La campagne 2.0 dans Shefford | Maxime Massé | Actualités
Le Canada n'échappe pas à la tendance, comme le démontre la présente campagne avec la présence des chefs des quatre principaux partis sur le nouveau média social en vogue, Twitter. Mais qu'en est-il des candidats dans Shefford? Ont-ils eux aussi adopté une stratégie pour mener une campagne 2.0? «On va faire une partie de notre campagne sur ces nouveaux médias sociaux, mais en même temps, on va continuer à faire du porte-à-porte, rencontrer les gens, visiter les usines, énumère le député sortant, Robert Vincent. Cela n'empêche pas le bloquiste d'être l'un des plus présents sur le web dans la circonscription étant donné qu'il est le seul candidat dans Shefford à posséder un compte Twitter en plus d'être sur Facebook. Bien que moins actif que Denis Coderre sur ce site où on échange de courtes phrases de 140 caractères pour exprimer son opinion sur un peu tous les sujets, M. La suite dans l'édition de mardi Abonnez-vous à La Voix de l'Est
Médias & Publicité : Les lecteurs de presse en ligne attachés au papier
Plus de quatre lecteurs de presse écrite sur dix se sont convertis aux supports numériques, selon une étude de l'institut GfK. Le numérique rentre dans les mœurs mais le papier reste un pilier pour les lecteurs de presse. Au cours des trois derniers mois, 42% d'entre eux ont téléchargé ou lu de la presse numérique sur des sites Internet, contre 58% qui n'ont pas sauté le pas, selon le troisième baromètre REC réalisé par l'institut GfK en France. Chez les lecteurs numériques, 53% de leur temps est consacré aux supports numériques, contre 47% au papier. «Ces chiffres évoluent lentement, indique Philippe Person, directeur entertainment chez GfK. Le basculement est donc bien réel, mais il est loin d'être total. Les quotidiens favorisés L'actualité diffusée par les sites d'information généraliste a attiré chaque jour 6,6 millions d'internautes, selon le relevé de Médiamétrie en mars.
Esprit de la monétisation de médias numériques, es-tu là ?
"Les rédactions pléthoriques, c'est terminé. Aujourd'hui, deux ou trois rédacteurs suffisent à faire un média de qualité, dès lors qu'on accepte de renoncer à une couverture exhaustive de l'actualité" Eric Dupin, un des rares blogueurs à s'être fait une place au soleil numérique est catégorique. "Quand j'ai lancé Presse-Citron en 2005, je n'avais pas de business plan. J'ai bénéficié de la prime au premiers arrivants." Presse-Citron revendique 1 million de visiteurs uniques mensuels, et vient d'embaucher son premier salarié en contrat à durée déterminée grâce à une première levée de fonds "auprès d'une entreprise du IT connue qui veut se développer dans les médias". Les médias, des plateforme de production multicanales Croître par univers, c'est la stratégie qu'a également adopté Alexandre Malsch quand il a fondé Melty en 2008. "Les revenus générés par l'accord de licence M6 Mobile avec Orange et nos services audiotels sont intégrés au périmètre de M6 Web. La manne de la publicité vidéo
Presse en ligne : les lecteurs sont prêts à payer, à une condition
« La figure du journaliste assis derrière son écran s’est imposée. Il agrège, trie, commente et « nourrit la conversation » (…). Une inévitable déréalisation du monde s’opère par d’infinis décalages. ». En effet, cette revue papier trimestrielle vendue à un prix onéreux flirtant autour de 15 euros viole toutes les caractéristiques des modèles de presse contemporains. Un exemple qui démontre l’enjeu crucial des débats qui auront lieu cette semaine au cours du 65e congrès mondial des journaux à Bangkok . Le New York Times : 325 000 abonnements Aujourd’hui ce sont divers modèles d’affaires qui coexistent et qui tentent tant bien que mal de trouver la formule miraculeuse qui sauvera la presse vacillante. Bonne nouvelle : les lecteurs seraient prêts à payer, soit par abonnement soit par article, mais à une condition loin d’être évidente à satisfaire : produire des contenus de grande qualité. Un cas édifiant est celui du New York Times. Mediapart, du journalisme d'investigation payant
The future of digital journalism: live blogging
Good piece on the Guardian this morning on how live blogging has helped to transform journalism as highlighted in recent months by the student demonstrations and the uprisings in Tunisia, Egypt and Libya among other stories. The reward for sites like the Guardian, which along with the BBC and Telegraph has been an enthusiastic exponent of experimenting with live blogging can be big in terms of traffic, but there are pitfalls too. The Guardian piece says that in March alone live blogs, and this includes play-by-play sports coverage, has generated 3.6 million unique users for guardian.co.uk. That represents 9% of the site’s total traffic. “This year, as the Arab revolutions have unfolded, live blogging has rapidly become the dominant form for breaking news online – deployed by virtually every major news organisation on their home page and the online answer to 24/7 television news. The relationship is also different between the reader and the writer.
Papier contre Écran
Il y a un peu plus de cinq ans, j'ai publiquement déclaré avoir résilié mon abonnement au New York Times. Je n'avais alors aucun problème avec le Times en lui-même, sa ligne éditoriale ou sa façon de traiter le Moyen-Orient, les minorités ethniques, la religion et le sexe (entre autres sujets sensibles pouvant amener certains lecteurs à se désabonner). Si je ne voulais plus de la version papier, c'était avant tout parce qu'avec son élégante nouvelle mouture, le site du New York Times était devenu un meilleur vecteur d'information que le quotidien papier en tant que tel. publicité Autre argument en faveur de la version Internet: le site était gratuit (la version papier me coûtait alors 621,40 dollars par an). Nostalgie du New York Times papier Et pourtant, moins d'un an après ma résiliation, j'avais rendu les armes: la version papier New York Times m'était à nouveau livrée chaque jour. Un moins bon souvenir des articles Mais non. Plus de souvenirs sur le papier qu'en ligne Jack Shafer
Monétiser l'information sur le web - Editions CFPJ
Voici le premier ouvrage pratique consacré aux modèles économiques des sites d’information, le premier livre à répondre à la grande préoccupation de tous les créateurs et de tous les éditeurs de presse en ligne en quête d’équilibre et de rentabilité. Après une enquête journalistique menée auprès des principaux patrons de sites d’information français et étrangers, Pascale Bonnamour et Ludivine Garnaud présentent tout d’abord un état des lieux, une typologie et un cadre d’analyse. Puis elles dévoilent, à l’aide de nombreuses études de cas, les leviers de la réussite et les bonnes stratégies à adopter pour monétiser son contenu sur le web. Enfin, elles proposent une méthodologie opérationnelle et des outils pratiques pour élaborer et personnaliser un modèle économique rentable sur internet. Le lecteur a ainsi toutes les clés en mains pour imaginer « son » modèle économique, celui qui correspond le mieux à son site, à son contenu, à sa cible et à son environnement concurrentiel.
Gratuit vs Payant : quel modèle pour la presse en ligne ?
Face à la crise de la presse traditionnelle, à la chute de revenus publicitaires et à la concurrence, la presse en ligne expérimente et se cherche plus que jamais. Décryptage des différents modèles économiques. Nul besoin de le répéter, la presse va mal depuis plusieurs années. Face à la concurrence du web et de la presse gratuite, la presse papier payante semble condamnée à rétrécir son offre : de nombreux titres se voient contraints de stopper leur parution, cherchant parfois une sortie de secours salvatrice du côté du web, comme on a pu le voir avec Elle Girl, PC Mag, Teck’Yo ou encore La Griffe. De l’autre côté, la presse en ligne se voit au contraire enrichie de jour en jour de nouveaux sites d’info, essayant bon an mal an de trouver leur modèle économique. Les pure players ou la nécessité de l’équilibre financier Parmi les nombreux sites d’info, certains se sont créés sur la toile : ceux qu’on appelle les pure players sont ceux pour qui l’aventure paraît la plus audacieuse.