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Chronologie

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Textes Antiquité Christianisation « A cette époque-là, il y eut un homme sage nommé Jésus dont la conduite était bonne ; ses vertus furent reconnues. Et beaucoup de Juifs et d’autres peuples se firent ses disciples. Et le gouverneur romain, Pilate, le condamna à être crucifié et à mourir. Mais ceux qui étaient ses disciples préchèrent sa doctrine. D’après Flavius-Josèphe, historien juif du Ier siècle ap. In Hachette, A monde ouvert. Une prédication du Christ « Heureux les affligés car ils seront consolés. Heureux les affamés et assoiffés de justice, cars ils seront rassasiés. (…) Heureux les artisans de paix car ils seront appelés fils de Dieu. (…) Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on vous calomnie de toutes manières à cause de moi. Matthieu(Ier siècle après J. In Bordas, Terres d’Histoire. L’enseignement de Jésus « Jésus dit : De la même façon, un Lévite, survenant en ce lieu et le voyant, passa outre. Jésus dit : « Va, et toi aussi, fais de même. » Evangile selon saint Luc. Lettre de Paul

Silver denarius of Marcus Junius Brutus Macedonia (northern Greece), 43-42 BC A coin celebrating ancient Rome's most famous murder This coin was struck in honour of Marcus Junius Brutus, one of the assassins of Julius Caesar. The reverse shows the cap of liberty given to freed slaves flanked by two daggers. This indicates Brutus' intention of freeing Rome from Caesar's imperial ambitions and the murder weapons employed to do so. Few coins capture a moment in history with such stark and brutal imagery. The assassins, or 'freedom party' as they regarded themselves, fled Rome to Macedonia to raise an army. The decision to flee east was probably influenced by the richness of the provinces of the eastern Roman Empire - raising an army was a very costly business. P. M.H.

De la naissance à la chute de l'empire romain Cette carte fait partie d’un ensemble de 8 cartes animées portant sur Rome et son empire Rome, à l’origine modeste cité d’Italie, finit par dominer l’ensemble de la Méditerranée. La ville a d'abord connu la royauté, puis la République et enfin l'Empire. De -753 à -509, Rome est gouvernée par des rois. Sous la République, la ville est gouvernée par le Sénat, aux mains des patriciens*, et par deux consuls* élus chaque année. Rome s’agrandit peu à peu en luttant contre ses voisins, les Latins* et les Étrusques*, puis en occupant le sud de la péninsule où les Grecs ont fondé de nombreuses colonies. Au cours des Guerres puniques, Rome combat Carthage, et s’approprie progressivement ses territoires en Méditerranée occidentale. À l’ouest, Rome pénètre en Gaule méridionale et s’empare d’une large partie de l’Espagne. À l’est, elle occupe la Macédoine et la Grèce, puis le royaume de Pergame. Le plus célèbre d’entre eux est Jules César. - En 410, les Wisigoths envahissent l’Italie et pillent Rome.

Latin Le latin (en latin : Lingua Latīna ou Latīna Lingua) est une langue italique de la famille des langues indo-européennes, parlée à l'origine par les Latins dans le Latium de la Rome antique. Bien qu'il soit souvent considéré comme une langue morte[note 1], sa connaissance, voire son usage, se sont maintenus à l'université et dans le clergé. De nombreuses écoles et universités continuent à l'enseigner[1],[note 2]. Le latin est toujours utilisé pour la production de néologismes dans de nombreuses familles de langues. Arc du pape Sixte V à Rome, plaque et inscription en latin Histoire[modifier | modifier le code] Calligraphie d'une bible en latin en 1407. Origines[modifier | modifier le code] Latin archaïque[modifier | modifier le code] On appelle latin archaïque (prisca latinitas) l'état du latin en usage de l'origine jusqu'au tout début du Ier siècle av. Latin classique[modifier | modifier le code] Bas-latin[modifier | modifier le code] Latin médiéval[modifier | modifier le code] Exemples :

L'époque hellenistique L’évolution politique du monde hellénistique La conquête d’Alexandre La période des diadoques (323-281 av. L’équilibre du IIIème siècle L’intervention romaine et la disparition politique du monde hellénistique Les cadres politiques permanents : royaumes et cités Le royaume hellénistique, une monarchie absolue L’âge d’or des cités ? Les relations complexes entre souverains et cités Facteurs d’unité et de diversité de la civilisation hellénistique L’hellénisation : langues, coexistence des cultures La ''koinè'' Y a-t-il mixité des cultures ? Circulation des idées et des hommes Les échanges économiques L’art à l’époque hellénistique La fin du monde hellénistique Guerrier galate blessé, thème apparu dans la statuaire grecque suite à la victoire d’Attale Ier de Pergame sur les Gaulois v. 237 av. L’époque hellénistique est le nom que l’on donne à la période qui suit la conquête d’une partie du monde méditerranéen et de l’Asie par Alexandre le Grand jusqu’à la domination romaine. La conquête d’Alexandre

Digital Atlas of the Roman Empire Chronologie détaillée de la Rome Antique NAISSANCE DE ROME (vers -900 à -753) -900 Installation des Étrusques en Italie. Naissance de Romulus et Remus, abandonnés sur le Tibre, recueilli et élevés par une louve. -814 Création de Carthage par les Phéniciens. FONDATION LÉGENDAIRE DE ROME (-753 à -616) ROMULUS (-753 à -717) -753 Fondation légendaire de Rome et assassinat de Remus par Romulus. -750 Présence d’habitations sur le site de Rome. -740 Fondation d’une colonie grecque à Cumes (Italie). -733 Fondation d’une colonie grecque à Syracuse (Sicile). Numa POMPILIUS (-715 à -673) Fondation du temple de Janus. Tullus HOSTILIUS (-673 à -641) Guerre contre les Sabins. Ancus MARTIUS (-641 à -616) DOMINATION ÉTRUSQUE (-616 à -509) TARQUIN l’Ancien (-616 à -579) -616 Lucius Tarquinus est élu roi. -600 Naissance (historique) de la ville de Rome. -598 Fondation Marseille par les Grecs (Phocéens). -579 Assassinat de Tarquin par des descendants d’Ancus Martius. Servius TULLIUS (-578 à -534) -540 Les Étrusques s’allient aux Carthaginois contre les Phocéens.

★ Projet Mythologie Hier, l'un de mes élèves a apporté en classe un "Mytholo…Jeux", fabriqué par Sylvie de Soye. Je vous copie-colle la présentation : Ce jeu est formé de 40 paires composées chacune d’une illustration et d’un petit texte explicatifqui en raconte l’histoire : une expression d’origine mythologique et sa signification.Les mots-clefs en gras sur les cartes-textes servent de points de repère, et permettent de ne paslire le texte tout entierCes expressions permettent de raconter des légendes de la Guerre de Troie, de l’Iliade, del’Odyssée…Ce jeu est composé de 10 petites règles très faciles et très connues : du jeu d’associations auquiz, en passant par le jeu du dictionnaire ou « Inventons une histoire » pour les plus jeunes…Qui est sorti de la cuisse de Jupiter ? Je le trouve très intéressant et très bien illustré.

8 Surprising Facts about Alexander the Great — HISTORY Lists Perhaps the greatest military genius of the ancient world, the warrior-king Alexander III of Macedon (356–323 B.C.) conquered territories stretching from Greece to Egypt and through present-day Turkey, Iran and Pakistan. Combining battlefield successes with kingdom-building strategy, Alexander spent his 13-year reign working to unite East and West through military force and cultural exchange. Alexander’s reputation grew so quickly that by the time of his death at age 32 he was viewed as having godlike aspects. It isn’t always possible to separate fact and fiction from the stories told about Alexander over the centuries, but here are eight great nuggets from Alexander’s life. 1. Alexander and Diogenes (Credit: Getty Images) Alexander’s father, Philip II of Macedon, hired Aristotle, one of history’s greatest philosophers,, to educate the 13-year-old prince. 2. Alexander the Great’s military tactics and strategies are still studied in military academies today. 3. 4. 5. 6. 7. In 323 B.C. 8.

Du paganisme au christianisme 1 Son essai sur saint Marcel et le dragon constitue un exemple fort convaincant d’application concrèt (...) 1Dans un essai de synthèse sur les rapports entre la culture cléricale et la culture folklorique à l’époque mérovingienne (circa 500-750), le médiéviste Jacques Le Goff avait proposé d’intéressantes lignes de réflexion sur la dynamique de ces rapports (1977 : 223-235). Il concédait, dans son analyse, qu’« il y a sans doute un certain accueil de ce folklore dans la culture cléricale », à cause notamment de trois facteurs importants. D’abord, l’existence de structures mentales en partie communes aux deux cultures, comme la croyance en des pouvoirs surnaturels et la possibilité d’interventions divines. 2La destruction est la catégorie la plus facile à définir et à documenter, par un très grand nombre de textes et parfois aussi par l’archéologie : rites perturbés, temples détruits, arbres sacrés coupés, sources sacrées souillées. 3L’oblitération est une catégorie plus complexe.

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