BYOD, où en est-on ? Aujourd'hui nous n'en sommes plus à nous demander si les collaborateurs d'une entreprise vont utiliser ou non leurs périphériques personnels dans le cadre de leur travail. C'est un fait établi, que l'entreprise ai mis en place une stratégie BYOD ou non, les utilisateurs veulent être libres d'utiliser leurs propres téléphones, tablettes et ordinateurs portables au travail, sans restriction d'accès ni de contrôle. Cependant, cela n'empêche pas l'entreprise de mettre en place un système s'alertes. En effet, les problèmes du BYOD vont bien au-delà des simples problèmes de confidentialité pour les utilisateurs ; il y a de sérieux enjeux en matière de sécurité et de conformité, dont vous devez tenir compte pour vous assurer qu'il n'y a aucune faille dans vos écosystèmes IT. Il n'existe aucun remède universel pour gérer le BYOD ; cependant, ce défi ne va pas disparaître prochainement et il est important d'adopter une stratégie. L'approche de l'autruche : L'approche Cro-Magnon : L'IT éclairée :
Klaxoon, la box qui promet de dynamiser les formations Exit les apprenants passifs subissant les discours à rallonge des formateurs ! Par le biais de sa filiale Klaxoon, le groupe Regards, spécialisé dans la création de contenus pédagogiques, vient de lancer une box générant son propre réseau Wifi et permettant aux stagiaires de participer activement à leurs sessions de formation, depuis leur propre device. Persuadé qu’il était possible de ré-intéresser les apprenants aux contenus de formations, Matthieu Beucher, président-directeur général du groupe Regards a créé, il y a environ huit mois, Klaxoon, une filiale d’une vingtaine de collaborateurs dont l’ambition est de "simplifier l’apprentissage en rendant la formation plus interactive", explique-t-il. Après avoir reçu le soutien de Bpifrance, cette entité a lancé, en mars dernier, une solution permettant aux formateurs et aux apprenants d’interagir par le biais de leur propre ordinateur, tablette ou mobile. Une solution qui titille les organismes de formation
Clic 2016 : Comment intégrer le BYOD en classe inversée ? Comment utiliser les propres outils numériques des élèves en classe ? Le BYOD, Bring Your One Device, gagne de plus en plus de terrain en France. Deux enseignants de sciences physiques Martial Gavaland au lycée La Colinière de Nantes (44) et Frédéric Laujon au lycée Claude de France de Romorantin (41) expliquent au congrès l’intégration et l’usage du BYOD en classe inversée. « Jusqu’à quand allons-nous tenir sans pouvoir utiliser les outils des élèves ? « Monsieur, est-ce que je peux utiliser mon téléphone ? L’introduction de Martial Gavaland débute par cette question souvent entendue en classe lors de ses cours. L’enseignant de sciences physiques montre aussi les potentialités pédagogiques de la plate-forme Aurasma. « Un exposé accroché au mur du couloir peut devenir en un instant un support interactif. La solution Moodle Frédéric Laujon de l’académie d’Orléans-Tours insiste sur les moyens techniques pour faire du BYOD. Julien Cabioch Martial Gavaland au Forum des enseignants innovants
Learning Battle Cards: A New Tool For Instructional Designers One of the biggest challenges for Instructional Designers is to keep track of constant changes in Training and Development (T&D). You know how to handle workshops and seminars, but do you know how to match them with a back channel or community in practice? Do you know how to use big data to shape your Training and Development plans, or how to engage virtual agents in developing skills of people you are responsible for? Many of us educators know or remember only a few Training and Development methods; and even when learning about new methods, we are used to stick to those we are most familiar with. There are at least 2 barriers limiting the optimal usage of Training and Development methods by educators: Knowing the method.Understanding how to effectively use it. We decided to create a concept, and a product, called Learning Battle Cards (LBC) which aims to break these barriers. While building it we reached for 4 inspirations: There are 4 goals of Learning Battle Cards:
Les différents modèles d’intégration du BYOD | École branchée (suite du dossier, par Aurélien Fiévez, en collaboration avec Gabriel Dumouchel) L’enseignant a le choix des outils et des plateformes qu’il veut (et peut) utiliser dans sa salle de classe. En fonction de la liberté qu’il donne aux élèves, différents modèles d’intégration du BYOD se dessinent. Un guide du ministère de l’Éducation de l’Alberta initie cette réflexion en mettant en évidence les différentes configurations possibles d’une infrastructure BYOD. Dans le cadre de ce chapitre, nous avons ajusté ce modèle en fonction de nos constatations et de nos recherches afin de créer un modèle d’intégration du BYOD (figure 1). En salle de classe, chaque élève apporte avec lui un outil particulier et différent; l’enseignant doit alors combiner et parfois jongler avec l’ensemble de ces artefacts technologiques. Ainsi, l’approche de l’utilisation restreinte demande à l’enseignant de choisir un outil en particulier (par exemple un iPad Air 2 de 64 Go), unique pour tous. Table des matières 1.
Apprendre en mode BYOD (Bring Your Own Device) : Dossier complet Infobourg, portail réputé sur l’éducatif et le numérique au Canada a mis en ligne fin février 2015 un dossier sur la thématique du BYOD autrement dit le Bring Your Own Device ou en français l’AVAN (« Apportez Votre Appareil Numérique ») : Le BYOD : entre perspectives et réalités pédagogiques. Le BYOD : Qu’est-ce que c’est et qu’est-ce que ça change ? Ce type de configuration est de plus en plus prisé dans des contextes d’apprentissage, de formation et bien évidemment dans le monde scolaire et éducatif. Si le fait de travailler avec ses outils personnels confère certains avantages, il reconfigure grandement l’environnement d’apprentissage et la relation apprenant – enseignant/formateur/animateur. Ce dossier vise à toute à la fois à marquer des repères sur l’utilisation du BYOD mais également à apporter un éclairage scientifique sur ce nouveau contexte pour comprendre et apprendre avec le numérique. 8 articles pour apprendre avec le numérique en mode BYOD 1.
Des activités pédagogiques réalisées à l’aide des technologies mobiles Avis : Cet article constitue un complément au numéro de décembre 2015 du magazine École branchée. Le dossier « Le b.a.-ba des technologies mobiles (ou « La mobilité pour les nuls! Construction de réseaux de concepts La construction de réseaux de concepts est une tâche bien adaptée à l’utilisation des appareils mobiles puisque l’élève n’a pas à rédiger de longs textes, activité qui peut devenir contraignante lorsqu’elle est réalisée sur un téléphone ou une tablette. Quelques applications Popplet iPad : Gratuit ou 4,99 $www.popplet.com Popplet permet d’intégrer des images et du texte au réseau de concepts ou d’y ajouter un dessin à l’intérieur d’une bulle. SkitchiPad, Android : G Il s’agit d’une application qui permet de dessiner des annotations, des formes, des flèches, etc. La classe inversée Création d’audioguides à l’aide d’IZI.Travel IZI.Travel : Débats filmés en classe à l’aide d’une application de régie vidéo Sur le même thème
Pourquoi interdire les téléphones portables à l'école ? Les téléphones portables sont interdits de séjour à l’école en France mais une recherche récente conduite en Angleterre dans 91 lycées de 4 grandes villes (qui ont des politiques différentes en la matière) montre que l’interdiction a un effet positif sur les résultats scolaires : les scores des élèves aux tests de fin d’année ont augmenté de 6,4 % quand l’interdiction a été scrupuleusement respectée. Il y a un effet différencié selon les élèves : les meilleurs sont peu sensibles à la présence ou non de téléphones dans les établissements, alors que les plus faibles voient leurs résultats s’améliorer (+ 14,2 %) quand l’interdiction est mise en place. Selon les auteurs, les premiers seraient capables de rester concentrés en toutes circonstances alors que les seconds seraient moins résistants face à la distraction occasionnée. Quoi qu’il en soit, les chercheurs soulignent l’intérêt de cette question.
BYOD : une initiative pédagogique innovante en 5e bilangue (reportage vidéo) Le BYOD abolit les murs de la salle de classe. A Evian, Rafika Selmi, prof d’anglais en collège, y a recours avec ses 5e dans le cadre d'un travail collaboratif et interactif. Au collège Les Rives du Léman, à Evian-Les-Bains, Rafika Selmi, professeure d’anglais, a systématisé l’usage du smartphone en classe pour de nombreuses activités : recherche de mot de vocabulaire, vérification de la prononciation d’un mot, ou encore travail collaboratif. Avec une classe de 3e, elle a organisé la création d’une exposition, dans la bibliothèque du collège, sur le monde du gothique. Ensuite, avec une classe bilangue de 5e, elle a mis en place une “activité BYOD” (Bring your own device – pratique où les élèves apportent et utilisent leur propre matériel), autour de cette exposition. Les élèves de 5e, divisés en 6 groupes (îlots), utilisent leurs smartphones personnels (ou les iPad de l’école, s’ils n’en ont pas). Fabien Soyez
Réussir la mise en place d’une politique de « BYOD » dans son établissement Le « BYOD », phénomène encore peu répandu, occupe de plus en plus les conversations, notamment du fait du manque de moyens des écoles pour investir dans le numérique éducatif. Il poursuit activement son chemin dans certains milieux. (Édition Québec) Michael G. Aux Etats-Unis, plusieurs écoles font le même constat : le manque de moyens évident qui ne permet plus d’équiper tous les élèves et d’envisager une politique efficiente de développement du numérique en classe. The Rocky River Schools a déjà investi dans de l’équipement informatique pour les élèves, mais dresse aussi le constat que souvent, ces élèves préfèrent travailler sur leur propre matériel. Cela doit se faire en plusieurs étapes, comme l’expliquent le Dr. Ensuite, il faut s’assurer de l’état du réseau des établissements : bande passante, WI-FI et sécurité Internet. Enfin, la politique de BYOD doit être en adéquation avec le programme mis en place par l’établissement. Le BYOD au quotidien, ça donne quoi?
BYOD : les conseils de la CNIL Le BYOD doit rester « subsidiaire » Depuis des années, la tendance est lourde : le BYOD se développe bien plus rapidement en Asie et sur le continent américain qu’en Europe. Une situation qui s’explique par différents facteurs : habitude de fournir un appareil à l’employé, problème juridique, séparation des données privées et professionnelles, travail en-dehors des heures de travail, etc. L’autorité administrative indépendante française divise sa fiche en sept points. Sans même lire le développement, le titre nous indique d’emblée le caractère limité du BYOD. Des conseils de base toujours judicieux La CNIL n’est pas anti-BYOD pour autant, sinon elle n’aborderait pas le sujet de cette façon. La commission rajoute qu’il est important : Bref, le b.a. La question majeure du respect de la vie privée Le cinquième point abordé par la CNIL est par contre plus complexe, mais tout aussi important. Notons enfin que d’après la CNIL, l’entreprise n’a pas grand-chose à faire en terme de formalité.
BYOD : évaluer les élèves avec leurs appareils mobiles Pour certains, l’utilisation des appareils mobiles en classe est considérée comme une intrusion du monde extérieur dans l’enceinte de l’école. Pour d’autres, ce nouvel usage du numérique en éducation élargit les horizons d’apprentissage et développe les relations avec l’environnement de la classe. Avec l’introduction des appareils connectés, la classe s’est ouverte sur le monde et les usages pédagogiques ont évolué pour favoriser l’utilisation de nouveaux supports d’apprentissage. Or, les appareils mobiles ne sont pas tout à fait systématiquement les bienvenus en classe et sont même peu appréciés par certains enseignants. Nous ne pouvant certes pas occulter certains « méfaits » de l’utilisation non réglementée des smartphones en classe. Une minute… ! De même, dans cet article, l’auteur explique comment, par la mise en place d’une activité d’évaluation des élèves, l’enseignant peut progressivement développer l’utilisation des appareils mobiles au sein de sa classe. Commentaires
Collège et lycée : peut-on et doit-on encore bannir les téléphones portables de l’école ? Des professeurs parlent de l’omniprésence des smartphones à l’école et s’interrogent sur les réponses qu’ils doivent y apporter, entre pédagogie et tolérance zéro. Un « fléau », une « guerre sans fin »… l’addiction des adolescents au téléphone portable fait l’objet de débats souvent houleux en salle des profs dans les collèges et les lycées. Plus de huit adolescents sur dix étaient équipés en smartphone, selon une étude du Credoc de 2015, contre 20 % en 2011. Et la tendance gagne l’école primaire, où les élèves commencent à en être dotés parfois dès le CM1, à partir du moment où ils vont seuls à l’école, car cela rassure les parents de pouvoir les joindre à tout moment. En théorie, les portables devraient rester éteints dans les sacs, mais c’est loin d’être le cas. « Alors tu live-tweetes mon cours ? Chacun se débrouille pour faire respecter l’interdiction. Calculatrice, photocopieur, enregistreur Comme d’autres, M. « Je me mets à la place d’élèves qui n’en possèdent pas »