L’interactivité, condition de tout recrutement efficace Près de 30% des entreprises françaises sont concernées par des difficultés de recrutement. Défaut de compétences ou profil inadapté côté postulant, manque de connaissances candidat côté entreprise. Se renouveler pour mieux se démarquer La "guerre des talents" s’intensifie, et le recruteur doit être encore plus proactif, ingénieux et en veille permanente. L’utilisation des réseaux sociaux évolue pour lui offrir de nouvelles possibilités. Le recrutement casse ainsi les codes standards pour devenir plus mobile et omniprésent. La force du digital réside dans sa capacité à créer du lien Le digital permet à ses utilisateurs de revisiter les normes actuelles de communication pour gagner en rapidité, proximité, et transparence. Le numérique leur offre une chance de parfaire leur connaissance du candidat et confirmer leurs choix. Recrutement 3.0 : plus d’interaction pour plus de confiance
La motivation. D'où vient-elle ? Comment motiver autrui ? Pourquoi l’élève s’investit-il à l’école ? Qu’est-ce qui fait courir le sportif ? Pourquoi s’engage-t-on dans un travail fastidieux ? Quelles forces guident nos choix, nos achats, notre vote ? La motivation représente l’une des plus grandes énigmes du comportement humain. Prenant racine dès l’enfance, elle est ce qui pousse à agir quand rien ni personne ne nous y obligent, mais aussi ce qui stimule la volonté au cœur de la difficulté et de l’ennui. La recherche en sciences humaines a multiplié les théories et expériences depuis un demi-siècle, dans le sillon du béhaviorisme. Recourant aussi bien à la psychologie qu’aux sciences de l’éducation ou à l’addictologie, ce dossier dresse un état des lieux des savoirs actuels et dégage des pistes concrètes pour motiver les autres, et mieux se motiver soi-même, qu’il s’agisse d’arrêter de fumer, de lever des blocages professionnels ou de réussir un concours.
Quand croissance rime avec confiance. Par Véronique Plessier-Chauveau Burn-out, bore-out, scepticisme ambiant : ces concepts sont plus que jamais sur le devant de la scène. Les employés ne sont plus spécialement fiers d’appartenir à leur entreprise. Pourtant, il existe des sociétés, des rassemblements d’individus, heureux de travailler pour leurs clients, qui savent stimuler la confiance en soi et en les autres. Et détiennent ainsi un puissant vecteur de performance et de croissance. Recréer de la confiance en soi pour donner confiance aux autres Il n’y a pas de secret véritable. Ce gain de temps dans l’opérationnalité est essentiel. Un écosystème gagnant grâce au travail en meute Le travail en meute est une autre façon d’aborder le changement, avec sérénité et efficacité. Comme chacun a confiance en soi, il donne confiance aux autres et est accélérateur de business. Une communauté d’experts travaillant « en meute » Pour que cela fonctionne, il ne suffit pas de constituer un vivier de personnes. Les bénéfices pour l’entreprise sont de plusieurs natures.
Vers la fin des cabinets de recrutement traditionnels ? Les entreprises continuent de solliciter fortement les cabinets de recrutement qui emploient 25.000 professionnels en France. Le métier est exercé de façon traditionnelle et n’a pas encore fait sa révolution digitale. Cela laisse le champ libre à de nombreuses plateformes. 3 à 5 candidats qui entrent dans les cases. Pour y arriver, plusieurs ingrédients sont nécessaires : Disposer en interne de ressources pour sourcer (en direct ou via des annonces) et screener des candidats (généralement à travers un appel téléphonique), avoir une marque employeur suffisamment attractive et être réaliste sur le ratio rémunération proposée / compétences attendues. Lorsqu’une ou plusieurs de ces conditions ne sont pas remplies l’employeur fait appel à un cabinet de recrutement. Les grands acteurs du recrutement (Michael Page, Hays, Robert Half…), se font rémunérer de plus en plus au succès de la mission avec l’objectif d’augmenter leur volume de missions (modèle du Contingency). Plus intéressant encore.
Le projet de loi sur le renseignement massivement approuvé à l'Assemblée Largement approuvé par les députés, le texte sera désormais examiné par le Sénat, puis le Conseil constitutionnel. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger (avec Damien Leloup et Morgane Tual) Les députés ont, sans surprise, adopté à une large majorité (438 contre 86 et 42 abstentions) le projet de loi sur le renseignement défendu par le gouvernement lors d’un vote solennel, mardi 5 mai. Il sera désormais examiné par le Sénat, puis le Conseil constitutionnel, prochainement saisi par 75 députés. Dans un souci d'apaisement, François Hollande avait annoncé par avance qu'il saisirait les Sages. Revivez le direct du vote à l’Assemblée avec vos questions. Ont voté contre : 10 députés socialistes (sur 288), 35 UMP (sur 198), 11 écologistes (sur 18), 11 UDI (sur 30), 12 députés Front de gauche (sur 15) et 7 non-inscrits (sur 9). Retour sur ses principales dispositions, après son passage en commission des lois et après le débat en séance publique. Définition des objectifs des services
I Get A Job : Randstad présente sa stratégie marketing digital La plateforme I Get A Job est en ligne depuis lundi. Randstad a créé ce dispositif de recrutement innovant pour (re)connecter les jeunes au marché de l’emploi. Pour concevoir une opération efficace, Randstad a peaufiné sa communication (campagne de vidéos virales), sa plateforme (I Get A Job), et créé un pont avec le offline : le Job Pass, permettant de rencontrer les recruteurs dans les agences. Pour en savoir plus sur les tenants et aboutissants de l’opération, nous nous sommes entretenus avec Ana Maria Olcina, Directrice Marketing du Groupe Randstad France. Quel est votre rôle chez Randstad ? Je suis la directrice Marketing du Groupe Randstad France. Vous venez de lancer l’opération I Get A Job. I Get A Job est un événement proposé par Randstad pour rapprocher les jeunes du marché de l’emploi, dans une démarche positive, qu’ils soient diplômés ou pas. Le principe de l’opération est d’inciter un maximum de jeunes à se connecter à notre plateforme digitale I Get A Job.
Les signes avant-coureurs du burn-out professionnel > L'épuisement professionnel : un processus sur le long terme Si le mot burn-out inspire une image de combustion instantanée, le processus qu'il désigne s'inscrit davantage dans la durée, sur plusieurs mois ou plusieurs années. Ceci explique en partie pourquoi nombre de managers, d'assistants et de personnels administratifs passent à côté des premiers symptômes de l'épuisement professionnel. > Un regain d'énergie inexpliqué Le burn-out débute souvent de façon insidieuse, par une phase de regain d'énergie et la sensation de compétences décuplées. > Un glissement subreptice de la motivation à l'obligation Votre lutte intensive contre le stress impacte désormais votre tonus et votre motivation pourtant légendaires. > L'isolement pour mieux gérer vos émotions Autre signe avant-coureur d'un épuisement latent : les émotions bouillonnent en vous et vous avez du mal à les contrôler. > Le corps exprime les maux Le dernier stade est celui de la fatigue physique.
Licencié pour faute grave pour avoir menti sur son CV LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gaëlle Picut Les CV truqués, enjolivés, voire mensongers seraient devenus monnaie courante à en croire une étude réalisée par le cabinet de conseil en recrutement Florian Mantione en février 2013. Il en ressort que 75 % des CV seraient trompeurs, que 33 % des candidats s’attribuent « souvent » ou « toujours » un faux diplôme, que 64 % mentent sur la durée de précédents postes et 50 % sur leur rémunération actuelle. Que risque un candidat si ses petits arrangements avec la vérité sont découverts ? Si certaines approximations ou enjolivements sont généralement tolérées, d’autres risquent de lui faire perdre sa crédibilité et la confiance du recruteur. Mais si jamais le mensonge est plus grave, par exemple un faux diplôme ou une expérience professionnelle fictive, les dangers sont plus importants. Tout d’abord, dans le cas de profession réglementée, le risque est élevé. Trois ans de prison avec sursis De l’imprécision à la fraude
Les gros turnover : c’est maintenant Ce que l’on entend par « body shopping » comme son nom l’indique s’avère de commercialiser des personnes pour une prestation. Naturellement, ce type de Société a tendance à recruter de jeunes diplômés avec la tête bien faite et qui regorgent d’énergie pour effectuer des prestations plus ou moins spécialisées afin de leur enlever une épine du pied. Ainsi, le consultant, bien que junior est accueilli les bras ouverts comme le messie. Et compte-tenu des potentialités du marché, ces jeunes talents fabriquent leur Curriculum Vitae en début de carrière pour aller voir ailleurs, et bien souvent chez le client de leur employeur pour obtenir une situation plus stable. Il est donc normal d’observer de gros mouvements de salariés dans ce type d’entreprises. L’observation de gros mouvements de salariés depuis quelques mois, issus grandes Sociétés cotées comme Société Générale, s’avère tout à fait inattendue.
L’intergénérationnel, levier de croissance inexploité Beaucoup d’entreprises ignorent encore la question de l’intergénérationnel. Ou ne l’abordent que sous l’angle des générations, juniors et seniors, pour se conformer à la loi dite du contrat de génération. Le management des âges est surtout évoqué comme un facteur de complexité supplémentaire alors que la connexion des générations, attendue des français, constitue un levier de croissance largement inexploité aujourd’hui. Nous appelons management intergénérationnel l’art de faire travailler ensemble les différentes générations en tirant le meilleur parti de leurs forces. Le grand tournant générationnel Avec cinq millions de seniors qui vont quitter le marché du travail d’ici 2020 en France et six millions de jeunes qui vont y entrer (1), le remplacement des générations s’accélère à rythme qu’aucun DRH n’a jamais connu dans sa carrière. Avec l’arrivée de la génération Z, quatre générations cohabitent aujourd’hui dans beaucoup d’entreprises. Les conflits intergénérationnels pointent déjà