Le revenu universel : première vision positive du XXIe siècle, par Mona Chollet Revenu universel: « la première vision positive du XXIe siècle » Selon Mona Chollet, plus qu'une utopie de plus, le revenu universel est un véritable projet de société qui répond à de nombreuses problématiques du XXIème siècle. Après avoir vécu douze ans dans une roulotte de cirque, pour être libre et pour économiser un loyer, Susanne Wiest s’est installée à Greifswald, dans le nord de l’Allemagne. Elle travaille comme maman de jour, sans gagner suffisamment pour joindre les deux bouts : elle doit accepter l’aide de ses parents. Quel travail feriez-vous si votre revenu était assuré ? Derrière la carte – et la question -, il y a Enno Schmidt, un artiste allemand établi en Suisse alémanique, et Daniel Häni, qui dirige à Bâle Unternehmen Mitte, une ancienne banque reconvertie en centre social et culturel (une exception notable à la règle qui veut que seules les usines désaffectées connaissent ce destin). Une “valeur travail” plus ancrée en France qu’en Allemagne ou en Suisse
Vivre sans travailler, c'est possible ! orion, et pour info, les autres foufouille, jpm et alter, orion, vous êtes vraiment une sacrée feignasse ! Et réclamez le RU ? Maintenant, dites moi : Comment peut-on croire que, dans la France dans l’UE qui court après les US, ce pays dans lequel le bipartisme n’est pas UMPS mais l’équivalent de l’UMP-FN, comment peut-on croire qu’avec une prévision de réduction du budget de l’État de l’ordre de 66%, comment peut-on croire que cet État versera un RU convenable à tous ses concitoyens ? Comment croire au RU, si on n’est ni idiot ni feignasse ? Vous me demandez de lire votre texte raélien, paradisiaques, incantatoires ? La république des lobbies Par Marc Endeweld| 19 décembre 2011 : À quelques mois de l’élection présidentielle de 2012, de nombreux lobbies se mettent en ordre de marche pour tenter d’influer sur les programmes politiques.
[APP] une autre monnaie est possible : une BD augmentée L'argent ne fait pas le bonheur... sauf si on le fabrique soi-même! Avec notre BD augmentée, apprenez les principes de la création monétaire et découvrez comment élaborer des monnaies libres auxquelles donner du sens. Philippe Derudder fait partie de ceux qui voient en l’alternative économique une chance à saisir. Ancien entrepreneur qui a tout plaqué en 1992 pour ne plus cautionner un système monétaire qui ne lui convenait pas, il cherche alors des solutions pour concilier monnaie et équilibre écologique. Quel est votre rôle dans les étapes de la mise en place d’une monnaie complémentaire? Philippe Derudder: J’accompagne les gens surtout sur la compréhension au départ du système de la monnaie: comment peuvent-ils s’organiser pour lancer une monnaie locale, c’est la question ou la thématique centrale de mes interventions. Pouvez vous nous expliquer par quelles étapes est passée la création de l’Abeille à laquelle vous avez participé? Existe-il une notion d’héritage ou d’épargne?
Allemagne: Comment les réformes Hartz ont ouvert le débat sur le revenu de base En Allemagne, les mesures visant à accroitre les « pressions à travailler » introduites il y a 10 ans sont en conflit avec l’engagement de l’État de garantir la dignité humaine… Et ont contribué à faire émerger une contre-proposition radicale : le revenu de base inconditionnel. Un article du Guardian traduit de l’anglais par Aurélien Cabanillas. Il y a exactement dix ans, le marché du travail allemand était soumis à la première des réformes Hartz IV, comme on les appelait. Leur mise en place, par l’habile chancelier de centre-gauche Gerhard Schröder, fut un moment critique qui changea la manière dont le gouvernement allemand gère la pauvreté. Les changements étaient criblés de ces anglicismes que les bureaucrates aiment saupoudrer à chaque modernisation. L’effet immédiat fut l’aggravation de la situation de ceux qui vivaient des allocations (en 2013, le taux standard est de 382€ par mois et par personne, plus le coût d’un « logement adéquat » et des soins médicaux). Crédit image:
Création Monétaire « La liberté de consommer est une illusion bien cher payée » - Décroissance Basta! : Instaurer un revenu de base, aussi appelé revenu d’existence ou allocation universelle, est une revendication qui commence à émerger. Vous faites une nouvelle proposition en ce sens. En quoi votre projet est-il original ? Vincent Liegey [1] : Le revenu d’existence consiste à donner à tous, de la naissance à la mort et de manière inconditionnelle, un revenu. C’est une idée très ancienne que l’on a contribué à exhumer, mais avec un regard critique : ce type de revenu peut très bien s’inscrire dans le système économique actuel, sans le renverser ni le questionner. Comment ce revenu sera-t-il versé aux citoyens ? Nous proposons une DIA distribuée non pas en euros, mais en droits d’accès, en droits de tirage sur les ressources, et en système monétaire alternatif. Cette proposition oblige à une réflexion collective sur ce que l’on produit, comment on le produit, et pour quel usage... Nous sommes face à une crise systémique, dans laquelle tout est lié. Comment financer un tel projet ?
RippleWiki | Main / HomePage “Détroit Je t’aime”, quand un webdocumentaire plonge au coeur d’une utopie concrète grandeur nature Résultat, les usines géantes des constructeurs ont fermé une à une tout comme celles des sous-traitants laissant la ville exsangue et détruisant des milliers d’emplois. Passé le choc, les habitants ont vite compris que l’économie néolibérale n’avait que faire de leur vie brutalement éparpillée en mille morceaux et on choisit de s’appliquer à eux mêmes et à leur ville le fameux principe du DIY, autrement dit le Do It Yourself. Un principe qui est aussi l’un des axes du mouvements de la transition dont l’un des objectifs est d’imaginer une relocalisation de l’économie basée sur le savoir et le savoir-faire, en mettant en valeur les petites unités locales de production. En choisissant de poser leur caméra à Détroit pour y tourner le webdocumentaire "Détroit je t’aime", Nora Mandray et Hélène Bienvenu montrent que la transition est bel et bien une utopie… concrète !
ecash In the United States, only one bank implemented ecash, the Mark Twain bank and the system was dissolved in 1997 after the bank was purchased by Mercantile Bank, a large issuer of credit cards.[2] Similar to credit cards, the system was free to purchasers, while merchants paid a transaction fee. In Australia ecash was implemented by St.George Bank, but the transactions were not free to purchasers. In June 1998, ecash became available through Credit Suisse in Switzerland. "ecash" was a trademark of DigiCash, which went bankrupt in 1998, and was sold to eCash Technologies, which was acquired by InfoSpace in 2002,[citation needed] currently know as Blucora. Plaintiff sued alleging trademark infringement and unfair-competition claims. The court rejected defendant's argument in denying plaintiff's motion to dismiss defendant's counterclaim. See also[edit] References[edit] Jump up ^ Chaum, D., Fiat, A., and Naor, M. 1990. Literature[edit] Schneier, Bruce. External links[edit]
Le revenu de base : promesse d'un avenir meilleur Les adeptes d’un changement radical de modèle économique – intégrant notamment un salaire plancher généralisé – avancent souvent que cette revendication est la conséquence logique de la crise de l’emploi. Pourtant, leur hypothèse de départ est erronée puisque les économies développées du 21e siècle ne connaissent nullement pareille crise. Il n’en reste pas moins vrai que la nature même du travail rémunéré est en évolution permanente, du fait des mutations récentes que sont l’innovation technologique galopante, la mondialisation et les changements sociétaux, comme la proportion toujours croissante de femmes exerçant une activité professionnelle. Aujourd’hui, des métiers, des entreprises, voire même des pans entiers de l’industrie ont disparu. Au contraire, l’emploi bat des records en Allemagne avec 41 millions d’actifs. Ce ne sont pas les machines qui paieront nos impôts ! Voilà pourquoi le travail rémunéré est – et restera– le mécanisme central de coordination sociale.
Banques éthiques, monnaies libres… et toi, tu fais quoi après la crise ? Pas besoin d'un plan de sauvetage à 140 milliards pour moraliser le capitalisme : monnaies libres, banques éthiques et autres outils existent pour donner un peu de sens à la finance. Doté de seulement deux banques éthiques, la France paie le prix d’une stratégie de concentration en géants mondiaux, pas très raccord avec les aspirations de moralisation du capitalisme. 5 millions d’euros de fonds propres, plus de 26 000 sociétaires / actionnaires… « D’un point de vue purement réglementaire, nous avons le droit d’être une banque de plein exercice », annonce Marc Favier, responsable du projet de développement et d’innovation de la banque éthique La Nef. Partie de la loi de 1984, la concentration du secteur bancaire orchestré par la Banque de France a certes livré des mastodontes internationaux au secteur bancaire français, mais la prive aujourd’hui de tout réseau de banque éthique indépendant. Des myriades de banques spécialisées des années 60 aux mastodontes de la finance des années 2000