Gérard Miller : analyse du discours de Nicolas Sarkozy How pseudoscience tries to fool you Pseudoscience is enticing partially because it’s easy and partially because it gives black and white false dichotomies about the natural world, including medicine. Pseudoscience tries to make an argument with the statement of “it’s been proven to work”, “the link is proven”, or, alternatively, they state some negative about scientifically supported therapies. It really has an appeal to it because it digest complex analysis to a simple “yes, this works.” For example, real science has debunked the “there is a proven link between vaccines and autism,” a common and popular pseudoscientific belief. Or that most alternative medicine (CAM) therapies work based on numerous logical fallacies that suspends reason, and accepts “belief” in the therapy, something that evidence-based medicine just doesn’t do. So, I decided to highlight what separates real science from pseudoscience. What is real science Science is an evidence-based systematic analysis without inherent opinion or emotion. One more thing
Storytelling (technique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le storytelling ou conte de faits[1] ou mise en récit[2] signifie littéralement « racontage d'histoire »[3]. L'expression désigne une méthode utilisée en communication fondée sur une structure narrative du discours qui s'apparente à celle des contes, des récits. Son emploi notamment en communication politique est controversé du fait des usages parfois discutables auxquels se livrent les Conseillers en communication désignés sous le terme de spin doctors. Les hommes ont toujours eu recours à de grands mythes pour expliquer l’univers et organiser le chaos. Le conte de faits est l'application de procédés narratifs dans la technique de communication pour renforcer l'adhésion du public au fond du discours. Le storytelling consiste à essayer de faire émerger au sein des organisations ou du public une ou plusieurs histoires à fort pouvoir de séduction et de conviction[5].
Spin doctor Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un spin doctor est un conseiller en communication et marketing politique agissant pour le compte d'une personnalité politique, le plus souvent lors de campagnes électorales. En français canadien, on parle parfois de « doreur d'images »[1]. Étymologie[modifier | modifier le code] Il est vrai que la fonction est ancienne et s'est formalisée depuis les années 1930, même si le mot lui-même, spin, n’a vraiment été popularisé qu’à partir de 1984 et du débat entre Ronald Reagan et Walter Mondale. To spin, en anglais, signifie « faire tourner ». La commission générale de terminologie et de néologie française recommande depuis 2007 l'emploi du terme « façonneur d'image » pour traduire cette fonction. Pratique des Spin doctors[modifier | modifier le code] Sous l'Allemagne nazie, le ministre Goebbels a été le précurseur et l'initiateur d'une propagande systématique à grande échelle en faveur d'un régime totalitaire. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Jacques Pilhan Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Pilhan, né en 1944 et mort le 28 juin 1998, fut un publicitaire et le conseiller en communication politique des présidents François Mitterrand et Jacques Chirac. Formations et personnalité[modifier | modifier le code] Bachelier à 15 ans, il devient par la suite dilettante, changeant régulièrement d'année universitaire (histoire, droit), jouant beaucoup au poker et lisant des écrivains comme Guy Debord ou des chercheurs de l'École de Palo Alto qui l'influenceront beaucoup[1]. Marketing politique[modifier | modifier le code] En 1981, il est le collaborateur de Jacques Séguéla et Gérard Colé[3] durant la campagne du candidat de la « force tranquille »[4]. À partir de 1983, il seconde officieusement Gérard Colé[6], conseiller en communication de François Mitterrand, puis le remplace officiellement en juillet 1989 quand celui-ci prend la présidence de la Française des jeux. Notes et références[modifier | modifier le code]