Notre besoin de consolation est impossible à rassasier
Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureux, car un homme qui risque de craindre que sa vie soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut être heureux. Je n’ai reçu en héritage ni dieu, ni point fixe sur la terre d’où je puisse attirer l’attention d’un dieu : on ne m’a pas non plus légué la fureur bien déguisée du sceptique, les ruses de Sioux du rationaliste ou la candeur ardente de l’athée. Je n’ose donc jeter la pierre ni à celle qui croit en des choses qui ne m’inspirent que le doute, ni à celui qui cultive son doute comme si celui-ci n’était pas, lui aussi, entouré de ténèbres. Cette pierre m’atteindrait moi-même car je suis bien certain d’une chose : le besoin de consolation que connaît l’être humain est impossible à rassasier. En ce qui me concerne, je traque la consolation comme le chasseur traque le gibier. Qu’ai-je alors entre mes bras ? Puisque je suis solitaire : une femme aimée ou un compagnon de voyage malheureux. Le fil du rasoir est bien étroit.
Cassandra
1. Classici Nel suo saggio del 1981 intitolato «Perché leggere i classici», Italo Calvino dà alcune definizioni di cosa si intende per "classico". Definizioni non perentorie, fisse o dogmatiche, ma al contrario estremamente dialogizzate, poiché lo scrittore le approccia, per così dire, gradualmente. I classici sono libri che esercitano un'influenza particolare sia quando s'impongono come indimenticabili, sia quando si nascondono nelle pieghe della memoria mimetizzandosi da inconscio collettivo o individuale (Calvino 1991: 13) Per Calvino non esiste una demarcazione di principio o di tipo storicistico tra ciò che è "classico" e ciò che non lo è: non è necessario, perché sia classico, che un libro sia "antico". Scrive ancora Calvino (definizione 4): D'un classico ogni rilettura è una lettura di scoperta come la prima (ibid.). Un classico si caratterizza dunque per essere un libro di cui, ogni volta che lo si rilegge, si scoprono nuove cose. E prosegue con la definizione 7: Cassandra. 2.
'The Fifth Child' by Doris Lessing - Reading Matters
Fiction - paperback; Flamingo; 160 pages; 2001. Doris Lessing is one of those authors you know you ought to read but never do. A case in point: I've had both The Golden Notebook and The Good Terrorist in my possession for more than three years and never once cracked them open. The sheer size of the books and the weight of the subjects contained within, combined with Lessing's awesome literary reputation, have made me doubt my ability to understand and enjoy her work. That was until I read John Self's review of The Fifth Child followed in due course by another review of the same book by Isabel from Books and Other Stuff. And so this is how I came to read my first Doris Lessing last week. The Fifth Child is billed as a horror story but it's not from the Stephen King school of horror -- it's slightly more subtle but oodles more menacing because of it. It's about two people -- David and Harriet -- who meet at an office party in the 1960s and get married shortly after.
Muriel Spark - The Official Website
"Muriel Spark: The Biography": A fearless novelist, betrayed - Biography
At age forty-three, the witty, exacting, and wholly original Muriel Spark became known to American readers when The New Yorker devoted an entire issue to her sixth and most celebrated novel,“The Prime of Miss Jean Brodie”. Brodie, a magnetic and domineering schoolteacher, selects a group of girls to mold into the “crème de la crème” — young women made in her image who will recognize their prime when it arrives and know how to exploit it. Propping up their history textbooks for appearances as she recounts a pre-war love affair, trailing after her through strange neighborhoods on the way to plays and picnics, Miss Brodie’s chosen pupils idolize her — until the danger of her manipulations becomes clear. Martin Stannard’s sprawling, respectful, frequently overwritten new life, “Muriel Spark: The Biography,” underscores just how much the existence of Spark’s novels — some of the finest and funniest of the last century — owes to happenstance. Spark raged.
Entrez chez Victor Hugo Rencontre avec un Géant de la littérature (Home Page) sur Web TV Culture
S’il est un auteur classique français connu dans le monde entier, c’est bien Victor Hugo. Sur tous les continents, Victor Hugo représente la littérature française. Si ses œuvres sont étudiées dans toutes les langues, n’oublions pas que le cinéma et le music-hall ont aussi beaucoup fait pour sa renommée contemporaine. Victor Hugo est un personnage à multiples facettes, dont la vie publique et la vie privée sont étroitement ... Entrez chez Victor Hugo Rencontre avec un Géant de la littérature - Présentation - Suite Maison Victor Hugo 6, place des Vosges 75004 Paris tél: 01-42-72-10-16 ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h fermé les lundis & jours fériés www.musee-hugo.paris.fr Entrez chez Victor Hugo Rencontre avec un Géant de la littérature - Informations complémentaires - Suite
Related:
Related:
Je soulève donc de mes épaules le fardeau du temps et, par la même occasion, celui des performances que l’on exige de moi. Ma vie n’est pas quelque chose que l’on doive mesurer. Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. Une vie humaine n’est pas non plus une performance, mais quelque chose qui grandit et cherche à atteindre la perfection. Et ce qui est parfait n’accomplit pas de performance : ce qui est parfait œuvre en état de repos. Il est absurde de prétendre que la mer soit faite pour porter des armadas et des dauphins. Certes, elle le fait – mais en conservant sa liberté. Il est également absurde de prétendre que l’homme soit fait pour autre chose que pour vivre. Certes, il approvisionne des machines et il écrit des livres, mais il pourrait tout aussi bien faire autre chose. L’important est qu’il fasse ce qu’il fait en toute liberté et en pleine conscience de ce que, comme tout autre détail de la création, il est une fin en soi. [Stig Dagerman] by nicoxbus Jun 8