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ZOOM SUR L’OPEN DATA : UNE MARCHANDISATION DES DONNÉES PUBLIQUES ENCADRÉE JURIDIQUEMENT

ZOOM SUR L’OPEN DATA : UNE MARCHANDISATION DES DONNÉES PUBLIQUES ENCADRÉE JURIDIQUEMENT
Après Rennes, c’est la capitale qui vient de se lancer dans la mise à disposition d’une multitude de données publiques en vue de l’optimisation de l’utilisation de ses services et de la stimulation de l’innovation. L’occasion de revenir sur le concept très en vogue mais également quelque peu controversé de l’OPEN DATA. Les administrations et services publics brassent une multitude de données sous divers formes (rapports, études, registre, cartes, photographies, etc.) et dans de nombreux domaines (social, juridique, financier, géographique). Le concept d’open data ou données ouverte vise à organiser la réutilisation de ces données et informations non seulement pour informer les citoyens mais également pour favoriser le secteur de l’innovation. L’idée n’est pas forcément nouvelle. Il s’agit là d’une première source de controverse tant les enjeux éthiques et juridiques attachés à la diffusion de telles données sont exacerbés. A bon entendeur… Source

L’open data ou l’enjeu de la réutilisation des données publiques La mise à disposition des données produites par les administrations soulève des questions d’ordre économique et juridique. Jusqu’où étendre le principe de transparence ? L’expansion des applications mobiles propulse sur le devant de la scène le concept d’open data, particulièrement en vogue aux Etats-Unis. Les administrations et services publiques produisent un grand nombre de données, d’ordre économique ou géographique par exemple, s’avérant fiables et actualisées. La question de leur disponibilité est cruciale, les développeurs de services devant démarcher, avec plus ou moins de succès, chaque administration et collectivité pour les récupérer. L’usage et la réutilisation des données publiques dépendent donc de leur mise à disposition. La fragmentation liée au caractère local des données représente un frein à ce mouvement : la donnée recherchée existe-t-elle ? Un effort de transparence… commercialisable ?

MyData : renverser la relation consommateur, concrètement Par Daniel Kaplan le 20/09/11 | 14 commentaires | 5,961 lectures | Impression En 2010, dans l’ouvrage Informatique, Libertés, Identités, nous posions la question : “Que pourrais-je accomplir, moi, si je disposais, sous une forme réellement exploitable, des informations sur mes trajets et mes communications des années passées ? Pas seulement pour contrôler ce que d’autres en font, mais pour les utiliser à mes propres fins ?” Début 2011, en présentant les résultats de l’expédition de la Fing sur la Confiance numérique, nous allions plus loin : “A terme, la règle doit être simple : si vous savez quelque chose sur moi, je dois posséder la même information et pouvoir l’exploiter.” Le 13 avril 2011, le gouvernement britannique a transformé ce qui n’était encore qu’une perspective hétérodoxe, fragilement appuyée sur un projet de recherche américain et une petite communauté d’innovateurs, en un programme d’ampleur nationale : MyData. “Consumer Empowerment” : nous l’avions rêvé, ils le font

Détail d'un texte Chapitre III : La commission d'accès aux documents administratifs. La commission d'accès aux documents administratifs est une autorité administrative indépendante. Elle est chargée de veiller au respect de la liberté d'accès aux documents administratifs et aux archives publiques ainsi qu'à l'application du chapitre II relatif à la réutilisation des informations publiques dans les conditions prévues par le présent titre et par le titre Ier du livre II du code du patrimoine. Elle émet des avis lorsqu'elle est saisie par une personne à qui est opposé un refus de communication d'un document administratif en application du chapitre Ier, un refus de consultation ou de communication des documents d'archives publiques, à l'exception des documents mentionnés au c de l'article L. 211-4 du code du patrimoine et des actes et documents produits ou reçus par les assemblées parlementaires, ou une décision défavorable en matière de réutilisation d'informations publiques. A. B. C.

The Enterprise Data Cloud: Why Information Power Is The Future of Business As organizations take a close hard look at cloud computing and how it can help them with their businesses, some are coming away unimpressed by the maturity or with concerns about risk, control, and privacy. Yet others are beginning to notice that there a number of significant but previously unrelated threads in IT that are coming together to drive a compelling new cloud agenda. I'm calling this confluence of factors the "Enterprise Data Cloud", and most organizations already have one, even if they aren't aware of it. The Enterprise Data Cloud is an ad hoc and evolving combination of: Existing network resources and new cloud delivery models (in particular the ability to seamlessly transition between public and private clouds and the shades of grey in-between.)Increasingly open high-value business data typically delivered up via SOA.The rapid expansion of business information in machine-readable form. Related: Expanding Our Notion of SOA and Enterprise Data Services 1. 2. 3. 4. 5.

L’Open Data à la croisée des chemins juridiques La libération des données publiques franchit une étape importante de sa courte existence avec l'avis rendu cette semaine par le Conseil national du numérique. Coincé entre bonne volonté apparente et lacunes flagrantes, l'Open Data à la française semble tergiverser entre le juridique et le politique pour tracer son avenir. Les premiers bilans de l’Open Data en France, 6 mois après le lancement du portail data.gouv.fr, oscillent entre la reconnaissance des efforts consacrés par les administrations publiques à l’ouverture des données et le constat de lacunes persistantes, que ce soit au niveau technique ou de retombées réelles pour les citoyens. Mais en matière d’Open Data, la dimension juridique est également essentielle et c’est ce que vient de rappeler le Conseil national du numérique (CNNum), en publiant cette semaine un avis [pdf] qui recommande d’apporter des modifications substantielles au cadre législatif français. Conforter le droit à la réutilisation des informations publiques

Conseil national du numérique, Données publiques, l'open data Le Conseil national du numérique a rendu public le 5 juin 2012 un avis portant sur l’ouverture des données publiques. Cet avis est exprimé alors que le nouveau gouvernementGouvernementOrgane collégial composé du Premier ministre, des ministres et des secrétaires d’Etat chargé de l’exécution des lois et de la direction de la politique nationale. issu de l’élection présidentielle a réaffirmé sa volonté de mener une action pour accélérer la mise à disposition des informations publiques et a fait figurer "l’open data" parmi les principes énoncés dans la charte de déontologie des membres du gouvernement. Le Conseil national du numérique, créé par décret du Président de la République le 29 avril 2011, est composé essentiellement d’entrepreneurs du secteur de l’internet nommés par décret.

Creating competitive advantage through data I’ve been focused on investing in data-centric businesses for almost eight years. Over this time period, my view of what generates true competitive advantage through data has changed. Where tools and technologies for data storage and management once weighed heavily on my mind, the applications and business models for erecting barriers around proprietary data assets currently dominate my thoughts. The power of creating contributory databases, where the value of the Nth contributor leads to a non-linear increase in the value of the data asset due to network effects. Contributory databases. Data processing platforms. Data creation platforms. We’ve made helping portfolio companies defining their data strategies and assisting them with creating the differentiated, defensible data assets that will generate value for multiple constituencies a core part of the IA Ventures’ mission.

Extrait de veille Open Data Octobre 2011 « Extrait de Veille Open Data Octobre 2011 Etalab Après plusieurs mois de travaux participatifs avec les acteurs de l’open data, Etalab sort sa licence nationale pour les données publiques. Etalab continue par ailleurs les rencontres autour des données (dernier atelier sur le datajournalism) et a également ouvert son compte twitter. Sénat Pour la première fois, le Sénat a publié les résultats des élections sénatoriales ainsi que les listes de candidats en temps réel sur le site du Sénat. Primaires Socialistes L’open data s’immisce en politique. Conseil National du Numérique Le CNN a ouvert un groupe de travail Open Data et prévoit la publication d’un livre blanc sur le sujet pour début 2012. Concours Google Google, la Netscouade et Dataveyes lancent un concours d’applications web sur le thème de la campagne présidentielle de 2012. Liste des bonnes pratiques Open Data Temesis a finalisé sa liste de critères et fonctionnalités attendus pour la mise à disposition de données publiques. Data Publica Enel

Seeing Like a Geek Yes, as through this world I've wandered I've seen many men, I guess; Some will rob you with a six gun, And some with a GIS. In the state of Tamil Nadu, near the town of Marakkanam, right next to a reserved forest, lies a contested plot of land. Records say these three acres belong to a member of the Mudaliar caste, but lower-caste Dalits living nearby claim the plot should be part of the reserved forest, which is not privately owned. The Dalits claim that the Mudaliars have pulled a fast one, using their influence in the local bureaucracy to fix the land records, and that older records will bear out the Dalit claim. According to Bhuvaneswari Raman, the Dalit claim was sideswiped by a Tamil Nadu government program to standardize, digitize and centralize land records. A new generation of land developers grew up alongside the digitized records: firms with the skills and information to make efficient use of this new resource. The open data doppelgänger Making data "open" has two effects:

Zoomer ou dézoomer? Les enjeux politiques des données ouvertes Pour Dominique Cardon, le journalisme de données doit apprendre à se dézoomer lui-même: c'est la condition pour que la libération des données publiques soit véritablement pertinente. Afin que tout un chacun puisse se retrouver dans les chiffres. Dominique Cardon, sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs, est l’auteur de “La démocratie Internet” (Seuil/République des idées). Le mouvement qui s’est constitué autour des “données ouvertes” et du “journalisme de données” ouvre un nouveau terrain au dialogue, déjà ancien, entre journalisme et sciences sociales. La promotion du journalisme de données ne cesse en effet de vouloir faire du journaliste un chercheur en sciences sociales, doublé d’un informaticien et d’un infographiste. Mais je voudrais tirer parti de ce nouveau terrain d’échange pour adresser au journalisme de données une question issue de l’expérience ancienne des sciences sociales dans l’usage critique des statistiques. Secrets des coulisses, secrets des chiffres

Les promesses de l'open data Vitalité démocratique, regain de croissance, l'ouverture des données publiques suscite bien des attentes. Mais soulève aussi de nombreuses questions. A quelle heure passe le prochain bus ? A qui la municipalité distribue-t-elle des subventions ? Loïc Bodin: L'Open data ou la démocratie augmentée L'open data serait-il l'avenir de la démocratie, son renouveau voire même son aboutissement ? En dehors d'un petit cercle d'initiés experts du numérique en général ou de l'open data en particulier, la question peut sembler curieuse si ce n'est absurde. L'open data, alors qu'il concerne directement la société et l'ensemble de ses composantes, est une expression barbare pour la plupart des citoyens français. Jargon Tout d'abord, dans l'open data comme dans le digital, le jargon (1) est un frein largement sous-estimé par nombre de personnes ou d'organisations qui se plaignent régulièrement du "retard français" en matière de numérique. Les données, carburant de la démocratie Le numérique entraîne un changement en profondeur de l'exercice démocratique. Transfert de pouvoir Il faut bien réaliser le changement qui est à l'œuvre. Un rôle nouveau pour le citoyen ?

Droits et devoir de l’open data Dans un environnement économique pour le moins morose, le secteur des innovations technologiques afférent à l’exploitation de données publiques bénéficie de perspectives commerciales très prometteuses. Les statistiques de l’INSEE, les données du trafic routier, les informations sur les jardins publics, les listes des gares SNCF et les statistiques de ponctualité des TGV sont en effet autant d’informations brutes qui ne demandent qu’à être génératrices de valeurs ajoutées une fois entre les mains d’opérateurs privés ingénieux. Dans le prolongement d’un mouvement culturel mondial apparu au début des années 2000 visant à rendre les données publiques et transparentes, la France, transposant les termes de la directive 2003/98/CE, a consacré le principe de la libre réutilisation de la donnée publique dès 2005, notamment à travers l’ordonnance n°2005-650 relative à la liberté d'accès aux documents administratifs et à la réutilisation des informations publiques. Un engouement récent

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