René Char Les Feuilles mortes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Feuilles mortes est une chanson française écrite par Jacques Prévert et composée par Joseph Kosma. Histoire[modifier | modifier le code] En 1949, Johnny Mercer traduit les paroles en anglais : Autumn Leaves connaît un succès remarquable et devient un standard du jazz. Serge Gainsbourg rend hommage aux Feuilles mortes avec La Chanson de Prévert. La veuve du compositeur, Lily Kosma, a fait don à la ville de Nice des droits de la chanson, sous réserve qu'une rue de la ville porte le nom de Joseph Kosma. Le baryton David Serero a enregistré une version avec le chanteur pop Jermaine Jackson mêlant les versions Françaises et Anglaises. Interprétations notables[modifier | modifier le code] Chanson[modifier | modifier le code] Mélodie classique[modifier | modifier le code] François Le Roux, Jason Kouchak, Françoise Masset, Damien Top, Philippe Jaroussky, Maurice André. Electro[modifier | modifier le code] Coldcut. Jazz[modifier | modifier le code]
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Feuillets d'Hypnos Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Feuillets d'Hypnos est un recueil de poésie publié par René Char en 1946. Le livre est écrit entre 1943 et 1944, alors que René Char était dans la Résistance. Ces Feuillets sont dédiés à Albert Camus. Les Feuillets d'Hypnos ont ensuite paru dans le recueil Fureur et mystère, entre Seuls demeurent (1945) et Le Poème pulvérisé (1947). La Résistance[modifier | modifier le code] Les Feuillets d'Hypnos sont profondément ancrés dans le contexte de la Résistance, c'est pourquoi la situation historique et personnelle de René Char est un élément essentiel pour comprendre cette œuvre. En effet, l'écriture du recueil, d'un point de vue presque purement formel ici, est gouvernée par les conditions particulières de la situation du poète. « J'écris brièvement. De ce fait, l'esthétique fragmentaire des Feuillets s'explique en partie par cette situation : le poète est obligé d'écrire brièvement. « Dans nos ténèbres, il n'y a pas une place pour la Beauté.
Bakélite Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Structure de la Bakelite Bakélite est la marque d'un matériau de la classe des phénoplastes dont la nomenclature chimique officielle est anhydrure de polyoxybenzylméthylèneglycol. On l'utilisait alors pour ses propriétés isolantes et thermorésistantes pour fabriquer les boîtiers de radios et de téléphones, comme isolant électrique dans les prises, interrupteurs et gaines de fils électriques, de même que dans divers ustensiles de cuisine, de bijoux et de jouets. Poste de radio en bakélite Synthèse[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] La Bakélite fut développée entre 1907 et 1909 par Leo Baekeland, un chimiste belgo-américain. La compagnie Bakelite Corp. a été fondée en 1922 de la fusion de General Bakelite Co., Condensite Corp. avec la Redmanol Co. En France, une usine « La Bakélite » fut construite à Bezons, rue Jean Carasso, dans les années 1930. Les composés phénoliques[modifier | modifier le code]
Jacques Prévert 1900-1977 Signature Jacques Prévert, né le 4 février 1900 à Neuilly-sur-Seine et mort le 11 avril 1977 à Omonville-la-Petite, est un poète français. Son père André Prévert, bonapartiste anticlérical[5], exerce divers métiers pour gagner sa vie et fait de la critique dramatique et cinématographique par plaisir. Il l'emmène souvent au théâtre et au cinéma[6]. Marie Clémence, sa mère, d'origine auvergnate et ancienne vendeuse aux Halles de Paris[5],[7], l'initie à la lecture[8]. En 1906, André Prévert perd son emploi à la compagnie d'assurance La Providence. Le 30 avril 1925, Prévert épouse Simone Geneviève Dienne[1] (1903-1994), son amie d'enfance devenue violoncelliste dans un cinéma de la rue de Cluny pour accompagner les films muets[12]. Jacques Prévert ne se sent pourtant pas encore écrivain. Toute sa vie, Jacques Prévert témoigne d'un engagement politique sincère. Ses poèmes sont mis en musique par Joseph Kosma dès 1935 (À la belle étoile). En 1975, ils[Qui ?] Ses principaux jeux de mots
René Char Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. René Char René Char, dit Capitaine Alexandre, à Céreste, en 1944. Œuvres principales René Char est un poète et résistant français né le à L'Isle-sur-la-Sorgue et mort à Paris le . Biographie[modifier | modifier le code] 1907-1929[modifier | modifier le code] René Émile Char est le cadet des quatre enfants issus des secondes noces, en 1888, d'Émile Char, négociant né en 1863 à L’Isle-sur-la-Sorgue, et de Marie-Thérèse Rouget, sœur de sa première épouse, Julia Rouget, morte en 1886 de tuberculose un an après leur mariage. Son grand-père paternel, Magne Albert Char, dit Charlemagne, enfant naturel et abandonné, né en 1826 à Avignon, placé dans une ferme du Thor puis plâtrier à L’Isle-sur-la-Sorgue, avait épousé en 1848 Joséphine Élisabeth Arnaud, fille de meunier. 1929-1939[modifier | modifier le code] 1939-1945[modifier | modifier le code]
L'Amour monstre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Amour monstre est un roman de Louis Pauwels écrit en 1954. Synopsis[modifier | modifier le code] Quel charme possède donc le médecin Antoine Billet pour que les femmes en soient ainsi férues ? Anecdotes[modifier | modifier le code] Ce roman est notamment cité dans la chanson de Serge Gainsbourg intitulée Initials B.B.. « Une nuit que j'étais A me morfondre Dans quelque pub anglais Du cœur de Londres Parcourant L'Amour Mon-stre de Pauwels Me vint une vision Dans l'eau de Seltz » Brigitte Bardot a conseillé ce livre à Serge Gainsbourg : « Lis ça !
Barbara (poème) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il nous fait part de l'attachement qu'avait son auteur pour la ville de Brest ainsi que de sa tristesse suite à sa destruction par les bombardements alliés lors de la Seconde Guerre mondiale. Le poète s'adresse à une femme inconnue, qu'il a vue dans la rue et dont il connaît le prénom parce que son amoureux l'avait appelée devant lui. Le poème est une interrogation sur le sort des individus en temps de guerre, victimes possibles des bombardements. Le poème se compose de 58 vers. Le thème de l'amour à travers l'image du couple formé par Barbara et celui qui la prend dans ses bras[2], image de bonheur mais aussi couple menacé par la guerre. Le thème de la dénonciation de la guerre et de son cortège de pertes humaines et de morts parmi les civils. Le poème s'ouvre sur une injonction au souvenir à l'impératif et sur le prénom-titre au vocatif. Yves Montand a interprété ce poème dans une adaptation "poème parlé" en 1948, .
coursdefrançais » Paroles : « Barbara » Barbara Prévert tableau vierge ICI Jacques Prévert, Paroles (1946) I. Idée directrice. 1. Pronom personnel « je » (douze occurrences) + répétition du prénom Barbara (huit fois) ⇒ Le tutoiement, utilisé très largement par le poète, semble révéler une relation intime entre les deux protagonistes. 2. Impératif présent ( ) + temps du passé ( ) + champ lexical du bonheur ( ) ⇒ Le poète s’adresse à la femme pour réveiller un souvenir, qui correspond à une période heureuse. 3. Anaphores v. 25-28 ( ) ⇒ On découvre aux vers 24 à 28 que le poète ne connaissait pas Barbara. Transition. II. 1. Repères spatio-temporels ( ) + alternance de pronoms personnels « je »/ « tu » ⇒ Ce poème semble raconter une première rencontre. 2. Champ lexical de l’amour ( ) ⇒ L’histoire d’amour racontée n’unit pas la poète et Barbara, mais celle-ci et un autre homme. 3. Champ lexical de la pluie ( ) + gradation ( ) +personnification ( ) III. 1. 2. Interjection ( ) + vocabulaire familier ( ) + présent ( ) 3.
Jacques Prévert Fragment « 128 » des Feuillets d’Hypnos de René Char - Poètes en résistance - Centre National de Documentation Pédagogique Fragment « 128 » des Feuillets d’Hypnos Le boulanger n’avait pas encore dégrafé les rideaux de fer de sa boutique que déjà le village était assiégé, bâillonné, hypnotisé, mis dans l’impossibilité de bouger. Deux compagnies de S.S. et un détachement de miliciens le tenaient sous la gueule de leurs mitrailleuses et de leurs mortiers. Alors commença l’épreuve. Les habitants furent jetés hors des maisons et sommés de se rassembler sur la place centrale. Les clés sur les portes. J’ai aimé farouchement mes semblables cette journée-là, bien au-delà du sacrifice. René Char, Feuillets d’Hypnos, Paris, Gallimard, 1946 © Éditions Gallimard« Tous les droits d’auteur de ce texte sont réservés.