Guillaume APOLLINAIRE
Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki, est un écrivain français (né polonais, sujet de l’Empire russe), né le 26 août 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918 à Paris. C’est l’un des plus grands poètes français du début du XXe siècle, auteur notamment du « Pont Mirabeau ». Il écrit également des nouvelles et des romans érotiques. Il pratique le calligramme (terme de son invention désignant ses poèmes écrits en forme de dessins et non de forme classique en vers et strophes). Sa mère, Angelika Kostrowicka, née à Nowogródek (dans le grand-duché de Lituanie, aujourd’hui Navahrudak en Biélorussie) est issue de la noblesse polonaise, et son père est un officier italien, Francesco Flugi d’Aspermonte. En 1901 et 1902, il est précepteur pour la vicomtesse Elanor de Milhaud. Entre 1902 et 1907, il travaille pour divers organismes boursiers et commence à publier contes et poèmes dans des revues.
Les fables de La Fontaine
untitled
Vingt poèmes d'amour, une chanson désespérée, Pablo Neruda - poeme d'amour et parole de chanson
(Il a écrit ces 100 « sonnets de bois » à son grand amour, sa dernière femme Matilde Urrutia.) Matilde Urrutia (extraits) Au sein de la terre, j'écarterai les émeraudes pour t'apercevoir et toi d'une plume d'eau messagère tu seras en train de copier l'épi. Quel univers ! Il ne restera plus que tout l'air libre avec la pomme emportée par le vent, dans la ramée le livre succulent, et au lieu où respirent les oeillets nous fonderons un habit qui supporte l'éternité d'un baiser victorieux. Pablo Tu arrives du Sud avec ses maisons pauvres, dures régions du froid, du tremblement de terre qui, même quand leurs dieux roulèrent dans la mort ont donné la leçon de la vie dans la glaise. Tu es un poulain de glaise noire, un baiser de boue sombre, amour, coquelicot de glaise, ramier du crépuscule éployé sur les routes, tirelire à chagrin de notre pauvre enfance. Tu es du pauvre Sud, d'où est venue mon âme; dans ton ciel ta mère lave toujours du linge avec la mienne. Pablo Matin Midi Nuit Ah!
Hugo
Mode image L'extrême richesse du site Gallica de la B.N.F. ( plus de 15 000 réponses si l'on demande "Hugo, Victor" sur "Tout Gallica" en rend la consultation difficile si l'on n'en a pas l'habitude. On y trouve maintenant beaucoup d'éditions originales et plus encore d'éditions illustrées. Il en va de même pour la bibliothèque de Google qui contient des trésors mais pas toujours faciles à trouver dans une liste pléthorique (plus de 500), bizarrement classée (ou pas du tout?) Quelle que soit la qualité technique de la réalisation (fichiers aisément téléchargeables, finesse de la photographie, aisance de la navigation entre les pages et avec les tables des matières et, désormais, possibilité de recherches), ce mode de numérisation rend problématique l'extraction d'une citation. Mode texte Sous ce mode les textes numérisés et téléchargeables sont beaucoup moins nombreux. Feuilles paginées, édition critique pp. Autres sites offrant les textes en ligne
Séquence Louise Labé
Louise Labé, portrait de La Belle Cordière,1555 Pourquoi donc, aujourd’hui, s’intéresser aux sonnets de Louise Labé ? D’abord parce que cette œuvre correspond parfaitement à un objet d’étude qui concerne l’ensemble des classes de Première et dont l’intitulé est : Ecriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours. Ensuite parce que ce recueil de poésies peut permettre d’illustrer un autre objet d’étude, celui-là spécifique à la classe de Première littéraire : Vers un espace culturel européen : Renaissance et humanisme. Mais surtout, découvrir et étudier les Sonnets de Louise Labé, c’est être entraîné dans un univers poétique unique où, pour une fois, c’est l’homme qui est l’objet du désir amoureux ! l Une œuvre atypique Ecrits en 1555, les Sonnets nous livrent un point de vue féminin sur l’amour, entre douleur et plaisir, jouissance et désillusion. Une femme extraordinaire L’influence de l’antiquité Laure et Pétrarque. Le Pétrarquisme Petrarque Images pétrarquistes Le sonnet l l l l Las !