15 photos that show how our planet is changing Earth is a living, breathing organism. It is undergoing constant changes — glaciers melt, rivers dry up and appear again, cities expand, forests and deserts shift around. And all the while, our planet remains breathtakingly beautiful. Today, Bright Side brings you a selection of incredible NASA photos that demonstrate how the face of the world has changed over the last century! Growth of cities (Nevada, 1984 — 2007) The pictures clearly show both the expansion of the city of Las Vegas and the drying up of Lake Mead on the Nevada-Arizona border. An evolution of a river (Mexico, 1985 — 2007) These two photos demonstrate the extremes of water flow in the Colorado River. A melting glacier (Himalayas, 1956 — 2007) A marked retreat and deterioration of a glacier in the Himalayas. Urban expansion (Egypt , 1987 — 2014) In the time period between the dates on which the two photos were taken, the population of Egypt’s capital had grown from 6 million to more than 15 million.
Des rivières à risque pour le pipeline La construction du pipeline Énergie Est pourrait engendrer de nombreux impacts environnementaux pour d’importantes rivières du Québec, conclut une étude menée par Polytechnique pour le gouvernement. Le rapport souligne notamment les risques élevés de glissements de terrain dans plus d’une trentaine de rivières, mais aussi l’impossibilité de contenir et de nettoyer totalement un déversement de pétrole brut. Plus d’un mois après la fin des consultations publiques menées dans le cadre de l’évaluation environnementale stratégique des énergies fossiles, Le Devoir a constaté que le gouvernement Couillard a finalement mis en ligne juste avant Noël l’« Examen des risques associés aux traverses de cours d’eau par des pipelines ». Cette étude, transmise au ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles, conclut d’ailleurs que ce pipeline traverserait pas moins d’une trentaine de rivières qui « présentent des risques de glissement de terrain en raison de l’instabilité des berges ».
Avez-vous le profil pour travailler dans les énergies renouvelables En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres adaptés à vos centres d’intérêts et mesurer la fréquentation de nos services.En savoir plus Avez-vous le profil pour travailler dans les énergies renouvelables ? Selon le Syndicat des énergies renouvelables (SER), de 140 000 à 500 000 emplois seront créés d'ici 2020 en France dans les énergies renouvelables, aussi bien scientifiques et techniques évidemment, mais aussi commerciaux et de conseils. Etes-vous fait(e) pour ces métiers ? 1 - En surfant sur un site d'actualité, vous avez appris des tas de choses sur les dix ans de guerre en Afghanistan : 2 - Vos loisirs, vous les préférez : Paiement sur votre facture mobile : 5,50€ Entrez votre numéro de mobile dans le champ ci-dessous :
Greenpeace | Winter is not coming Saskatchewan : 200 000 litres de pétrole déversés en terres autochtones L'incident s'est déroulé dans une zone agricole, où il y a de basses terres et un marécage gelé, appartenant à une bande indienne, située à 140 km au sud-est de Regina. Aucun cours d'eau n'a été touché et le déversement s’est étendu dans un rayon d'environ 20 mètres, selon la province. Le gouvernement saskatchewanais affirme dans un courriel que le pipeline à l'origine du déversement appartient à l'entreprise albertaine Tundra Energy Marketing. La pétrolière s'affaire depuis samedi à nettoyer la zone touchée sous la supervision de la province. Cette dernière précise qu'à l’heure actuelle, 170 000 litres de pétrole ont été récupérés. Le chef de la Première Nation Ocean Man a visité le site de l’incident. Le gouvernement provincial indique que la fuite est contenue et que le pipeline a été arrêté dès que la fuite a été détectée. Toutefois, 72 heures après avoir été averti de l'incident, la province a peu de réponses à donner au sujet de la fuite.
These Colorful Maps Show That River Basins Are Surprisingly Interesting Be prepared to have a new appreciation for humble river basins. Geographer and map-maestro Robert Szucs has created colorful high-resolution maps that show the flowing glory of river basins in Europe, the US, South America, and Africa. Like squiggly veins, each line shows the path of water as it drains through the basin to eventually reach the sea. The most notable feature of the US map is the epic extent of the Mississippi River's contributing basins, which drain water into the Mississippi River through wetlands and tributaries from 31 different states and two Canadian provinces, all the way from the Rocky Mountains to the Gulf of Mexico. The South America map also neatly shows the river basin that drains into the world’s largest river by discharge, the Amazon, in the light blue region. These maps were created by Szucs mainly using the open-source QGIS software, data from the European Environment Agency, the Rivers Network System, and – no doubt – hours of work. Europe Africa
Alberta : la ruée vers l'or noir Date de diffusion : 11 février 1978 Après la prospérité des années 1920, fondée sur l'exploitation des céréales, et la crise économique des années 1930 (baptisée Grande Dépression), l'Alberta connaît une période de croissance sans précédent. Les découvertes pétrolifères dans la ville albertaine de Leduc, le 13 février 1947, ouvrent de nouvelles perspectives pour la province, dont l'économie reposait essentiellement sur l'agriculture. L'Alberta décide d'exploiter ses ressources énergétiques et mise sur le développement d'une industrie pétrolière. À cette époque on dénombre 41 puits de production. Dix ans plus tard, ils sont au nombre de 1255. C'est Peter Pond qui localise les premières sources de bitume en 1778, dans la région d'Athabasca. La première expédition géologique est financée par le gouvernement canadien vers la fin du XIXe siècle. L'entrepreneur Robert Fitzsimmons a une brillante idée. Du pétrole en Alberta?
Alberta : fuite de 200 000 litres de pétrole léger d’un pipeline d’Enbridge Un « tour de force » en Montérégie « On aime ce qui pue ! », résume Sylvain Trépanier, sourire en coin, en faisant visiter la toute nouvelle usine de biométhanisation de Varennes au photographe et au journaliste de La Presse. Car il existe bel et bien un lien de corrélation entre l’odeur des résidus alimentaires et leur « charge organique », explique le directeur de l’exploitation. Le bâtiment moderne, impeccable, et le gazon fringant de sa devanture en témoignent : l’usine de biométhanisation de la Société d’économie mixte de l’est de la couronne sud (SEMECS) est neuve ; elle est entrée en activité le printemps dernier, dans le parc industriel de Varennes. C’est seulement la troisième au Québec ; plusieurs autres sont prévues dans les prochaines années. C’est ici, désormais, qu’est acheminé le contenu des « bacs bruns » de 27 municipalités de la Montérégie, de même que des boues de fosses septiques. Pourtant, l’air est tout à fait respirable dans l’usine, dont le système de ventilation est doté d’un biofiltre.
Fort McMoney Après le jeu documentaire Fort McMoney, le film revient à Fort McMurray en Alberta, troisième réserve mondiale de pétrole et trésor de guerre du Canada. Avec une obsession, qui traverse la démarche du réalisateur David Dufresne depuis trois ans : la démocratie est-elle soluble dans le pétrole? Film à la première personne, on y croise notamment Jim Rogers, trappeur, natif de la ville, et candidat malheureux aux dernières élections municipales, qui a vu sa toute petite ville devenir ce qu’elle est aujourd’hui : une vision moderne, noire comme de pétrole, de la ruée vers l’or. Bien plus que la version linéaire de l’expérience web, le film en est sa suite réelle, son miroir, une réflexion sur la démocratie en ruine. Durée : 52 min Année de production : 2014 Date de diffusion : 15 avril 2015 Production : Toxa, ONF, ARTE France Pays : Canada Réalisateur(s) : David Dufresne
Saskatchewan : 200 000 litres de pétrole déversés en terres autochtones Le laboratoire de Marie Curie à Arcueil est encore radioactif Les découvertes de Marie Curie vivront des millénaires, les déchets radioactifs de son laboratoire aussi. “La France continue de nettoyer les déchets nucléaires de Marie Curie”, affirme Bloomberg Businessweek dans un article consacré au sujet. L’hebdomadaire américain raconte comment le laboratoire de la Prix Nobel de physique (pour ses recherches sur les radiations) et de chimie (pour ses travaux sur le polonium et le radium), à Arcueil, près de Paris, est encore radioactif. Et ce malgré l’assainissement progressif du lieu et des alentours, ainsi qu’une surveillance rigoureuse du site. Le lieu affiche encore des niveaux élevés de radioactivité qui resteront une menace pour la santé pendant encore des milliers d’années. La facture du nettoyage s’élève à 10 millions d’euros, mais elle risque d’augmenter en raison du démantèlement et de la décontamination du site dans les prochaines années, confirme le maire d’Arcueil, Christian Métairie, à l’hebdomadaire.