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Chronologie : histoire de l'immigration en dates, 2 novembre 1945 , 1945 à 1955 , 1956 à 1972 , Les années 1960 , 1966 , 23 février et 15 septembre 1972 , 29 juillet 1968 , 14 juin 1973 , 1974 Septembre 2002 , 30 mai 2002 , Octobre 1986 , 14 - 15 octobre

Chronologie : histoire de l'immigration en dates, 2 novembre 1945 , 1945 à 1955 , 1956 à 1972 , Les années 1960 , 1966 , 23 février et 15 septembre 1972 , 29 juillet 1968 , 14 juin 1973 , 1974 Septembre 2002 , 30 mai 2002 , Octobre 1986 , 14 - 15 octobre
Fin du XIXè siècle, début du XXè siècle, la France devient terre d’immigration Deuxième partie du 19 ème siècle Fin du XIXè siècle, la France devient un pays d’immigration. De 1850 à 1900, tandis que le reste de l’Europe triple presque sa population, celle de la France n’augmente plus : c’est la première explication du flux migratoire au début du siècle, partout on manque de bras, à la campagne comme en ville ; les pays voisins sont les principaux fournisseurs de main d’oeuvre (Italie, Belgique, Espagne et Suisse principalement, Pologne pour le recrutement de mineurs dans le Nord). Jusqu’en 1917 une simple déclaration à la mairie de leur résidence suffit aux étrangers pour s’établir en France et y exercer une profession. 2 avril 1917 Un décret institue pour la première fois une carte de séjour pour les étrangers de plus de 15 ans résidant en France. Organisation du recrutement à travers la Société générale d’immigration, constituée par les organismes patronaux spécialisés. 10 août 1932

Revue Hommes et migrations - Numéros - Sommaire L’immigration est-elle une plaie ou un bienfait économique pour la France ? Comme la question de l’immigration est sur le devant de la scène depuis quelques jours, je publie ce billet que j’ai réécrit une dizaine de fois, sans en être jamais satisfait, et que je rechigne à publier car je m’y censure largement, et volontairement. Non que je craigne les conséquences pour moi-même (quoique) de ce que je pourrais écrire, mais simplement parce que je crois que certains aspects du débat deviennent dangereux pour tout le monde lorsqu’ils entrent dans la sphère politique. Pour conserver un regard froid sur le sujet, je me limiterai à son aspect financier. L’immigration coûte-t-elle de l’argent aux contribuables, ou au contraire en rapporte-t-elle ? Ce problème étant politiquement très clivant, il entraîne des débats récurrents et des études contradictoires reposant pour la plupart sur des sophismes. Les statistiques internationales compilées par l’OCDE dans son dernier rapport sur le sujet permettent de faire le point sur la question.

Histoire de l'immigration en France D'aucuns considèrent que l'on ne peut parler d'immigration en France, et donc en faire l'histoire, qu'à partir de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe siècle[u 1],[1] : en effet, la notion d'étranger n'a commencé à être assimilée à une différence de nationalité que progressivement au cours du XIXe siècle ; avant, du fait de la faiblesse des moyens de transport, pour être un étranger il suffisait de venir d'une ville ou village jugé éloigné, c'est-à-dire parfois à quelques dizaines de kilomètres[u 2]. D'autant que, même si le territoire correspondant à l'actuelle France a toujours accueilli de nombreuses migrations, notamment celtiques (IIIe siècle av. J.-C.) et germaniques (IIIe – VIe siècle)[u 3],[u 4]. L'étranger (mot venant du mot étrange) a toujours suscité des sentiments d'attrait et de rejet[u 2]. Ainsi, depuis cette époque les politiques auraient-elles oscillé entre ces mêmes problématiques et solutions initialement proposées[u 6],[u 8]. Notes[modifier | modifier le code]

De 1945 à 1975 | Musée national de l'histoire de l'immigration En 1946, le recensement fait état d’une diminution sensible de la présence étrangère (retours aux pays et naturalisation). Un nouveau cycle d’arrivées s’amorce, stimulé par les besoins en main-d’œuvre des Trente Glorieuses de l’économie française. Dans le contexte de la Guerre Froide, des réfugiés trouvent asile en France venant, soit de pays communistes, soit d’États à dictature militaire. Ces nouveaux émigrants entrent en France dans les conditions les plus diverses, les uns recrutés légalement, les autres clandestins. Cas à part, les Algériens bénéficient longtemps de la libre circulation. De 1,7 million d’étrangers en 1946, on atteint le double, 3,4 millions, en 1975. Italiens arrivant du Piémont et du Val d’Aoste en 1946 © L’illustration Dernière vague d'émigrants italiens En 1946, la France signe un nouvel accord de main-d’œuvre avec Rome. Les émigrants maghrébins et africains Les émigrants algériens Le recensement de 1954 compte 211 000 “Français musulmans d’Algérie”.

Données statistiques sur l'immigration en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Immigrés et descendants d'immigrés[modifier | modifier le code] En 2010, la France accueille, selon la définition internationale des Nations Unies, 7,2 millions d’immigrés soit 11,1 % de la population. Selon l'Insee, qui utilise une définition plus restrictive de l'immigration (personne née étrangère à l'étranger), immigrés et descendants direct d'immigrés sont au nombre de 11,8 millions en 2008 en métropole, soit 19 % de la population (dont environ 5,5 millions d'origine européenne et 4 millions d'origine maghrébine). Lecture: les immigrés représentent 8,4 % de la population totale en métropole, 12,6 % de la population vivant dans des communes de plus de 10 000 habitants et 4,4 % de la population vivant dans des communes de moins de 10 000 habitants. Origine géographique[modifier | modifier le code] Le tableau suivant montre la répartition par origine des immigrés et leurs enfants en 2008 selon l'Insee. Source :[10]. (Source INSEE 2010[11])

Immigration : où sont les avantages ? | Affaires et économie Le texte qui suit est tiré d’un mémoire présenté à l’Assemblée nationale par Pierre Fortin le 10 février 2016. Il faut commencer par observer que l’immigration sera l’une des deux ou trois plus grandes questions qui va préoccuper tous les pays de la planète au 21e siècle. S’informer, communiquer et se déplacer ne coûte presque plus rien, et il y a 4 milliards d’humains qui se rendent compte que le revenu moyen des autres 4 milliards, juste à côté, est 10 fois plus élevé que le leur. Ils comprennent vite qu’immigrer peut leur procurer un énorme avantage en niveau de vie. On se bat à la porte des pays riches pour y entrer, non pas seulement en raison des guerres qui amènent présentement un afflux exceptionnel de réfugiés, mais en fonction d’une aspiration universelle et tout à fait normale à détenir un bon emploi, à s’enrichir et à préparer un meilleur avenir pour ses enfants. Tableau 1 Sources: Statistique Canada, Enquête nationale sur les ménages de 2011. Conclusion Références

Cours 1ère Histoire : Mutations des sociétés depuis 1850 (3) III. Quelle est la place de l’immigration dans les mutations de la société ? A. Pourquoi la France est-elle un pays d’immigration précoce (dès le XIX siècle) ? 1. Frise chronologique 2 page 51 Quelles pourraient être les raisons pour lesquelles la France est un pays de forte immigration dès 1880 ? _ Au XIX siècle la France est un pays d’immigration contrairement aux autre pays européens. * En effet l’industrie française manque de main-d’œuvre. * L’Etat encourage alors la venue d’une immigration frontalière (Belges, Allemands et Italiens). Immigré (p. 72) : Personne née à l’étranger et résidant en France, même si elle a acquis la nationalité française entre-temps. Texte 2 page 68 : Le recrutement collectif en Pologne Question 3 page 69 : Quel est le rôle de la Société générale d’immigration ? * La Société générale d’immigration (SGI) est une organisation patronale dont le but est de recruter des travailleurs étrangers. Photographie 2 page 73 : Les réfugiés politiques 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

Terre d'accueil, France hostile | Musée national de l'histoire de l'immigration La figure de l’étranger inassimilable accompagne chaque vague migratoire. Des Italiens, de la fin du XIXe siècle, aux migrants africains d’aujourd’hui, les stéréotypes ne changent guère. Les immigrés seraient trop nombreux, porteurs de maladie, délinquants potentiels, étrangers au corps de la Nation. Cette xénophobie, récurrente en temps de crise, va souvent de pair avec l’antisémitisme et se nourrit de racisme. En face, à chaque époque, des Français ont su lui opposer fraternité et solidarité. Professionnels et réfugiés : un accueil plutôt bienveillant (1830-1880) Jusqu’au milieu du XIXe siècle, le problème des étrangers existe peu. L'étranger, envers du national (1880-1914) À la fin du XIXe siècle, l’enracinement de la République et le développement du sentiment national alimentent le rejet des étrangers, Belges au Nord, Italiens au Sud. L'immigration nécessaire, les étrangers tolérés (1914-1931) La Première Guerre mondiale et l'ouverture au monde Face au grand afflux des années 1920

Bilan rapide de la loi Hortefeux Je viens de saccager d'annotations colorées mon beau CESEDA tout neuf (puisse Vincent Tchen qui me lit me pardonner, c'était un cas de force majeure), car la loi MIIA, dite loi Hortefeux, ou encore loi n° 2007-1631 du 20 novembre 2007 relative à la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile est parue au JO d'hier et entrée en vigueur aujourd'hui. Comme je l'avais dit précédemment, les tests ADN n'ont été qu'un hochet médiatique qui a été très efficace. La loi fait 64 articles. Ils sont numérotés de 1 à 65, mais le 63, celui des statistiques ethniques, a succombé sous les fourches caudines du Conseil constitutionnel et a disparu corps et bien de la version publiée de la loi. Comme d'habitude en la matière, il s'agit d'une loi modificative de textes existant. Par exemple, les tests ADN. S'agissant d'une création législative, il fallait inclure dans la loi toutes les règles relatives à ces tests. Vous voyez la transformation. L'article L. 221-3 du même code est ainsi modifié :

Termes clés de la migration | Organisation internationale pour les migrations Migrant international – Toute personne se trouvant à l’extérieur de l’État dont elle possède la nationalité ou la citoyenneté ou, dans le cas des apatrides, de son pays de naissance ou de résidence habituelle. Ce terme englobe les personnes qui envisagent de migrer à titre permanent ou temporaire, celles qui migrent de manière régulière ou munies des documents requis, ainsi que les migrants en situation irrégulière. Source : adapté de Haut‑Commissariat aux droits de l’homme, Principes et directives recommandés sur les droits de l’homme aux frontières internationales, note de bas de page 2, (dernière consultation le 14 mai 2019).

La France, une suite de vagues migratoires 5,3 millions : c’est le nombre approximatif d’immigrés sur le sol français vers 2010 selon l’INSEE (Institut national français de statistiques). L’institut définit l’immigré comme « personne née étrangère à l'étranger et résidant en France »… Ce qui ne veut pas dire qu’il est encore étranger. Près de la moitié (41 %) ont acquis d’une façon ou d’une autre la nationalité française. Certains des pays d’origine de cette migration découlent de l’histoire coloniale (Maghreb, Afrique subsaharienne, Proche-Orient, ex-Indochine...), d’autres non (Europe du Sud ou de l’Est, Extrême-Orient). Les Italiens Différentes études estiment à près de 7 % la population française d’origine italienne et la Renaissance n’y est pas pour grand chose. Elle n’est pas dépourvue de tensions. Près de 500 000 Italiens vivent en France au début du XXème siècle, 800 000 dans les années 30, où apparaît également une immigration politique fuyant le fascisme. Les Espagnols Les Portugais Les Maghrébins Les Vietnamiens

Loi de 2003 TITRE Ier : DISPOSITIONS MODIFIANT L'ORDONNANCE N° 45-2658 DU 2 NOVEMBRE 1945 RELATIVE AUX CONDITIONS D'ENTRÉE ET DE SÉJOUR DES ÉTRANGERS EN FRANCE Article 1 Avant le chapitre Ier de l'ordonnance n° 45-2658 du 2 novembre 1945 relative aux conditions d'entrée et de séjour des étrangers en France, il est inséré un article préliminaire ainsi rédigé : « Art. préliminaire. - Chaque année, le Gouvernement dépose devant le Parlement un rapport sur les orientations pluriannuelles de la politique d'immigration. « Ce rapport indique et commente : « - le nombre des différents titres de séjour accordés et celui des demandes rejetées et des renouvellements refusés ; « - le nombre d'étrangers admis au titre du regroupement familial ; « - le nombre d'étrangers ayant obtenu le statut de réfugié ou le bénéfice de la protection subsidiaire, ainsi que celui des demandes rejetées ; « - le nombre d'attestations d'accueil présentées pour validation et le nombre d'attestations d'accueil validées ; Article 2 Article 3

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