L’usage des réseaux sociaux : comment gérer et maîtriser son image sur la toile ? Comment construire son identité Numérique Identité numérique et e-reputation ? Les deux termes "Identité numérique" et "e-reputation" sont très très utilisés aujourd'hui, pas toujours avec justesse...Pour préciser ces termes, je vais résumer ici deux articles d'une exceptionnelle clarté que j'ai trouvé sur buschini.com , le blog de Philippe Buschini. Avertissement : les phrases de cet article de mon blog sont donc presque toutes extraites du blog de P. Buschini, les images viennent aussi de son blog. J'espère que vous irez lire son blog si le sujet vous intéresse. Identité numérique Comme son homologue « traditionnelle », l’identité numérique est, elle aussi, plurielle, active et changeante. Autre carte mentale de l'identité numérique (blog Netice) : L’identité numérique se nourrit des traces laissées sur Internet. E-reputation (ou ereputation) La réputation dans son sens classique désigne l’honorabilité morale, la célébrité d’une personne en raison de sa valeur. Nos traces sur Internet nous construisent aussi une réputation : notre e-reputation.
Pourquoi maitriser la première page de Google sur son nom et prénom ? Le petit lol du vendredi… Un ami d’ami m’a récemment contacté pour me demander comment régler son problème d’image. En effet, lorsque l’on tape son nom + prénom sur Google, voila ce que l’on trouve : I lol’d En pleine recherche de stage, le premier résultat « je pète, je rote et je me gratte les couilles » est pour le moins un peu déstabilisant. Je pensais le chiffre plus élevé, mais il s’avère que seulement , selon une enquête d’ Eurocom Worldwide (Avril 2011) surement moins pour un stagiaire, mais tout de même. Maitriser la première page de Google sur son nom et prénom, c’est maitriser son identité sur le web ! Pour la petite histoire du , je lui ai conseillé de retourner sur ce groupe de supprimer tous ses commentaires. Vu que notre ami d’ami n’avait pas pris le temps de lire (article de l’année dernière) j’en profite un peu en mettant en avant ses déboires… (on notera ici l’invalidité totale de cet argument). Mais revenons au sujet : - Être en amont de l’attaque en cas d’ . Et donc :
Vers une définition théorique de l’e-réputation L’e-réputation est une notion complexe et multiple, pour l’instant principalement abordée par la littérature professionnelle. Lors du congrès 2012 de la SFSIC, Julien Pierre et moi-même avons tenté une approche plus « scientifique » (plutôt épistémologique en fait) et surtout info-communicationnelle de cette notion. Voici donc quelques réflexions pour définir ce concept. Ou plutôt « vers trois définitions », mettant en avant les aspects info-communicationnels liés à ce concept : une de la réputation, une intermédiaire de l’e-réputation (aspect communication) et une dernière regroupant les aspects nous semblant incontournables… Pour remettre en contexte notre approche, il faut souligner que : ==> Julien prépare actuellement une thèse sur la vie privée en ligne (identité numérique, et tout ce qui l’accompagne), et moi sur l’e-réputation des organisations (d’où la suite logique : définir une notion que nous emploierons fortement) Bonne lecture (et quelques explications ci-dessous)! Au final…
La mauvaise e-réputation - Nouvelles technos Frasques de jeunesse, histoires sentimentales ou fautes professionnelles : tout circule sur Internet, et rien ne se jette. Dès lors, comment faire pour ne pas rester marqué à vie quand son image est ternie ? Enquête, alors qu'arrive sur les écrans “The Social Network”, le film de David Fincher sur Facebook. Elle est brune, classe et lasse. Dans un café parisien, elle raconte, sous couvert d'anonymat, ce qui lui pourrit la vie depuis huit ans : un blog ! Sophie n'est pas un cas. “Les fâcheries, qui se réglaient autrefois dans la cour devant trois témoins, se concluent sur Facebook à la vue de tous.” On applaudit la société numérique, extraordinaire aiguillon démocratique. Les ados, accros aux réseaux sociaux, sont particulièrement touchés : « Les fâcheries, qui se réglaient autrefois dans la cour devant trois témoins, se concluent sur Facebook à la vue de tous », témoigne Hélène Walker, directrice des études d'un collège parisien. Mais la contestation monte. Bientôt une charte ?
E-réputation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : e-réputation, sur le Wiktionnaire L'e-réputation, parfois appelée web-réputation, cyber-réputation, réputation numérique, sur le Web, sur Internet ou en ligne, est la réputation, l’opinion commune (informations, avis, échanges, commentaires, rumeurs…) sur le Web d'une entité (marque, personne, morale (entreprise) ou physique (particulier), réelle (représentée par un nom ou un pseudonyme) ou imaginaire). Historique[modifier | modifier le code] Le terme e-réputation est apparu en 2000 dans l'une des nombreuses études suisses-allemandes et américaines consacrées aux relations entre réputation du vendeur et performances des ventes sur les sites d'enchères en ligne[1]. Progressivement, on voit donc apparaître des outils de gestion de l’e-réputation : eBay imagine le concept de la réputation du vendeur en demandant à l’acheteur de le « noter ». Principaux vecteurs de l'e-réputation[modifier | modifier le code]
Comment gérer et protéger ma réputation sur Internet ? Donc il y a quelques semaines à peine, notre chère Hélène nous faisait une brillante introduction sur l’ E-réputation E-reputation, Personal Branding, Cyber-intrusion, Réputation online …, mais concrètement comment je fais pour gérer ma réputation en ligne ? Je vais tenter de répondre à cette problématique de manière plus approfondie. 1)Se protéger de soi même. La première règle est de prendre conscience qu’en voulant exister sur Internet et sur les réseaux sociaux, on n’existe plus seulement à son échelle mais à l’échelle d’Internet (à l’échelle mondiale). Prenons l’exemple du commercial de base (on ne va pas donner de nom pour éviter de ternir un peu plus sa e-reputation )qui tente l’expérience de la plateforme de microblogging : Twitter. – Super stylé, je raconte au jour le jour mes aventures sur Twitter : » Demain j’ai un voyage d’affaires au Canada, c’est trop stylé » , » Oh mais le Canada en fait c’est tout pourri » , « Ah mais dans quel trou perdu j’ai atterri ? D’accord, mais pour :
Qu’est-ce que l’identité numérique ? Je ne suis pas le premier à tenter de vulgariser le concept d’identité numérique, Leafar (Raphaël pour les intimes) a ainsi déjà proposé une représentation de l’identité numérique (voir son billet : U.lik unleash Identity 0.2), j’avais également déjà abordé la question dans un précédent billet. Je souhaite avec cet article compléter cette vision et y apporter ma touche personnelle. Les utilisateurs au coeur du web 2.0 Avec la prolifération des blogs et wikis, la multiplication des réseaux sociaux et l’explosion du trafic sur les plateformes d’échanges, les contenus générés par les utilisateurs prennent une place toujours plus importante dans notre consommation quotidienne de l’internet. De la volatilité de l’identité numérique L’identité numérique d’un individu est composée de données formelles (coordonnées, certificats…) et informelles (commentaires, notes, billets, photos…). Les différentes facettes de l’identité numérique
Identité numérique : 6 étapes pour obtenir votre passeport sur le web Votre notoriété sur internet ne s’améliore pas vraiment ? Plateformes sociales, blog… vous avez mis en place le dispositif de base, mais votre communauté ne s’engage pas ! Vous devriez peut-être revoir votre identité numérique ! La présence sur internet tient d’une véritable stratégie pour « booster » sa e-réputation. Comme votre identité réelle, elle doit être normée, accessible et surtout présenter les éléments essentiels qui vous caractérisent. Aujourd’hui 15 % du temps passé sur internet est dédié aux réseaux sociaux (source comscore), il est donc devenu indispensable de se différentier avec une identité numérique forte. Les éléments qui composent l’identité numérique L’identité numérique d’un individu est composée de données formelles (coordonnées, certificats…) et informelles (commentaires, notes, billets, photos…). Ces petits bouts d’identité fonctionnent comme des gènes : ils composent l’ADN numérique d’un individu. Une bonne identité numérique permet de : 1. Les Objectifs : 2. 3.
Personal Branding : on solde J’ai toujours été contre la position du personal branding d’une part car elle est dangereuse pour l’individu d’autre part car elle relève de l’escroquerie pure et simple bien souvent. Ceux qui y adhèrent sont surtout des consultants qui font du personal branding une démarche commerciale pour faire vivre leur entreprise. Evidemment, les critiques existent déjà. La position du blog personal branling est une excellente réponse à cette situation car nous sommes tous aux frontières du culte de l’égo. Mais je crois qu’hélas, ça ne suffit pas tant cette mode prend de l’essor en grande partie parce que cela repose sur des discours assez simplistes et aussi car le web facilite grandement cet état de fait avec la prédominance de plus en plus grande de la popularité sur l’autorité qui ne cesse de s’accroitre depuis l’avènement du web 2.0. Je rejoints donc assez fortement Olivier Blanchard dans son article de blog aux résonances funèbres pour un concept nauséabond et bidon.
Identité numérique : de l’anonymat au personal branding Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Communiquer sur les médias sociaux c’est parler de moi Animer ses médias sociaux c’est avant tout répondre aux attentes de son public. Sept cas d'usage des outils d'e-réputation 01net le 30/04/12 à 15h35 Les logiciels d’e-réputation se multiplient à la vitesse grand V sur le marché. Globalement, tous servent le même dessein : mesurer l’image dans le temps – véhiculée dans la presse, sur le web, sur les forums et, de plus en plus, sur les réseaux sociaux – d’une entreprise, d’un produit ou d’une personne. 1) Détecter les leaders d’opinion L’analyse des commentaires des consommateurs est sûrement le volet de l’e-réputation le plus connu. Pour autant, « la plupart des projets d’e-réputation visant à cerner le comportement et les avis des consommateurs restent encore séparés du monde de la relation client. 2) Mesurer la tendance d’un écosystème Historiquement, les entreprises recourent aux études de marché pour déceler les goûts des consommateurs. Thermomètre qui peut également être un plus pour tester la réaction de l’opinion publique face, par exemple, à un projet d’implantation d’une usine ou d’un magasin. 3) Maîtriser l’image de l’employeur 4) Anticiper et alerter