Permaculture La permaculture est, à l'origine, une conception de l'agriculture et de l'horticulture durable fondée sur l'observation minutieuse des écosystèmes et des cycles naturels et leur imitation. C'est un mot-valise anglais formé à partir de « permanent (agri)culture » ; en français : « agriculture durable » ou « culture permanente ». Cependant l'expression « agriculture durable » a aujourd'hui pris un sens plus large. Elle a été élaborée dans les années 1970 par le biologiste australien Bill Mollison et son élève David Holmgren. La notion de permaculture a progressivement été étendue à une conception systématique de l'environnement et à une éthique normative définissant des modes de vie et un fonctionnement de la société souhaitables. En Europe, la permaculture est pratiquée aussi bien dans des jardins privés que dans des fermes de taille moyenne. Définition[modifier | modifier le code] Le terme est toutefois utilisé pour désigner la forme d'agriculture basée sur ces principes. Howard T.
Permaculture Qui en France connaît la permaculture ? Science, mode de pensée ou philosophie, la permaculture a été conceptualisée il y a près de 40 ans en Australie. Elle s’est popularisée dans les pays anglo-saxons (Australie, états-Unis, Angleterre [1]), mais a peiné à se faire connaître dans les pays francophones. DÉFINITION : La permaculture est une science de conception de cultures, de lieux de vie, et de systèmes agricoles humains utilisant des principes d’écologie et le savoir des sociétés traditionnelles pour reproduire la diversité, la stabilité et la résilience des écosystèmes naturels [3] Le but de la permaculture est de créer, par une conception (design) réfléchie et efficace, des sociétés humaines respectueuses de la Nature et des Hommes. L’éthique de la permaculture Pour apporter un cadre de réflexion et d’action en accord avec son but, la permaculture se base sur une éthique, décomposée en trois grands principes [6] : Se soucier de la Terre Prendre en compte le sol, la forêt et l’eau
22 AVRIL, JOURNÉE MONDIALE DE LA TERRE L’agro-écologie en Algérie, plaidoyer pour l’avenir" Par Karim Rahal* (La Tribune) - L'écologie en Algérie: Nouara-algérie.com( environnement,revue de web, articles éditoriaux, fiches thématiques ect...) Près d’un milliard d’habitants vont célébrer aujourd’hui la Journée mondiale de la Terre, dans le but de sensibiliser les humains à la protection de notre environnement. Au fil des ans, cette journée est devenue l’événement participatif écologiste le plus important de la planète. En effet, les enjeux sont quasi-apocalyptiques, sachant que les savants du monde entier sont unanimes pour dire qu’il nous reste à peine dix ans pour éviter une catastrophe planétaire, à travers un bouleversement important du climat, qui entraînerait des inondations majeures, de longues périodes de sécheresse, des vagues de chaleur meurtrières. Tous les indicateurs ne cessent de se dégrader : biodiversité, eau, climat, air, déchets, sols... Pour le reste, il est clair que la grande majorité des actions qui sont mises en place pour préserver notre environnement sont malheureusement bien trop timides ou peu convaincantes, englouties dans un mode de vie matérialiste qui ne sait plus s’arrêter. K.
Accueil / Site Agroécologie - Agroecologie Le Cirad mène depuis de nombreuses années un ensemble de recherches et d’essais en grandeur réelle pour documenter et objectiver la capacité de l’agroécologie à représenter une alternative économiquement et socialement viable par rapport aux modèles conventionnels d’intensification. Des progrès indéniables ont été réalisés sur l’identification des leviers de ces transitions agroécologiques, des expériences ont été accumulées sur une grande variété de contextes biophysiques, institutionnels et partenariaux, au sein des dP, dans les DOM, dans le cadre de partenariats avec les producteurs et la société civile. L’objectif est d’en tirer des enseignements génériques pour proposer une démarche globale et des dispositifs d’accompagnement en fonction des défis particuliers des différents types d’agriculture. Un des enjeux est de mobiliser et de partager les connaissances générées à l’échelle de l’exploitation avec celles générées à l’échelle du territoire et des filières.
Les Principes de la Permaculture en Français Conversations avec Pierre Rabhi : Rue89 publie un livre numérique Le premier livre numérique de Rue89 fait son apparition ce jeudi sur toutes les plateformes de vente en ligne : il s’agit d’un grand entretien avec Pierre Rabhi, l’un des penseurs de l’agriculture biologique et d’une alternative à l’idéologie de la croissance. Sous le titre « Il ne suffit pas de manger bio pour changer le monde », cet ebook vendu 4,99 euros est le fruit de plusieurs heures de conversations que Sophie Caillat, responsable de Rue89 Planète, et moi, avons eues avec Pierre Rabhi, dans sa ferme d’Ardèche. Le texte est accompagné des photos d’Audrey Cerdan, et, dans sa version iPad, de deux vidéos. Pierre Rabhi, né en Algérie, installé sur la terre aride d’Ardèche au début des années 60 et défenseur avant l’heure d’une agriculture écologique respectueuse des cycles de la vie, revient sur son parcours exceptionnel, sur sa critique de la société de consommation, et sur son concept d’ « oasis » de vie alternative. Extrait de l’entretien avec Pierre Rabhi Rue89 éditeur ?
Formations en agriculture biologique, maraîchage bio et jardinag nourriture à partager Terre Comment le mildiou fait douter le bio Dans les vignes de Bourgogne, hommes et femmes s'affairent. Avec la météo capricieuse des dernières semaines, il leur faut sans cesse intervenir. Et vite. Les nombreuses pluies et grêles ont abîmé certains fruits et encouragé la végétation entre les alignements de ceps. Les chaleurs estivales, entre deux orages, ont entraîné l'apparition de maladies, en particulier le mildiou. De quoi doucher les ardeurs de ceux qui, résolument hostiles aux interventions chimiques, se tournent vers la culture biologique. Ici, respecter l'environnement, éviter de polluer les sols, économiser l'énergie sont des valeurs partagées. Le 4 juillet, lors de l'assemblée générale du Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB), une petite centaine de viticulteurs ont discuté préservation de la biodiversité, gestion des intrants et de leur impact sur les sols et l'eau, traitement des déchets... Mais un autre sujet s'est invité : le mauvais temps. Le développement durable se conçoit globalement.