SO'BiO étic®, soins cosmétiques bio, soins hygiéne biologiques Introduction SO'BiO étic®, des produits de beauté éthiques certifiés bio ET plaisir. Si la nature a mis des millions d’années à créer les plantes, les fleurs, à multiplier les espèces végétales et toutes leurs vertus, c’est sûrement pour que les femmes, sa plus belle création, en profitent. Et s’il existe une telle biodiversité dans la nature, ce n’est pas pour que les femmes utilisent des produits chimiques. Ce ne sont pas les laboratoires, ni la chimie, qui comprennent le mieux les besoins du corps. Seuls les produits issus d’une nature, pure et non trafiquée, sont capables de respecter l’éco système originel de chacun, l’intégrité et la beauté du corps. Des produits certifiés bio et solidaires pour toute la famille: SO’BiO étic® conçoit et fabrique des soins cosmétiques et d’hygiène certifiés biologiques pour rendre accessibles à tous les dons de la nature, sous toutes leurs formes, en respectant une éthique de production. * A l'exception des huiles essentielles d’atmosphère
CICE : le secret un peu honteux des grandes entreprises françaises Des millions d'euros sont accordés aux groupes tricolores sous forme de crédit d'impôt compétitivité. Seuls quelques-uns l'admettent. Du temps, il en aura fallu au JDN pour convaincre quelques-uns des fleurons de l'économie française de dévoiler le montant du crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE) dont ils bénéficient. Du temps et d'innombrables relances. Pourtant, pour la petite histoire, c'est un homme du sérail, Henri Lachmann, ex-PDG de Schneider Electric, qui a aiguisé notre curiosité : "Qu'on ne me dise pas que les caissières de Carrefour contribuent à la compétitivité de la France", nous avait-il lancé lors d'une interview à l'automne dernier. Ironie du sort, Schneider, qu'Henri Lachmann a dirigé pendant près de 10 ans, fait partie des 33 groupes sur les 49 contactés qui ont refusé de se prêter au jeu. 16 entreprises totalisent à elles seules 8,3% du crédit d'impôt compétitivité emploi Alors, quels autres enseignements peut-on tirer de ce faible échantillon de répondants ?
Michel et Augustin - Les trublions du goût Cosmétique : le bio reste tendance en 2020 Depuis que les bienfaits de la nature sur notre santé ont été constatés, le bio a envahi de nombreux secteurs, de l'alimentation aux cosmétiques. Conscients que les produits formulés à base d'ingrédients naturels et « clean » sont meilleurs pour leur santé, les consommateurs privilégient de plus en plus le bio. La France se trouve être le second marché européen de la cosmétique bio avec un chiffre d'affaires de 757 millions d'euros en 2018. Même si les ventes ne dépassent pas encore celles du marché de la cosmétique conventionnelle dans le pays, force est d'admettre que les ventes réalisées au niveau de ce dernier baissent déjà considérablement. Les consommateurs sont plus regardants sur les composants de leurs produits d'hygiène et cosmétique, et avec une croissance des ventes qui augmente de 5% chaque année, d'ici 2023, le chiffre d'affaires de la cosmétique bio atteindra les 5 milliards. Zoom sur les produits phares de la cosmétique bio pour cette année 2020. Du démaquillant naturel
Le patriotisme économique plébiscité par les Français voxnr.com EXCLUSIF + DOCUMENT - 59 % des personnes interrogées par CSA pour « Les Echos », Radio Classique et l’Institut Montaigne jugent le patriotisme économique «efficace pour redresser l’économie française». Le patriotisme économique fonctionne toujours auprès des Français. C’est ce que met en exergue un sondage CSA pour « Les Echos », Radio Classique et l’Institut Montaigne. Pas moins de 59 % des personnes interrogées jugent que « le fait de privilégier des produits ou des entreprises françaises dans le contexte actuel de mondialisation » est « efficace pour redresser l’économie française » contre 38 % qui considèrent cette stratégie « inefficace ». Voilà qui va faire plaisir à Arnaud Montebourg, le ministre de l’Economie et du Redressement productif et chantre du « made in France », qui vient de monter au créneau, comme plusieurs autres responsables de droite comme de gauche pour défendre Alstom contre les appétits du géant américain General Electric. « Un sujet fédérateur »
laulhere-france | Le béret français depuis 1840 Le marché de la cosmétique bio en pleine croissance en 2020 Les ingrédients qui composent les cosmétiques peuvent être de nature synthétique ou naturelle. Mais la demande croissante des consommateurs pour des ingrédients naturels et biologiques dans les produits cosmétiques est une tendance importante qui est toujours d’actualité en 2020. Les sous-produits alimentaires sont de plus en plus valorisés en tant que matières premières par l’industrie cosmétique. Ils ont contribué à une éclosion visible du marché de la cosmétique qui se poursuit malgré la pandémie. Mais comment définir un cosmétique bio en 2020 ? Dans la plupart des marchés, il n’y a pas de définition légale du « biologique » en ce qui concerne les cosmétiques. Les produits qui portent ces écolabels contiennent des matières premières naturelles telles que des huiles végétales, des graisses et des cires, des extraits d’herbes ou des huiles essentielles et des arômes de culture biologique contrôlée ou de nature sauvage conformément à la directive établie.
Les cosmétiques bio continuent de conquérir les Français Une année "complètement perturbée". Si 2020, marquée par la crise sanitaire, sera évidemment une année hors du commun pour bon nombre de secteurs économiques, le président de Cosmébio, association française de la cosmétique bio qui porte le label du même nom, se veut optimiste. "La crise nous a fait redécouvrir que l'environnement et la santé sont liés, décrypte Romain Ruth. Jamais l'hygiène n'a été autant au cœur des préoccupations et les cosmétiques et l'hygiène sont perçus comme des produits de première nécessité." Difficile encore de dire si cette crise pourrait booster la cosmétique bio ou au contraire la freiner dans son élan. Car ce marché était jusqu'en 2019 en plein essor: plus de 900 millions d'euros de chiffre d'affaires cette année-là, contre quelque 700 millions en 2018. Contexte porteur Il faut dire que le contexte est porteur, les consommateurs étant de plus en plus attentifs à la composition et à la nature des produits qu'ils achètent.