De l'uranium dans la mer, le nouvel eldorado de l'industrie nucléaire? C’est une bonne nouvelle pour l’industrie nucléaire, peut-être pas pour les écosystèmes marins: des scientifiques, réunis à Philadelphie aux Etats-Unis, ont annoncé que l’extraction de l’uranium contenu dans l’eau des mers pourrait bientôt devenir une réalité. Selon les membres de l’American chemical society, les océans recèleraient au moins quatre milliards de tonnes d’uranium. «Il y a beaucoup plus d’uranium dilué dans l’eau de mer que dans tous les gisements terrestres connus», estime le Dr Robin Rogers, de l’université d’Alabama. «Ce qui rendait son extraction très chère était sa très faible concentration, mais nous progressons.» Jusqu’à présent, la seule manière d’extraire l’uranium de l’eau était une technique japonaise consistant à filtrer l’eau de mer dans des nasses. Celles-ci sont placées à environ 200m sous la mer, sur une longueur de 100m au plus. Un «soutien» à l’industrie nucléaire Audrey Chauvet
Minuit Moins Une - Le blog de la crise qui arrive Une pétition de combat Accueil du site | Actions diverses | Actions | pétitions Maladies induites par produits nocifs tous azimuts Expos, remises de prix, concerts, festivals, films... Conférences, débats, colloques, animations, lectures, salons, séminaires... Ces « élites et experts » qui nous veulent du mal... Contact Inscription Lettre d'information Connexion Espace privé Dernière mise à jour : mercredi 25 mai 2011 Statistiques éditoriales : 14690 Articles 138 Brèves 26 Sites Web 1107 Auteurs Statistiques des visites : 1011 aujourd'hui 2697 hier 2384146 depuis le début DSK : La faute de qui ? " Le vaccin de Sanofi contre la grippe A/H1N1 sera disponible à partire de fin novembre ", précisait ce lundi 21 septmenbre le directeur général du laboratoire pharmaceutique Chris Viehbacher. " Nos données cliniques (sur le vaccin) seront prêtes à la mi-octobre : nous soumettrons deux dossiers, l’un pour un vaccin avec adjuvant et un autre sans adjuvant. Grippe A : Le vaccin de Sanofi sera disponible fin novembre
game over by 6evilsonic6 d6confk Échelle internationale des événements nucléaires Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir INES. L'échelle internationale de classement des événements nucléaires ou échelle internationale de classement des incidents et accidents nucléaires[1] (INES, de l'anglais International Nuclear Event Scale) sert à mesurer la gravité d'un événement nucléaire civil (incident nucléaire: niveaux 1 à 3, ou accident nucléaire: niveaux 4 à 7). Cette échelle compte huit niveaux de gravité notés de 0 à 7. Élaborée en 1990 et mise en application au niveau international en 1991, et en France en 1994, l’INES est maintenant appliquée par une cinquantaine de pays[3]. INES est un outil de communication. Définition des niveaux de gravité[modifier | modifier le code] Les événements de niveaux 1 à 3, sans conséquence significative sur les populations et l'environnement, sont qualifiés d'incidents, ceux des niveaux supérieurs (4 à 7), d'accidents. Exemples de niveau de gravité[modifier | modifier le code]
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Sarkozy sous surveillance Pic pétrolier : l’AIE connaît les faits depuis 1998, par Colin Campbell La révélation par le Guardian des dissensions croissantes que provoquent à l’intérieur de l’agence la surévaluation des réserves pétrolières et la dissimulation de la proximité du pic pétrolier a retenu l’attention d’un lecteur très informé, en la personne de Colin Campbell, un expert du secteur, qui fût avec le français Jean Laherrère, l’un des premiers à prendre conscience de la réalité du pic. Dans une adresse au Guardian, Campbell retrace les étapes des travaux qui l’ont amené à ses conclusions, et il indique que dès 1998, il avait été contacté par une équipe de l’AIE et leur avait communiqué les données issues de l’industrie pétrolière dont il disposait, bien plus fiables que les chiffres publiés par les gouvernements. Cette même année, l’AIE mentionnait dans son rapport annuel une source d’approvisionnement nommée de manière fort sibylline pétrole « non conventionnel, non identifié », représentant pas moins de 20% de la consommation mondiale en 2020. Cher Monsieur,