Dharma
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dharmacakra, la roue de la loi, symbole du Dharma apparu dans le monde, lorsqu'un Bouddha médite. (statue thaïlandaise moderne) Dharma, (transcription depuis le sanskrit: धर्म), ou dhamma (depuis le pali: धम्म), est un terme polymorphe et important dans les philosophies et religions indiennes. ferme, établi ;loi naturelle ou juridique, coutume, devoir, droit, justice ;substance, essence, caractéristique, vérité, réalité ;vertu, religion, enseignement, doctrine ;phénomène, fait de conscience et même atome. Dans le monde chinois et d'influence chinoise, l'idéogramme de dharma est 法, prononcé fǎ en mandarin et hō en japonais. De façon générale, dharma désigne donc l'ensemble des normes et lois, sociales, politiques, familiales, personnelles, ou naturelles. Hindouisme[modifier | modifier le code] Outre le devoir en fonction des castes, le dharma fixe également les missions propres à chacun des quatre âges de la vie. Éléments de vocabulaire pali
Scenarios 2020
Zen
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La calligraphie de l'Enso (jap., Cercle) symbolise dans le bouddhisme zen la vacuité, ou la pratique et l'éveil qui sans cesse se renouvellent (dokan, anneau de la Voie). Le zen est une branche de bouddhisme mahāyāna qui insiste sur la méditation (dhyāna) à partir de la posture assise dite de zazen. Origines[modifier | modifier le code] La légende de l'origine de la tradition zen et de la lignée de ses maîtres remonte à un sermon du Bouddha Shākyamuni à ses disciples alors qu'ils étaient réunis sur le pic des vautours, relaté dans le Sūtra Lankavatara. Liste des patriarches du zen[modifier | modifier le code] Liste rapportée par la tradition des vingt-huit patriarches de l’école avant son arrivée en Chine et liste des sept premiers patriarches du chan chinois : De l'Inde à la Chine[modifier | modifier le code] Une représentation de Bodhidharma Le chan en Chine[modifier | modifier le code] De la Chine à la Corée[modifier | modifier le code]
Ganesh
Dans l’hindouisme, Ganesh, (IAST : Gaṇeśa), Vinâyaka, Gaṇapati (« le chef [Pati] des troupes de divinités [Ganas] » ou mieux « le seigneur des catégories ») ou Pillayar dans le sud de l’Inde est le dieu qui supprime les obstacles[1]. Il est aussi le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de l’éducation et de la prudence, le patron des écoles et des travailleurs du savoir. Reconnaissable à sa tête d'éléphant, il est sans doute le dieu le plus vénéré en Inde, et son aura touche tout le sous-continent indien et l'Asie en général. Il est le fils de Shiva et Pârvatî, l’époux de Siddhi (le Succès), Buddhi (l'Intellect) et Riddhî (la Richesse). Représentation ou mûrti[modifier | modifier le code] Les attributs les plus fréquents de Ganesh sont : Dans le sud de l’Inde et au Sri Lanka, Ganesh tient parfois un fruit dans sa main, une mangue ou un citron. Ganesh est le plus souvent assis, sur un trône de lotus, une jambe repliée, l'autre jambe pendante, dans une posture décontractée.
Coran
Le Coran est parfois appelé al-kitāb (« le Livre »), adh-dhikr (« le Rappel ») ou encore al-furqān (« le Discernement »). Pour les musulmans sunnites, il est l'expression d'un attribut incréé de Dieu adressé à toute l'humanité. Étymologie Qurʾān est le terme le plus utilisé par le Coran pour se désigner lui-même. Le mot arabe قُرْآن, qurʾān, dérive, pour la tradition musulmane, du verbe َقَرَأ, qaraʾa, qui signifie « lire, réciter »[7]. Pour A. Description Les versets sont au nombre de 6 236[13] pour le hafs (lecture orientale) et le warch (lecture occidentale). Ordre des sourates Selon la tradition musulmane, à la suite de la mort de Mahomet, c'est sous le calife Othman que le texte a été fixé et qu'il est devenu la version officielle du Coran entre 644 et 656 de l'ère chrétienne. Certains des manuscrits de Sanaa montrent des ordonnancements de sourates différents de la version de Othman. Chronologie de la rédaction Vision musulmane traditionnelle Recherche historique Contenu et thématiques M.
Saṃsāra
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Peinture tibétaine traditionnelle ou tanka montrant la roue de vie et les rayons de la saṃsāra Le saṃsāra (संसार terme sanskrit signifiant « ensemble de ce qui circule », d'où « transmigration » ; en tibétain khor ba, ou Khorwa འཁོར་བ། ) signifie « transition » mais aussi « transmigration », « courant des renaissances successives »[1]. D'une manière moins juste mais plus simple, le saṃsāra est donc le cycle des vies, de renaissance en renaissance. Le saṃsāra dans l'hindouisme[modifier | modifier le code] Dans l'hindouisme, saṃsāra signifie : Le saṃsāra dans le bouddhisme[modifier | modifier le code] Le saṃsāra est le cycle de renaissance et de souffrance dans lequel sont pris les êtres non éveillés. Le saṃsāra peut aussi être interprété dans un sens moral : Voir Loka.
La yourte des Château
acces rapide a la navigation principale acces rapide a la navigation secondaire acces rapide au contenu acces rapide au contenu de droite acces rapide au footer Recevez la lettre d'information retour en haut de page retour en haut de page retour en haut de page Les Pieds sur terre│11-12 par Sonia Kronlund Le site de l'émission du lundi au vendredi de 13h30 à 14h 28 minutes La yourte des Château 18 Après trois ans de vie en yourtes sur un terrain dans le Vaucluse, la famille Château est expulsée et doit déplacer son exploitation agricole. Reportage : Olivier Minot Réalisation : Alexandra Malka Chanson de fin : Titre : "Skylarking" - par Andy Horace - Album : "Skylarking" (Label : Melankolic). Thème(s) : Information| Conflit 18 commentaires Charles29.05.2012 Les voix de cette belle petite famille m'ont beaucoup ému, et puis les chiens qui gardent les chèvres voire les chèvres qui gardent les chiens ça me plaît bien. sandor horvath22.05.2012 Ah, Cavaillon, mon cousin y vit, et même largement... imprimer
Le Veritable Dragon Rouge
Hindouisme
Lors des cérémonies religieuses hindoues (les pujas), des fleurs et des fruits sont offerts. L'hindouisme, parfois écrit indouisme (en hindi : हिन्दू धर्म, hindu dharm ; en tamoul : இந்து சமயம் ; « religion hindoue »), ou sanatana dharma[1] (en sanskrit : सनातनधर्म, sanātanadharma : « loi éternelle »)[2], est l'une des plus anciennes religions du monde encore pratiquées[note 1] qui n'a ni fondateur, ni dogme imposé, ni institution cléricale organisée uniformément (les brahmanes peuvent être de différentes écoles)[3],[4]. En 2015, le nombre de fidèles est estimé à 1,1 milliard[5],[6] dans 85 pays[7], c'est actuellement la troisième religion la plus pratiquée dans le monde après le christianisme et l'islam. Elle est issue du sous-continent indien[note 2] qui reste son principal foyer de peuplement. Le terme persan hindu (du sanskrit Sindhu) désignait au départ, pour les musulmans qui pénétrèrent en Inde, les habitants du bassin de l'Indus[7]. Répartition de l'hindouisme dans le monde
Bible
Bible de Gutenberg, ouvrage imprimée en 1455, Latin vulgate, conservée à la New York Public Library. La Bible est un ouvrage composé de textes sacrés pour les juifs et les chrétiens, et saints pour les musulmans. Les diverses confessions peuvent inclure des livres différents dans leurs canons, dans un ordre différent. Les textes eux-mêmes ne sont pas toujours identiques d'une religion à l'autre. La Bible rassemble une collection d’écrits très variés et fragmentaires (récits des origines, textes législatifs, récits historiques, textes sapientiaux, prophétiques, poétiques, hagiographies, épîtres) dont la rédaction s’est échelonnée entre le VIIIe et IIe siècles av. La Bible hébraïque se nomme en hébreu TaNaKh (תנ״ך), un acronyme formé à partir des titres de ses trois parties constitutives : la Torah (la Loi), les Nevi'im (les Prophètes) et les Ketouvim (les Écrits). La Bible a été traduite dans de très nombreuses langues et à plusieurs reprises. Étymologie[modifier | modifier le code]