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Every Writer

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Edwidge Danticat : Voices From the Gaps : University of Minnesota Home > Artist Pages : Edwidge Danticat When you write, it's like braiding your hair. Taking a handful of coarse unruly strands and attempting to bring them to unity . . . Some of the braids are long, others are short. Some are thick, others are thin. Biography / Criticism Edwidge Danticat has been writing ever since she was a small girl of nine. Danticat was born in Port-au-Prince, Haiti, in 1969. At the age of twelve, Danticat joined her parents in Brooklyn. When Edwidge Danticat received a BA in French literature from Barnard College, she fulfilled her parents' desire that she be successful in spite of, or because, she is an immigrant. In 1995, Krik? Selected Bibliography Works by the Author Works about the Author "Haitian-American Author Writes Stories of Homeland. " All Things Considered. Works in Languages other than English French La récolte douce des larmes: roman. Hebrew Neshimah, `enayim, zikaron. Spanish Cosecha de Huesos. Related Links Review of Krik? Contributors

Zulma Carraud - Zulma CARRAUD amie de BALZAC Les 10 livres A Nohant-en-Graçay, entre 1852 et 1868, Zulma Carraud devient bénévolement médecin de campagne et maîtresse d’école par goût d’aider les autres, ce qui l’amène à l’écriture. Elle rédige des lettres destinées aux enfants, les premières datent de 1849. Elle écrit pour les enfants d’école primaire "pour leur donner de bonnes idées pratiques et un vocabulaire adapté" , rassemblés dans des livres "convenables". En 1852, un ami de Zulma, séduit par son premier ouvrage La petite Jeanne ou le devoir le propose à l’éditeur Louis Hachette qui invite aussitôt Zulma à Paris, la conseille et l’encourage à poursuivre. La Petite Jeanne ou le devoir, est couronné par l’Académie française et connaît six éditions, la dernière date de 1872 dans la Bibliothèque Rose illustrée, et quarante et une réimpressions jusqu’en 1901. Cliquez sur l'image pour l'agrandir et faites défiler Quelques vignettes qui illustrent ces ouvrages Autres parutions Bibliographie

Flatland & 6 / Éditions Zones sensibles / Lancement et rencontre | Le Monte-en-l'air / Librairie-galerie Vendredi 25 janvier à 18h30, rencontre autour des éditions Zones sensibles. Peut-être avez-vous déjà croisé les élégantes éditions belges Zones sensibles, avec entre autres choses, la sobriété de la couverture blanche d’Une brève histoire des lignes, le cri cartographique munchien de Yucca Mountain, et puis la couverture noire en 3D de Flatland ? A l’occasion de la publication de leur cinquième livre, "6", les éditions Zones sensibles nous font le grand honneur de descendre de Bruxelles pour une rencontre avec son directeur, Alexandre Laumonier, en compagnie de Philippe Blanchard, traducteur de "Flatland" et de Bernard Hoepffner, traducteur. Il y sera question de Flatland d’Edwin A. Pour écouter la rencontre avec Alexandre Laumonier c’est ici. Flatland de Edwin A. C’est avec une courte préface de Ray Bradbury que s’ouvre cette nouvelle édition d’un livre mythique : Flatland. "6" Traduit à partir de 0 et de 1 par Ervin Karp. Six de Sniper aux éditions Zones sensibles J'aime :

Monkeybicycle: Literary Goodness Pour bien finir 2012 : le tout premier roman de James Lee Burke | Le Pop Corner Avant d’inaugurer 2013 avec la rentrée littéraire, quelques dernières pépites de 2012. Encore quelques gorgées de lyrisme épais et chatoyant comme un bon vieux whisky. Quelques lignes d’humanisme noir et poétique. Oui, parlons de James Lee Burke, une nouvelle fois. Au printemps, il y avait eu « Swan Peak », pour moi le meilleur des derniers romans de l’auteur. En exergue, il y a cette phrase du poète américain Edward Achington Robinson, qui donne son titre au livre : Dieu lui-même se tue en chaque feuille qui vole, et mieux vaut l’enfer que la moitié du paradis Une épigraphe qui donne son titre et le ton au livre qui va suivre. « La Moitié du paradis » se déroule évidemment en Louisiane, lieu de prédilection géographique et poétique de James Lee Burke jusqu’à une date récente. Trois jeunes gens vont s’y croiser : Nous sommes ici au début des années 1960. Humaniste, naturaliste, noir : trois couleurs de Burke. Lire et relire James Lee Burke est de ces expériences qui requinquent.

My hero: Jhumpa Lahiri and Michael Ondaatje on Mavis Gallant | Books | The Guardian Going her own way … Mavis Gallant in Paris, 1960. Jhumpa Lahiri I discovered Mavis Gallant thanks to a writer friend in the mid-90s when I was just starting out writing short stories. But they are not predictable worlds. Anyone who met her in person knows that she was ferocious and delightful at the same time – always smiling and laughing and being amused by things. Michael Ondaatje For too long Mavis Gallant's stories – in spite of appearing so often in the New Yorker – have been a well-kept secret. Mavis Gallant published her first stories at a time when, as Mordecai Richler writes, "there were no more than 50 bookshops from coast to coast in Canada, most of them no more than glorified stationery stores." The landscapes she has written about range from the Quebec she grew up in to the Europe she settled in. Gallant always surprised us, she never bothered with the dramatically obvious.

About Us | Elohi Gadugi Journal Elohi Gadugi Jour­nal is a new lit­er­ary jour­nal, pub­lished in sea­sonal online edi­tions, to be fol­lowed by an annual print edi­tion in the Fall. We debut on July 1, 2012, and our first annual print mag­a­zine will be released in the autumn of 2013. Elohi Gadugi Jour­nal is a project of Elohi Gadugi, and The Habit of Rainy Nights Press. We are an Ore­gon nonprofit. The mis­sion of Elohi Gadugi is: to pro­vide venues for the work of strug­gling writ­ers and artists who use lan­guage as a pri­mary aspect of their art;to pro­mote nar­ra­tives of social and envi­ron­men­tal respon­si­bil­ity, and inter­cul­tural under­stand­ing; andto sup­port the works by or about indige­nous Amer­i­cans, and other mar­gin­al­ized groups in the con­tem­po­rary lit­er­ary world. We encour­age work that speaks to the impor­tant issues of our time in a lit­er­ary and art­ful way.

Duotrope 195 écrivains demandent la libération de leurs confrères chinois - 6 mai 2013 La Journée internationale de la liberté de la presse tombe le 3 mai (après tout pourquoi pas, il existe bien une journée de la chips). 195 écrivains en ont profité pour écrire une lettre. On trouve du beau monde parmi ses signataires: des lauréats du Nobel comme J.M. Coetzee, Nadine Gordimer, Wole Soyinka, Tomas Tranströmer et Mario Vargas Llosa, mais aussi Salman Rushdie, Marjane Satrapi, Andrei Bitov ou en encore Yu Jie, écrivain chinois en exil qui a subi pas mal de tortures dans les geôles de son pays. Ils y rappellent que si la Chine peut légitimement s'enorgueillir d'avoir depuis l'automne dernier un Prix Nobel de littérature nommé Mo Yan, elle pourrait se soucier un peu du sort qu'elle réserve, par exemple, à Liu Xiaobo, lauréat du Prix Nobel de la Paix en 2010, qui croupit en détention depuis décembre 2008. En s'appuyant sur un rapport du PEN international, la lettre demande en effet la libération d'une quarantaine d'écrivains et journalistes emprisonnés par le régime de Pékin:

Le Journal de Kafka | nouvelle traduction par Laurent Margantin

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