La Zone 51. Base Spatiale ou Projets Noirs ? En Images . Video L’histoire de la zone 51 Bien avant que les médias et les ufologues parlent d’ovnis, la zone 51 était réservée aux essais nucléaires. Elle servait également de site pour les essais de l’armée américaine, les fameux « projets noirs ». La base bénéficiait bien sûr d’une surveillance mais rien de comparable à ce qui existe aujourd’hui. Jusqu’au début des années 80, il était possible de se rendre à Groom Lake en voiture pour observer la base de loin. Cette zone n’intéresse pas que les ufologues. Ce qui frappe surtout quand on observe les photos, c’est l’absence totale d’activité en surface. La base a été construite par la CIA et n’est utilisée que dans le cadre de projets gouvernementaux. Zone interdite L’endroit est particulièrement aride et désert. Nul ne peut approcher de la zone sans être aussitôt pris en chasse par un hélicoptère et des voitures de surveillance. Cependant, bien que cela puisse paraître excessif, ce type de mesures est normal autour d’un site militaire ultrasecret.
NewsOfTomorrow.org - Archives CD Pulsar | Astro2009 Un pulsar est une étoile à neutrons tournant rapidement ; c’est tout ce qui reste d’une étoile massive ayant explosé en supernova. Le pulsar émet un rayonnement radio comme le faisceau d’un phare qui balaie l’espace. A partir de ce rayonnement les astronomes tentent de déduire l’âge, la masse et les paramètres orbitaux du pulsar. Des pulsars ordinaires tournent plusieurs fois par seconde et ils ralentissent progressivement avec l’âge, devenant finalement trop faibles pour être détectés. Les pulsars milliseconde tournent beaucoup plus vite, plusieurs centaines de fois par seconde. Une telle vitesse est obtenue en aspirant la matière d’une étoile voisine, un processus qui transfère la vitesse angulaire du compagnon au pulsar. Des astronomes de l’Université de Santa Cruz en Californie ont développé une nouvelle technique pour déterminer les âges de pulsars milliseconde, ces objets dont la rotation est la plus rapide de l’Univers. Représentation artistique d’un pulsar, crédit D.
Interactive modèle 3D des planètes du système solaire et Night Sky Extrêmophile Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Beaucoup d'extrêmophiles appartiennent au taxon des Archaea ou des Bactéries, bien qu'il existe aussi des extrêmophiles eucaryotes unicellulaires et métazoaires, (insectes, crustacés, poissons…). On réserve toutefois le terme aux organismes unicellulaires. Des organismes extrêmophiles peuvent par exemple être isolés de sources chaudes sulfureuses, de cheminées hydrothermales sous-marines, de sédiments, dans les glaces de l'Antarctique ou de l'Arctique, dans des eaux saturées en sel (lac ou Mer Morte), dans des gisements pétroliers… Quelques êtres vivants, appelés polyextrémophiles, cumulent même plusieurs de ces résistances (exemple de Deinococcus radiodurans, Kineococcus radiotolerans, ou de Sulfolobus acidocaldarius). Parfaitement adaptés à ces conditions très spéciales, les extrêmophiles sont rares dans les conditions plus ordinaires. Différents types d'extrêmophiles[modifier | modifier le code] Recherche[modifier | modifier le code] 2007.
Une planète à quatre soleils découverte par des astronomes amateurs Des astronomes amateurs ont aidé à découvrir une nouvelle planète pour le moins inhabituelle. Baptisée PH1, elle orbite autour de deux soleils mais cet ensemble est encerclé par deux autres étoiles. Un système à quatre étoiles qui est le premier de ce type à être découvert. En septembre 2011, des astronomes ont annoncé avoir découvert une planète orbitant autour de deux soleils et rappelant immanquablement Tatooine, la planète imaginée par George Lucas das le film la Guerre des étoiles. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Baptisée PH1, la planète a été dénichée à quelque 5.000 années-lumière de nous et ferait à peu près six fois la taille de la Terre, soit à peu près celle de Neptune. "Planet Hunters est un projet symbiotique, qui associe le pouvoir de découverte du public au suivi d'une équipe d'astronomes. Un nouveau monde qui perturbe les astronomes Un projet particulièrement prometteur
Spitzer découvre une planète potentielle plus petite que la Terre Les astronomes de la NASA ont annoncé avoir détecté une nouvelle exoplanète potentielle grâce au télescope spatial Spitzer. Baptisée UCF-1.01, celle-ci est localisée à quelque 33 années-lumière de notre Terre, ce qui pourrait faire d'elle la planète, plus petite que la nôtre, la plus proche de notre système solaire. C'est une découverte inédite qui vient d'être réalisée à l'aide du télescope spatial Spitzer. En effet, au cours des dernières années, de nombreuses planètes orbitant autour d'autres étoiles ont été identifiées. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Si l'on en croit les premiers calculs des scientifiques, cette exoplanète potentielle, baptisée UCF-1.01, serait située à environ 33 années-lumière de nous. En effet, Stevenson et ses collègues étaient en train d'étudier une exoplanète de la taille de Neptune GJ 436b, déjà connue pour orbiter autour d'une naine rouge baptisée GJ 436, lorsqu'ils ont obtenu d'étranges résultats.
Photos - Satellite MetOp-B : dans les coulisses du décollage - Maxisciences Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Lundi, à 18H28 heure française, le satellite météo européen MetOp-B a décollé avec succès du cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan. À en croire Philippe Goudy, directeur des programmes d'observation de la Terre à l'Agence spatiale européenne (ESA), le décollage d'un satellite est toujours un moment excitant. Il fait nuit noire à Baïkonour, au Kazakhstan, lorsque MetOp-B, propulsé par une fusée Soyouz, quitte le sol pour se diriger à 28.000 km/h vers son orbite d'arrivée, entre 800 et 850 km d'altitude. Au siège allemand d'Eumetsat, l'organisation européenne qui exploite et distribue ces données satellitaires à travers le monde (dont Météo France), le vacarme assourdissant des moteurs a envahi le hall principal où partenaires et journalistes ont été conviés pour assister au décollage. Ce n'est alors qu'une heure et 1.000 tonnes de carburants brûlées plus tard que l'assistance peut enfin souffler.
Vidéo : la fusée Ariane 5 met deux nouveaux satellites en orbite Vendredi soir, la fusée Ariane 5 a décollé avec succès depuis la base de Kourou en Guyane. Retransmis en direct, le lancement visait à mettre en orbite deux satellites de télécommunications, ASTRA 2F et GSAT-10. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter C'est un nouveau succès pour Ariane 5. Le premier, construit par Astrium, est destiné à offrir des services de télévision directe au Moyen-Orient, en Afrique et en Europe, et ceci pour une durée de 15 ans. Au total, il a fallu 27 minutes et 44 secondes à Ariane 5 pour qu’elle se sépare des deux satellites de télécommunications et qu'elle les place à des orbites de 28,2° pour ASTRA 2F et 83° pour GSAT-10. Il s'agissait du 209e lancement d'une fusée Ariane.
Photos - Le plus puissant appareil photo livre ses premières images de galaxies Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Le plus puissant appareil photo du monde, installé sur une montagne du Chili vient de livrer son premier million d’images de galaxies. La grande chasse à l’énergie sombre est lancée. "Nous l'utilisons pour obtenir de meilleures dimensions de l'expansion de l'univers" poursuit le chercheur qui développe : "Nous cherchons à mesurer l'évolution de la structure de l'univers. Dans les années 1990, les images fournies par le télescope Hubble ont montré que l'expansion de l’univers, imaginée à une vitesse constante, se faisait en réalité à un rythme de plus en plus rapide.
Science & Technology: The microwave sky as seen by Planck Date: 05 July 2010 Satellite: Planck Depicts: First year all-sky survey map Copyright: ESA, HFI and LFI consortia This multi-colour all-sky image of the microwave sky has been synthesized using data spanning the full frequency range of Planck, which covers the electromagnetic spectrum from 30 to 857 GHz. The grainy structure of the CMB, with its tiny temperature fluctuations reflecting the primordial density variations from which the cosmic web originated, is clearly visible in the high-latitude regions of the map, where the foreground contribution is not predominant. A vast portion of the sky, extending well above and below the galactic plane, is dominated by the diffuse emission from gas and dust in the Milky Way, which shines brightly at Planck's frequencies. This image is derived from data collected by Planck during its first all-sky survey, and covers about 12 months of observations.
75% des étoiles auraient une compagne Une étude vient de prouver que les trois quarts des étoiles de grandes masses auraient une étoile plus petite à proximité et interagiraient avec elle de manière violente. Cela aurait des conséquences sur notre vision de l'espace et notamment sur la formation des galaxies. Parue ce 27 juillet 2012 dans la revue Science, une étude vient de montrer que la plupart des étoiles de grandes masses très brillantes ne vivent pas seules. Ces astres qui conditionnent l'évolution des galaxies auraient en effet une "compagne", plus petite, à proximité. Or, quasiment les trois quarts de ces grosses étoiles auraient une partenaire de vie, soit bien plus que ce que les scientifiques croyaient jusque là. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter La majorité de ces binômes connaîtraient alors des interactions les perturbant, notamment des transferts de masse d'une étoile à l'autre. "La vie d'une étoile est fortement affectée s'il y a une autre étoile dans son voisinage"
Un mystérieux rayonnement cosmique gravé dans les cernes d'arbres Publiant leurs travaux le 3 juin dans Nature, des chercheurs nippons ont découvert, dans les anneaux de croissance d’arbres centenaires, un taux de carbone 14 qui ne peut qu’avoir été consécutif à un rayonnement cosmique intense survenu en 774 ou en 775 après J.-C., et dont l’origine et la nature restent inconnues. L’équipe de Fusa Miyake, de l'Université de Nagoya, au Japon, a analysé la composition isotopique de deux cèdres du Japon centenaires et trouvé, dans les anneaux de croissance correspondant aux années 774 et 775, un taux de carbone 14 supérieur d’environ 1,2 % à la normale, qui ne peut s’expliquer, selon eux, que par un mystérieux événement cosmique, ayant eu sur ces arbres un effet 20 fois supérieur à celui des pics normaux de l’activité solaire. Ces données confirment celles recueillies antérieurement sur des arbres d’Europe et d’Amérique du Nord, qui montraient une hausse du taux de carbone 14 d'environ 7,2 % entre l’an 775 et l’an 785 de notre ère.
Découvrez la fantastique nébuleuse du Casque de Thor La beauté de notre galaxie ne cessera jamais de nous impressionner. Aujourd’hui DGS vous propose de découvrir une image inédite de la nébuleuse du Casque de Thor publiée par l’Observatoire Européen Austral. Pour leur 50ème anniversaire, l’Observatoire Européen Austral a publié une superbe image inédite de la nébuleuse du Casque de Thor. Ce nuage moléculaire est appellé ainsi car, ses parties les plus lumineuses ont une forme qui ressemble à un casque qui détient deux cornes. Une beauté de la galaxie à couper le souffle et qui se trouve pourtant à 15 000 années lumières, en direction de la constellation du Grand Chien. Impressionnés par la nébuleuse du Casque de Thor ?