Musée d'Art Classique de Mougins
Elisabeth Louise Vigée Lebrun, selfie addict
Celle qui fut la portraitiste de Marie-Antoinette s'est également beaucoup représentée. Aujourd'hui, elle serait sur Instagram, elle twitterait et disputerait le titre de "Reine du selfie" à Rihanna, Kim Kardashian ou Rania de Jordanie... De toutes les femmes artistes qui s’illustrèrent dans la France du XVIIIe siècle, seule Élisabeth Louise Vigée Le Brun est aujourd’hui encore un peu connue du grand public. Non seulement, on associe son nom aux portraits de Marie-Antoinette, et peut-être aussi au célèbre tableau du Louvre où elle s'est représentée avec sa fille, mais l’artiste est également restée dans les esprits comme une femme d’une grande beauté. © Paris, musée du Louvre, département des Sculptures - 1783 Tout au long de sa carrière, Élisabeth Louise Vigée Le Brun n'a pas hésité à se peindre. Vigée Le Brun utilise l’autoportrait pour affirmer son statut, diffuser son image et mais aussi rappeler la mère qu’elle est parvenue à devenir malgré les servitudes d’une carrière. L'exposition
Madame de Voyer | Une femme et sa plume au XVIIIème siècle
Musée Lénine
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le musée Lénine, musée de France au sens de la loi no 2002-5 du 4 janvier 2002[1], était situé 4, rue Marie-Rose dans le 14e arrondissement de Paris. Il occupait l'appartement dans lequel ont vécu Lénine, sa sœur, sa femme et sa belle-mère de juillet 1909 à juin 1912[2]. Le musée Lénine est actuellement fermé[1], depuis une date non déterminée de l'année 2007[3]. Description[modifier | modifier le code] Le musée comporte une reconstitution de l'appartement où vécu Lénine, avec son épouse Nadejda Kroupskaïa et sa belle-mère, de 1909 à 1912. En 1985, lors d'une visite en France, Mikhaïl Gorbatchev a visité ce musée accompagné de Paul Amar et des caméras d'Antenne 2[7]. Références[modifier | modifier le code]
Élisabeth Vigée Le Brun : retour en grâce pour la portraitiste de Marie-Antoinette - Sortir
Les monarques d'Europe s'arrachaient son pinceau flatteur et délicat. Le Grand Palais consacre une captivante rétrospective à Élisabeth Vigée Le Brun, artiste rebelle et consensuelle à la fois. « Peindre et vivre n'a jamais été qu'un seul et même mot pour moi », affirma Elisabeth Louise Vigée Le Brun. “Tu seras peintre, mon enfant, ou jamais il n'en sera” Le talent précoce de Mlle Vigée reçut le soutien d'un père avisé, honorable pastelliste. Mais, au contact de celui-ci, le puissant comte de Vaudreuil entame une collection de ses toiles, et confirme une réputation déjà bien lancée dans le grand monde. Dans sa position, Mme Vigée Le Brun aurait pu obtenir pension et titre nobiliaire. Heureusement, toutes les académies européennes s'ouvriront à elle.
Sophie DELHAUME | SIEFAR
21 rue des Pommiers, 86 000 Poitiers, France * sophie.delhaume@netcourrier.com Doctorante * Université et MSHS de Poitiers * Lettres Modernes, XVIIIe siècle Epistolaire, Ecriture féminine ÉDITION – Collaboration à l’édition critique du Petit Réservoir, revue Littéraire publiée en 1750, Université de Poitiers, en ligne (Cette revue littéraire construite sur le principe du « plaisant mélange » comporte des textes qui sont autant de leçons de bonnes moeurs à l’intention des demoiselles et des dames vertueuses,…) ARTICLE – « Les Archives de la famille de Voyer d’Argenson, un patrimoine historique dans notre région », Le Picton, 176, 2006 (présente Madame Constance de Voyer d’Argenson, et le fonds d’archives privé de la famille d’Argenson, contenant des correspondances de femmes du XVIIe au XIXe siècles).
Florence Henri
Voir le portrait filmé de l'exposition : Florence Henri (New York, 1893-Compiègne, 1982), artiste protéiforme, est d’abord connue pour sa peinture, avant de se faire une place incontestable dans le domaine de la photographie des avant-gardes entre la fin des années 1920 et le début des années 1940. Après avoir vécu en Silésie, à Munich, Vienne, Rome et surtout Berlin, elle se fixe définitivement à Paris au milieu des années 1920, où elle se consacre pleinement à la photographie. Ce médium lui permet d’expérimenter de nouvelles relations à l’espace, notamment par l’introduction de miroirs et autres objets dans ses compositions. Le Jeu de Paume présente un vaste panorama de la production photographique de Florence Henri, développée entre 1927 et 1940, qui comprend aussi bien ses autoportraits, compositions abstraites, portraits d’artistes, nus, photomontages, photocollages, que des photographies documentaires prises à Rome, à Paris et en Bretagne. Remerciements à l’Hôtel Castille de Paris
Élisabeth Vigée-Lebrun
Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire de la peinture ». Peintre français (Paris 1755 – id. 1842). Elle a laissé la source la plus précieuse qui soit pour une biographie : ses Souvenirs (1835-1837), qui racontent sa vie année par année.
Splendeurs et misères. Images de la prostitution, 1850-1910
Henri de Toulouse-LautrecAu Moulin Rouge© The Art Institute of Chicago Première grande manifestation consacrée au thème de la prostitution, cette exposition tente de retracer la façon dont les artistes français et étrangers, fascinés par les acteurs et les lieux de ce fait social, n'ont cessé de rechercher de nouveaux moyens picturaux pour en représenter réalités et fantasmes. De L'Olympia de Manet à L'Absinthe de Degas, des incursions dans les maisons closes de Toulouse-Lautrec et Munch aux figures audacieuses de Vlaminck, Van Dongen ou Picasso, l'exposition s'attache à montrer la place centrale occupée par ce monde interlope dans le développement de la peinture moderne. Le phénomène est également appréhendé dans ses dimensions sociales et culturelles à travers la peinture de Salon, la sculpture, les arts décoratifs et la photographie. Commissariat Scénographie Robert Carsen, scénographe et directeur artistique Publications Production
Une femme force les portes de l'Académie | L'histoire par l'image
L'Académie royale de peinture et de sculpture est fondée sur mandat royal en 1648. Elle constitue l'un des socles institutionnels sur lesquels repose la politique culturelle de Louis XIV pour glorifier la grandeur de la France. L'ambition de l'Académie est de former et rassembler les meilleurs artistes du royaume, dont les plus doués sont nommés académiciens, un titre prestigieux garantissant succès et commandes. Au XVIIIe siècle, l'Académie reste l'institution incontournable pour tout artiste masculin ambitieux. La question de l'admission des femmes commence cependant à se poser avec acuité à partir du milieu du siècle, avec l'émergence d'une génération de « peintresses » – selon la terminologie de l'époque – dont le talent incontestable rend difficilement justifiable leur rejet au titre d'académiciennes. Ce tableau est une allégorie représentant « la Paix ramenant l'Abondance », thème conventionnel au traitement convenu, atypique dans l'œuvre de l'artiste.