dedefensa.org Think Again: Brain Drain "Allowing skilled emigration is stealing human capital from poor countries." No. Many of the same countries courted by the United States through aid and trade deals complain bitterly of the "brain drain" of their doctors, scientists, and engineers to the United States and other rich countries. This common idea that skilled emigration amounts to "stealing" requires a cartoonish set of assumptions about developing countries. Second, believing that skilled emigration amounts to theft from the poor requires us to assume that skilled workers themselves are not poor. "It's a waste of money to train people who just plan to emigrate." Not really. Third, there is the stereotype that skilled migrants send little money to their home countries, as they tend to come from elite families and bring their immediate families with them when they leave. Fourth, it is simply not true that all higher education in low-income countries must take place under massive public subsidy. False. Hardly. Not always.
Le soft power à l'âge du tout médiatique - Soft Power Le soft power : on en entend beaucoup parler ces derniers temps. Mais que signifie vraiment ce concept ? D'où vient-il ? Et, surtout, quel est son intérêt ? Définition et analyse. « Les médias représentent la plus grande puissance de notre société contemporaine » David Lodge. Néanmoins, si, dans les faits, cette puissance douce est ancienne, sa conceptualisation, elle, est bien récente. Al Jazeera, principal outil du soft power qatari ©Joi/flickr.com Si le concept de soft power de Joseph Nye est en premier lieu destiné aux décideurs américains des décennies passées afin qu'ils adaptent leur politique étrangère aux enjeux mondiaux, il s'avère évolutif puisqu'il s'applique aussi aux nouveaux acteurs de la scène internationale. En somme, plus que normatif, le soft power est un concept descriptif, agrégatif et évolutif qui englobe les différentes stratégies d'influence exercées par les acteurs internationaux. Pierre-William Fregonese A consulter également :
Emmanuel Macron met fin au projet de pôle universitaire et scientifique unique à Saclay En déplacement à Saclay, dans l’Essonne, le chef de l’Etat a annoncé à la place la création d’un « pôle d’excellence autour de deux ensembles universitaires » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Camille Stromboni La page est définitivement tournée. Le projet d’un « Cambridge » à la française, unissant tous les fleurons de notre enseignement supérieur dans une seule grande université, au cœur de Saclay, est enterré. Lors d’un déplacement sur le plateau francilien, mercredi 25 octobre, Emmanuel Macron a acté le schéma qui circulait depuis plusieurs semaines : la cohabitation de deux pôles distincts avec, d’un côté, un ensemble baptisé « université Paris-Saclay », avec l’université Paris-Sud en son sein, et, de l’autre, une alliance d’écoles autour de l’Ecole polytechnique. Lire aussi : Université Paris-Saclay, comment Polytechnique a torpillé le projet de ce « Cambridge » français Complexité Le chef de l’Etat a préféré jouer l’apaisement, remisant dans le passé les « résistances » Goût amer
World's first human head transplant a success, controversial scientist claims