Drew Westen: How Race Turns up the Volume on Incivility: A Scientifically Informed Post-Mortem to a Controversy Suppose, over the last 25 years, a half million Englishmen a year had entered the US. Most came on temporary work visas, whereas others came as visitors, but in both cases, they preferred it here and stayed. They were hard workers, but they didn't have papers, so they either took jobs American workers didn't want or just blended into the job market however they could. So would we have had an acrimonious debate on immigration reform, with shouts of "you lie" at the President of the United States in the halls of Congress by a former soldier who understands that this is the Commander-in-Chief to whom he his showing such disrespect, and vitriolic discussion about the evils of "illegal aliens" (like virulent strains of ET) or "illegals" (not even humans anymore)? My guess is that it would have been the latter--unless those British citizens happened to be of Pakistani descent. So is that racism? It all depends on what you mean by racism. Sure, the birthers are overt racists.
Contre la BCE, vive l’inflation ! partie I Antoine, pendant ses vacances, a visité la Banque Centrale européenne, à Francfort. C’est que, au fond, discrètement, cette ville est devenue notre nouvelle capitale. Mais comme, sur place, le guide n’était pas terrible, à son retour de congé, il a interrogé Frédéric Lebaron, à la fois sociologue et économiste, auteur de La BCE et la révolution néolibérale – et qui collectionne des fiches sur tous les banquiers centraux de la planète... Francfort, notre capitale invisible ? Antoine : Je me suis rendu à Francfort parce que, ces temps-ci, on a l’impression que c’est devenu notre nouvelle capitale. Régulièrement, la Banque centrale réclame plus de « flexibilité sur le marché du travail ». Frédéric Lebaron : Et pourtant, on ne dit pas que Jean-Claude Trichet est un leader du néolibéralisme en Europe… François : Surtout, dernièrement, on est tombés sur cet article dans Le Figaro. Antoine : À lire ces lignes, on a le sentiment que le centre du pouvoir s’est déplacé là-bas, à Francfort.
Coulisses de Bruxelles L (B) L O G | le blog de laurent bouvet La planche à billets, une affaire d’Etat La plupart des pays du monde développé souffrent désormais du poids excessif de leurs dettes publiques, dont le niveau dans l’Union européenne s’échelonne de 47% du PIB pour le Danemark à 153% pour la Grèce. En France, elle a atteint 86% du PIB, soit une proportion proche de celle des Etats-Unis. Mais le sujet de préoccupation le plus prégnant concerne le poids considérable du service de la dette dans le budget des Etats. Pour le comprendre, il convient de se rappeler que, jusqu’en 1973, l’Etat partageait avec les banques privées le pouvoir de création monétaire. En pratique, cela signifie que les administrations publiques s’obligent à emprunter sur les marchés à obligations, avec intérêts. L’idée vertueuse de ce mécanisme entré en vigueur en 1974 était d’inciter l’Etat à moins s’endetter, et donc à moins dépenser, afin de limiter les risques d’inflation. Michaël CHETRIT Economiste et juriste européen
Aide extérieure et pays ACP Depuis 1990, le financement de la Commission destiné aux pays ACP est en hausse régulière chaque année et l'aide consacrée au commerce n'a jamais été aussi importante qu'aujourd'hui. Depuis 2001, la Commission a dépensé plus de 850 millions d'euros pour aider les pays ACP à stimuler leur commerce et à s'intégrer à l'économie mondiale. Action sur le terrain Quoi de neuf Les délégations de l’UE dans les pays d’Afrique subsaharienne ont marqué chacune à leur manière la Journée de l’Europe, célébrée chaque année le 9 mai pour commémorer le lancement du projet d’intégration européenne. Want to know more? Le «partenariat spécial» entre l’UE et le Cap-Vert, instauré en 2007, s’est renforcé lors de la visite du président de la Commission européenne, José Manuel Durão Barroso, les 26 et 27 octobre. Want to know more? Want to know more?
Gauche Populaire L'inflation, solution contre la dette Les hommes politiques et les économistes vous le diront : il n’y a pas trente-six mille façons de désendetter un état. Il n’y en a même que deux, qui relèvent a priori du bon sens : la diminution du train de vie de l’Etat, d’une part ; et l’augmentation des recettes fiscales, d’autre part. Malheureusement, cette équation à deux inconnues est très difficile, pour ne pas dire impossible, à résoudre. Diminuer le nombre de fonctionnaires ? Une nécessité, certes, mais dont les effets ne se feront ressentir qu’à très long terme. La France doit générer des excédents D’autant que l’objectif affiché (la réduction des déficits publics) est loin d’être suffisant ! Il y a pourtant une troisième solution, qui permettrait de résoudre, très vite, et de façon imparable le problème de la dette : l’inflation, à condition qu’elle soit maîtrisée et qu’elle s’accompagne également d’une hausse des salaires. L'inflation, levier pour combler la dette Une priorité politique ?