Rerum Novarum (15 mai 1891) | LÉON XIII A tous Nos Vénérables Frères, les Patriarches, Primats, Archevêques et Evêques du monde catholique, en grâce et communion avec le Siège Apostolique. Vénérables Frères, Salut et Bénédiction apostolique. La soif d'innovations (1) qui depuis longtemps s'est emparée des sociétés et les tient dans une agitation fiévreuse devait, tôt ou tard, passer des régions de la politique dans la sphère voisine de l'économie sociale. Partout, les esprits sont en suspens et dans une anxieuse attente, ce qui seul suffit à prouver combien de graves intérêts sont ici engagés. Le problème n'est pas aisé à résoudre, ni exempt de péril. Quoi qu'il en soit, Nous sommes persuadé, et tout le monde en convient, qu'il faut, par des mesures promptes et efficaces, venir en aide aux hommes des classes inférieures, attendu qu'ils sont pour la plupart dans une situation d'infortune et de misère imméritées. Les socialistes, pour guérir ce mal, poussent à la haine jalouse des pauvres contre les riches. 1. 2. 3. 4. 5. 6.
AVERTISSEMENT: ce prêt vous mettra dans le pétrin Ah, ces vautours de la détresse financière ! Ils s’annoncent encore sans gêne dans les médias. Ils offrent toujours des prêts à des taux délirants. Et dire que Québec vient juste d’imposer de nouvelles règles pour mater l’industrie du prêt à taux abusif. C’est décourageant. Publié le 25 août 2019 à 6h30 Stéphanie Grammond La Presse Lucie Parent n’en revient pas d’entendre les publicités de Créditmatik qui tournent en boucle à la radio, visant particulièrement les jeunes. « Je suis comptable agréée. La dame craint que les jeunes ne se laissent séduire par cet argent facile. Creditmatik offre des prêts à court terme de 250 $ à 1250 $. « Simple. Créditmatik affirme que ses taux d’intérêt s’élèvent à 22 %. Prenons un exemple. En trois mois seulement, tous ces frais vont donc faire exploser votre dette de 60 %. Pour les consommateurs à court d’argent, ce genre de prêt est loin d’être une bouée de sauvetage. Pourtant, Québec vient de donner un tour de vis à l’industrie du crédit.
Aux Maldives, l'île aux ordures abrite une bombe toxique | HuffPost Québec MALÉ - L'approche aérienne des Maldives offre une vue panoramique d'eaux azur et d'îles bordées de coraux mais à l'atterrissage, des volutes de fumée révèlent également un désastre environnemental. L'île de Thilafushi, à une demi-heure en bateau de la capitale Malé, est entourée comme ses voisines d'eaux cristallines et de sable blanc qui ont rendu célèbre l'archipel comme destination privilégiée pour les voyages de noces des touristes les plus fortunés. Mais aucun vacancier n'y met les pieds et aucun n'imagine que la fumée qui s'en échappe provient des ordures accumulées par les touristes et les autochtones auquel Fusin et d'autres ont mis le feu. Immigré venu du Bangladesh, il est l'un des employés de "l'île poubelle", la plus vaste décharge du pays, et est payé 350 dollars par mois pour 12 heures de travail par jour, sept jours sur sept. L'océan pollué "Les piles contiennent du plomb. Leur tronc est noirci et les feuilles manquent. Galerie photoL'île aux ordures aux Maldives
L'obsolescence programmée est désormais un délit passible de prison Présente dans la loi sur la transition énergétique, définitivement adoptée au Parlement cette semaine, l'obsolescence programmée devient une infraction punie de deux ans de prison et 300.000 euros d'amende. Chacun a déjà connu ces situations: une batterie de téléphone en panne et devenue depuis introuvable, une application de smartphone qui n'est plus adaptée à notre modèle, une imprimante qui nous signale qu'un remplacement d'appareil est nécessaire. L'obsolescence programmée, une technique imputée aux distributeurs pour réduire volontairement la durée de vie d'un produit et inciter le consommateur à acheter davantage, est désormais un délit inscrit dans la loi. La disposition est présente dans la loi sur la transition énergétique adoptée définitivement par le Parlement cette semaine. L'Assemblée nationale a prévu, en cas d'infraction constatée, de frapper au portefeuille des entreprises avec une peine de «deux ans d'emprisonnement et 300.000 euros d'amende». • Par défaut fonctionnel
David Mahé, Santé au travail : manager par la confiance plutôt que la défiance - Stratégie & Management Thèmes et idéesNos invitésNos analysesÉmissions Accueil > Nos émissions > Stratégie & Management > Santé au travail : manager par la confiance... Santé au travail : manager par la confiance plutôt que la défiance Par David Mahé - Président du cabinet Stimulus et responsable de la FIRPS Regarder plus tardLire la suite Precepta Stratégiques a reçu David Mahé, Président du cabinet Stimulus et responsable de la FIRPS, pour parler du bien-être au travail. Une interview menée par Thibault Lieurade. Pour en savoir plus sur le manifeste Mots clés : Management, Management, Santé, Confiance, Travail , Bien-être Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Philippe Gattet Comprendre l'EBITDA et l'EBIT Julien Pillot Les échecs de FUSACQs : des histoires d’amour qui finissent mal Philippe Gattet Les métiers de conseil défiés par les robots : comment rester compétitif ? Les dernières émissions David Mahé Santé au travail : manager par la confiance plutôt que la défiance Damien Festor Le marché de l’automédication Twitter x
Gros plan sur les hausses de prix Les prix montent sans cesse, se plaignent les consommateurs, davantage que la mesure de l’inflation officielle, calculée par Statistique Canada, de 1,7 %. Pour en avoir le cœur net, le chroniqueur Francis Vailles a suivi une agente de l’organisme dans sa collecte des prix, produit par produit. Constats, tendances et surprises au menu. Publié le 12 octobre 2019 à 6h00 Scruter les prix, un article à la fois Francis Vailles La Presse Tiens, la voilà qui pèse un cantaloup des États-Unis, vendu 3,99 $ l’unité, en solde. Elle, c’est Josée, un des 90 agents de Statistique Canada qui s’affairent à scruter, à longueur d’année, les prix des biens et services consommés par les Canadiens. L’exercice fastidieux permet d’établir le fameux Indice des prix à la consommation (IPC), qui est crucial pour notre économie. Pour une très rare fois, Statistique Canada consent à ce qu’un journaliste entre dans les méandres de la collecte des prix. « D’où viennent ces choux-fleurs ? Pourquoi tant de précautions ?
Ces Mexicains vivent sans accès à l’eau potable à cause de Coca Cola ! Au Mexique, Coca-Cola a acquis un pouvoir considérable. Dans le sud du pays, au Chiapas, l´un des états les plus pauvres, la multinationale américaine a fait main basse sur l´eau et sur la vie de ses habitants. Le Chiapas est considéré comme le réservoir d´eau du Mexique. Dans les années 80, la firme Coca Cola installe à San Cristobal de Las Casas sa plus grosse usine, qui emploie près de 300 personnes. Elle y pompe l´eau nécessaire à sa production, puisant directement dans la nappe phréatique de la ville jusqu´à en assécher certaines communautés alentours. Pour fabriquer 1 litre de Coca, il ne faudrait pas moins de 6 litres d´eau. La multinationale américaine s´est ainsi immiscée partout. Face à ce fléau, certains habitants tentent se mobilisent et tentent de se réapproprier leur ressource naturelle. Boire Coca Cola c’est participer à ça : Source : PublicSenat.fr – EspoirChiapas.blogspot.fr – Communiqué de presse en espagnol – Brochure informative Être certain de voir nos publications
Obsolescence Programmée - concepts, exemples et actualités Dominique Méda, Université Paris Dauphine - Le désir de reconnaissance au travail au XXIème siècle Precepta stratégiques a reçu Dominique Méda, sociologue et professeur à l'Université Paris-Dauphine, dans le cadre de son ouvrage :... FinÉcoLab