Un simulateur d'entretiens d'embauche en 3D
Le centre de réalité virtuelle de Clermont-Ferrand vient d’inaugurer un nouveau système d’entretiens d’embauche virtuels. Commandé par une société de conseil en ressources humaines nommée Athalia, le simulateur permet à des candidats de s’exercer au passage d’entretiens d’embauches avec un jury composé d’avatars 3D très réalistes. Un principe qui comporte un certain avantage pour les potentiels utilisateurs (entreprises, organismes de formation) explique Laurent Baleydier, Directeur du centre APRV (Association Promouvoir la Réalité Virtuelle) : « réunir cinq personnes pendant plusieurs heures pour faire passer des entretiens représente un coût important pour les entreprises ». De la haute technologie… Concrètement, pour la partie visible par le candidat, l’entretien se déroule au sein du cube immersif du centre de réalité virtuelle de Clermont-Ferrand. De la place pour l’imprévu Via Newsauvergne.
(Billet invité) Pierre Bellanger : L'avenir des réseaux sociaux
J'ai le plaisir de partager avec vous cette réflexion de Pierre Bellanger, fondateur et PDG de Skyrock, et donc de la plate-forme Skyblog, sur l'avenir des réseaux sociaux. Les premiers services de réseaux sociaux sur Internet ont eu pour promesse initiale d’aider à la mise en relation entre elles de personnes appartenant à des populations définies par un besoin ou une situation. Sous la forme originelle de groupes de soutien, les malades souffrant d’une même pathologie se retrouvent sur des forums précurseurs de ces services. En Asie, le coréen « CyWorld » débute en 1999 et fédère la jeune génération qui s’y retrouve sous le couvert d’avatars. Au Japon, « Mixi », fondé en 2000, recrute sur invitation, favorisant la constitution d’un réseau homogène. Le chinois « Renren », créé en 2005, se focalise sur la communauté estudiantine ‐ avec quand même plus 160 millions de membres ‐ qui échangent sous pseudo. Tout d’abord, le premier usage de « Facebook » est incroyable.
Guide du travail collaboratif à distance
NetPublic évoquait en février 2012 une formation en ligne gratuite sur le travail collaboratif à distance sous la forme d’une auto-formation en ligne proposée par Isabelle Gonon (CNAM Paris). Ce module vise à définir avec précision et à différencier les notions de travail collaboratif, communauté virtuelle et réseau social. A l’issue de cette séquence pédagogique, l’apprenant est capable de mettre en oeuvre une méthode de travail collaboratif en situation de formation et de faire un choix raisonné d’outils à utiliser. Méthodologie de projet Ce guide reprend les différents éléments de la formation afin de comprendre et d’apprendre à travailler dans un mode collaboratif en ligne. Sommaire du guide du travail collaboratif à distance 1. 2. 3. Distinguer collaboration et participation Distinguer groupes ou communautés virtuelles et réseaux sociaux Qu’est-ce que le travail collaboratif ? 4. 5. 6. En formation En entreprise 7. Glossaire Signification des abréviations Bibliographie Licence :
Chaque jour 20 000 profils sont supprimés de Facebook
Discrimination à l’embauche et football
C’est une bombe qu’a lâchée le site Médiapart dans l’enceinte même de l’arène de la Fédération Française de Football. Mais quels ont été les objectifs des têtes pensantes de notre fédération ? Rétablir une répartition “représentative” de la France à travers 11 joueurs de foot ? Faire de la discrimination positive pour une majorité devenue minorité non visible ? La communication de la FFF via Laurent Blanc se veut “technique” telle une analyse pragmatique d’un DRH : l’équipe de France est en manque de productivité car ses jeunes employés (les jeunes des centres de formation) sont tous issus du même moule. Le fond du problème vient des critères de plus en plus stricts de recrutement des centres de jeunes : taille, critères purement physiques et athlétiques. Alors où est la véritable sélection et la discrimination positive ? Cela revient-il à dire que chaque style de jeu revient à favoriser un type de couleur ?
Etude : avoir trop "d'amis" sur Facebook favoriserait le stress
L'usage des tablettes chez l'enfant fait débat
Cyber George, 22 mois, est assis sur une petite chaise bleue, face à un bureau pour enfant. Il a entre ses mains un jeu pour les grands - un iPad. Une situation de plus en plus fréquente qui divise parents et pédiatres. Penché sur la tablette, l'enfant appuie sur les icônes de "La boîte à Meuh", une application qui produit des sons de vaches, de canards et de chiens. Pour sa mère, Aurélie Mercier, 32 ans, les applications iPad ont l'avantage de repousser les limites du monde de son fils : "c'est une fenêtre ouverte sur des milliers de choses que nous n'avons pas à la maison, condensées dans ce si petit objet". Le nombre d'applications pour bébés et enfants en bas-âge explose, selon Heather Leister, qui teste ces programmes sur le site américain theiphonemom.com depuis 2009. "S'il existe une application simple à comprendre, un enfant l'adoptera", explique-t-elle. "C'est là que la simplicité des jouets et des jeux sans règle préétablie est cruciale.
L'armée américaine veut manipuler les réseaux sociaux avec de faux profils
L'armée américaine ne se contente pas de bloquer sporadiquement des réseaux sociaux et des sites de divertissement. Elle les infiltre aussi. C'est en tout cas ce qu'affirme le Guardian dans son édition d'hier. D'après le journal britannique, les États-Unis ont mis en place un programme permettant de surveiller les activités des internautes inscrits sur certains sites communautaires. L'article explique qu'une société californienne, Ntrepid, a remporté un contrat de 2,76 millions de dollars avec l'United States Central Command (CENTCOM), un commandement américain chargé de gérer les opérations militaires au Moyen-Orient et dans la corne de l'Afrique. Le but d'un tel système est de permettre aux États-Unis de mener des opérations d'information, visiblement à destination des populations couvertes par les attributions du CENTCOM. Le système serait encore en cours d'élaboration, précise le Guardian, mais impossible de savoir s'il fonctionne déjà partiellement.