Edwidge Danticat : Voices From the Gaps : University of Minnesota Home > Artist Pages : Edwidge Danticat When you write, it's like braiding your hair. Taking a handful of coarse unruly strands and attempting to bring them to unity . . . Some of the braids are long, others are short. Some are thick, others are thin. Biography / Criticism Edwidge Danticat has been writing ever since she was a small girl of nine. Danticat was born in Port-au-Prince, Haiti, in 1969. At the age of twelve, Danticat joined her parents in Brooklyn. When Edwidge Danticat received a BA in French literature from Barnard College, she fulfilled her parents' desire that she be successful in spite of, or because, she is an immigrant. In 1995, Krik? Selected Bibliography Works by the Author Works about the Author "Haitian-American Author Writes Stories of Homeland. " All Things Considered. Works in Languages other than English French La récolte douce des larmes: roman. Hebrew Neshimah, `enayim, zikaron. Spanish Cosecha de Huesos. Related Links Review of Krik? Contributors
Flatland & 6 / Éditions Zones sensibles / Lancement et rencontre | Le Monte-en-l'air / Librairie-galerie Vendredi 25 janvier à 18h30, rencontre autour des éditions Zones sensibles. Peut-être avez-vous déjà croisé les élégantes éditions belges Zones sensibles, avec entre autres choses, la sobriété de la couverture blanche d’Une brève histoire des lignes, le cri cartographique munchien de Yucca Mountain, et puis la couverture noire en 3D de Flatland ? A l’occasion de la publication de leur cinquième livre, "6", les éditions Zones sensibles nous font le grand honneur de descendre de Bruxelles pour une rencontre avec son directeur, Alexandre Laumonier, en compagnie de Philippe Blanchard, traducteur de "Flatland" et de Bernard Hoepffner, traducteur. Il y sera question de Flatland d’Edwin A. Pour écouter la rencontre avec Alexandre Laumonier c’est ici. Flatland de Edwin A. C’est avec une courte préface de Ray Bradbury que s’ouvre cette nouvelle édition d’un livre mythique : Flatland. "6" Traduit à partir de 0 et de 1 par Ervin Karp. Six de Sniper aux éditions Zones sensibles J'aime :
Monkeybicycle: Literary Goodness Pour bien finir 2012 : le tout premier roman de James Lee Burke | Le Pop Corner Avant d’inaugurer 2013 avec la rentrée littéraire, quelques dernières pépites de 2012. Encore quelques gorgées de lyrisme épais et chatoyant comme un bon vieux whisky. Quelques lignes d’humanisme noir et poétique. Oui, parlons de James Lee Burke, une nouvelle fois. Au printemps, il y avait eu « Swan Peak », pour moi le meilleur des derniers romans de l’auteur. En exergue, il y a cette phrase du poète américain Edward Achington Robinson, qui donne son titre au livre : Dieu lui-même se tue en chaque feuille qui vole, et mieux vaut l’enfer que la moitié du paradis Une épigraphe qui donne son titre et le ton au livre qui va suivre. « La Moitié du paradis » se déroule évidemment en Louisiane, lieu de prédilection géographique et poétique de James Lee Burke jusqu’à une date récente. Trois jeunes gens vont s’y croiser : Nous sommes ici au début des années 1960. Humaniste, naturaliste, noir : trois couleurs de Burke. Lire et relire James Lee Burke est de ces expériences qui requinquent.
About Us | Elohi Gadugi Journal Elohi Gadugi Journal is a new literary journal, published in seasonal online editions, to be followed by an annual print edition in the Fall. We debut on July 1, 2012, and our first annual print magazine will be released in the autumn of 2013. Elohi Gadugi Journal is a project of Elohi Gadugi, and The Habit of Rainy Nights Press. We are an Oregon nonprofit. The mission of Elohi Gadugi is: to provide venues for the work of struggling writers and artists who use language as a primary aspect of their art;to promote narratives of social and environmental responsibility, and intercultural understanding; andto support the works by or about indigenous Americans, and other marginalized groups in the contemporary literary world. We encourage work that speaks to the important issues of our time in a literary and artful way.
Duotrope 195 écrivains demandent la libération de leurs confrères chinois - 6 mai 2013 La Journée internationale de la liberté de la presse tombe le 3 mai (après tout pourquoi pas, il existe bien une journée de la chips). 195 écrivains en ont profité pour écrire une lettre. On trouve du beau monde parmi ses signataires: des lauréats du Nobel comme J.M. Coetzee, Nadine Gordimer, Wole Soyinka, Tomas Tranströmer et Mario Vargas Llosa, mais aussi Salman Rushdie, Marjane Satrapi, Andrei Bitov ou en encore Yu Jie, écrivain chinois en exil qui a subi pas mal de tortures dans les geôles de son pays. Ils y rappellent que si la Chine peut légitimement s'enorgueillir d'avoir depuis l'automne dernier un Prix Nobel de littérature nommé Mo Yan, elle pourrait se soucier un peu du sort qu'elle réserve, par exemple, à Liu Xiaobo, lauréat du Prix Nobel de la Paix en 2010, qui croupit en détention depuis décembre 2008. En s'appuyant sur un rapport du PEN international, la lettre demande en effet la libération d'une quarantaine d'écrivains et journalistes emprisonnés par le régime de Pékin:
ZONES Pourtant, si aujourd’hui on reproche volontiers aux statistiques leur connivence avec le pouvoir et la sanction, l’histoire de leurs liens avec la réforme sociale et l’émancipation est tout aussi longue et riche. Les statistiques ont aussi, par le passé, montré qu’une autre réalité était possible ou ont rendu d’autres possibilités réelles. C’est pourquoi nous ne réagissons pas comme ceux qui les rejettent en bloc et crient « Non à la quantophrénie ! Le statactivisme a un sens élargi et un sens restreint. Pour faire face à cette gouvernementalité qui s’infiltre dans de très nombreux mondes habituellement cloisonnés, le statactivisme permet de dépasser les frontières instituées. Si le statactivisme consiste à mettre les statistiques au service de l’émancipation, on peut distinguer quatre grandes manières de faire. 1. L’histoire du lien entre statistique et émancipation sociale est ancienne. 2.
Luna Park Le Journal de Kafka | nouvelle traduction par Laurent Margantin