste et ce dont a besoin tout citoyen. C'est au cœur de mon enthousiasme pour la révolution digitale. Je suis donc ravi. J'apprécie particulièrement que le rapport - trop souvent complice - entre médias et pouvoirs vole en éclat. Car, le héros dans cette affaire n'est pas Wikileaks mais Bradley Manning, le soldat de première classe qui semble avoir fourni les documents. Big Brother reste un danger auquel nous devons toujours être attentif. Tout le monde n'est pas journaliste mais tout le monde peut informer. Sans les centaines de professionnels mis sur le coup par les quotidiens ayant bénéficié d'un accès préalable aux documents de Manning, nous, citoyens, aurions le plus grand mal à nous y retrouver dans cette masse de documents. Mais, plus important encore que les implications journalistiques, l'affaire pose la question de la transparence et de ses excès éventuels. La réponse n'est pas évidente. Une chose encore:

What's Next for WikiLeaks? More Infographics on Good Wikileaks : Bradley Manning, à l'origine des fuites sur l'armée US Julian Assange - flickr - New Media Days - cc Du même auteur Bradley Manning, 23 ans est soupçonné être à l’origine des fuites concernant l’armée et la diplomatie américaines. Bonne année à tous.

Extension du champ démocratique Cela fait maintenant quelques semaines que l'explosion "cablegate" a eu lieu. La fumée commence à se dissiper et on peut espérer y voir plus clair. Enfin, c'est un peu moins trouble et on mettra sans doute beaucoup de temps à tout exploiter et à tirer toutes les conséquences d'un évènement qui n'est finalement que la réalisation spectaculaire d'une virtualité contenue dès le départ dans internet. Que s'est-il passé ? c'est assez simple dans les faits : des informations qui, jusqu'ici n'étaient connues (plus ou moins) que d'une petite élite politico-médiatique se retrouvent portées à la connaissance de l'ensemble de la population. Le coeur du pouvoir, c'est la détention de l'information. Il y a pourtant une frange de la population qui est intéressée par ces informations, qui cherche à les avoir, et qui jusqu'ici, avait beaucoup de mal.

WikiLeaks fait trembler Bank of America, actualité Economie : Le Point Bank of America se trouve au centre des conjectures depuis que WikiLeaks a menacé de s'attaquer à une grande banque américaine, jamais nommée, mais les analystes doutent que ces révélations soient suffisamment fracassantes pour ébranler l'établissement. Les ennuis de la plus grande banque américaine ont commencé le 30 novembre après la publication par le magazine Forbes d'une interview de Julian Assange. Le fondateur du site internet spécialisé dans la publication de documents confidentiels y affirme qu'il publiera début 2011 des éléments compromettants pour la direction d'une "grande banque américaine", sans la nommer. Placer ses "fonds dans un endroit plus sûr" (WikiLeaks) Aussitôt, les médias américains déterrent un autre entretien donné un an plus tôt par Julian Assange, au magazine Computer World, où il affirmait détenir "5 gigaoctets de données provenant de Bank of America, du disque dur d'un de ses dirigeants". Supputations sur les révélations "M.

Wikileaks : les réactions des organisations de défense de la liberté d’expression · Global Voices Ceci est un billet d'invité, publié sur le blog de Katitza Rodriguez, Directrice des droits internationaux pour l’Electronic Frontier Foundation (EFF). Cela fait déjà plus de deux semaines [au 16 décembre 2010] que cablegate.wikileaks.org, le site sur lequel ont été publiées les « fuites » sur les échanges entre diplomates américains, a été fermé, bafouant ainsi du même coup, le droit pour Wikileaks de publier d'authentiques informations. Depuis lors, les organisations de défense de la liberté d'expression à travers le monde ont condamné les attaques contre WikiLeaks et ont décidé d’élever leurs voix pour dénoncer les atteintes à cette liberté. EFF a noté que Wikileaks a en fait été victime d’un certain nombre « d’idéologies politiques » qui tendent à museler toute expression libre sur des questions de politique intérieure. Les lois internationales sur les droits humains reconnaissent la liberté d’expression.

Julian Assange : gros contrat d'édition pour maintenir Wikileaks à flot ActuaLitté Homme de l’année, en tout cas, personnage médiatique de l’année, c'est certain : Julian Assange, fondateur de Wikileaks, n’avait pas vraiment envie de rédiger ses mémoires. Mais il n’a pas eu le choix. Les frais, que voulez-vous... Dans une interview accordée au Sunday Times, il vient d’expliquer que le contrat pour ce livre se chiffre à plus de 1,4 million d’euros, une somme qu’il va (devoir) immédiatement réinvestir. D’abord, parce que les frais engagés dans son procès pour agression sexuelle, intenté par deux femmes en Suède lui ont déjà coûté 220.000 euros, et qu’il va falloir encore en injecter dans les semaines à venir. Ensuite, précise-t-il, il va falloir « maintenir à flot Wikileaks », chose coûteuse, en dépit des sites miroirs qui se sont créés un peu partout dans le monde. Pour faire un petit calcul, l’Australien explique que Alfred Knopf, l’éditeur américain, lui versera 600.000 euros, et Canongate, l’éditeur anglais, versera 380.000 euros. Wanted, dead or alive

Julian Assange, l'homme de l'année passera-t-il 2011? Même lorsqu’il dort en prison, l’Australien mutant de l’ère de l’information reste une espèce extrêmement dangereuse. Pas seulement aux yeux des gouvernements ou des multinationales, qui attendent désormais avec anxiété le millésime 2011 de WikiLeaks… Aussi pour une bonne partie de la presse mondiale, bousculée dans ses certitudes par la tornade WikiLeaks. Ainsi, la désignation de "Man of the year" par le vénérable Time Magazine, aura été tout un symbole. Ce rituel de fin d’année, observé depuis 1927 et symbole de la bonne parole journalistique délivrée aux lecteurs, a presque failli dérailler sur la toile. Privé du titre de l’homme de l’année par le Time A la mi-décembre, Time a désigné comme "Man of the year" Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook. On ne connaîtra jamais le rôle exact qu’ont joué ses supporters dans le sondage en ligne de Time Magazine. Assange, Ulysse technoïde du Net OpenLeaks pour contrebalancer "l’attitude dictatoriale d’Assange" David André

Wikileaks, la fascination de la transparence Le dévoilement des mémos du département d’Etat américain soulève une fascination. Une aubaine pour le tirage des journaux et les sites qui les publient. Ce succès d’audience ne signifie pas que tous les lecteurs applaudissent à cette transgression: on peut ne pas approuver le viol de documents couverts par le secret étatique, et pourtant se délecter de cette lecture. Ces documents constituent autant de traces de l’action et des paroles des diplomates —un mélange d’informations, de supputations, d’analyses, d’espoirs, de jugements sur les uns et sur les autres. Ils remplissent les blancs de ce qui se passe dans le jeu de ces acteurs qui informent les dirigeants politiques, dont on ne voit, au bout du compte, que les décisions intermédiaires ou finales. Ils reflètent, somme toute, le comportement humain le plus «humain». publicité Un supplément d'âme Ces télégrammes diplomatiques révèlent-t-ils tant de choses? Les historiens ne s’y sont pas trompés. La force de l'évidence Monique Dagnaud

by anamada Oct 5

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