La courbe de la Collaboration M’étant donné pour mission de fusionner les notions de Social Business et d’Entreprise 2.0 pour donner naissance à la notion de « collaboration », il me semble opportun de vous présenter la «courbe de la collaboration ». Sur une période donnée de même que les modes de collaboration entre les gens ne cessent de se diversifier (entre employés, de l’employé au client, de l’étudiant à la faculté, etc.), les connaissances, l’engagement, les réseaux et les performances de ces mêmes personnes participant à l’expérience de collaboration connaîtront la même évolution. Bien que ces évolutions ne se produisent pas au même rythme, elles finissent par se « rejoindre » entrainant, dans le meilleur des cas, un changement culturel positif pour l’organisation. Les modes de collaboration peuvent être par exemple l’utilisation d’outils de partage formels ou informels, en ligne ou en personne, mais surtout en ligne. Première étape - les connaissances Deuxième étape – Engagement et réseau Traduction :
La fin de l’automobile : avons-nous atteint un pic du déplacement Avant toute chose, rappelons que la voiture demeure le principal moyen de transport utilisé quotidiennement dans les pays développés. La plupart des ménages n’imagine pas que cette situation évoluera dans l’avenir, comme le soulignait ce sondage (.pdf) sur les pratiques environnementales des Français réalisé par le service de l’observation et des statistiques du Commissariat général au développement durable. Pourtant, certains signes indiquent qu’il commence à en être autrement. La voiture à l’âge de l’accès C’est bien possible, explique Alex Rayner. Stefan Liske de PCH-Innovation, une société qui conseille les constructeurs, explique que ceux-ci sont confrontés à des changements importants. Selon Liske, les « natifs du numérique » ne se soucient pas de posséder des choses. Le pic du déplacement Les gens ne cherchent pas à voyager plus. Cette vision n’est pas partagée par tous.
Management agile Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Des informations de cet article ou section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans la bibliographie, sources ou liens externes (indiquez la date de pose grâce au paramètre date). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références. Le management agile peut être vu comme une organisation de type holistique et humaniste basée essentiellement sur la motivation rationnelle des ressources humaines. Ses valeurs et principes combinent des aspects sociologiques et technologiques à une approche industrielle[1]. Le management agile s'applique au niveau de l’organisation et les Méthodes Agiles, si elles s'en réfèrent, ne représentent qu'un secteur de l'application des diverses formes d'agilité managériale se référant du (Lean). Le management agile est indissociable de l'auto-organisation qui induit adaptabilité, résilience et autonomie des équipes. Sociologie des valeurs agiles[modifier | modifier le code]
Identité numérique et e-réputation « Identite numerique Depuis quelques mois de nouveau mots, de nouveaux concepts font leur apparition sur la toile.. Il est parfois dure de différencier les mots, les notions, d’avoir une opinion. Pour ma part, je tenterais de donner mon point de vue quant à la . Ces deux notions sont pour moi différentes mais complémentaires.. Je vais dans un premier temps vous exposer mon point de vue concernant chacune de ces notions séparément: Cette dernière en partie, ou totalement par la personne concernée. * Viadeo : Reseau social professionnel qui permet de mettre en ligne une biographie * Facebook : Réseau social qui permet de mettre en ligne une biographie mais également un grand nombre de photos et d’intérêts personnels. * Linkedin qui permet également de mettre en ligne une biographie * Twitter qui permet de renseigner un court « profil » * DoYouBuzz qui permet de créer un Cv en ligne et d’ajouter des fichiers dans le portfolio Tous ces outils permettent évidemment d’ajouter une photo à la biographie..
Pourquoi la "révolution douce" du télétravail ne prend pas | ParisTech Review En 1973, lorsque Jack Nilles, ancien ingénieur en télécommunications à la NASA, étudia pour la première fois la possibilité d’utiliser l’électronique pour travailler à distance, il fut impressionné pars tous les avantages potentiels que cela représentait. Il n’était nul besoin d’être un scientifique chevronné pour en comprendre l’intérêt. La société économiserait des milliards en essence et en heures de travail productives. Les entreprises verraient chuter les dépenses liées à leurs locaux et auraient des équipes bien plus fraîches et dispos. Quant aux employés, libérés des heures passées sur l’autoroute et dans les trains de banlieue, ils bénéficieraient d’une meilleure qualité de vie, avec plus de temps, d’énergie et d’argent disponible pour leurs amis et leur famille. Vous avez dit révolution ? Il y a de bonnes raisons pour lesquelles nous n’en sommes pas encore aux voitures volantes, mais qu’en est-il du télétravail ? L’inquiétude des employés peut aussi entrer en ligne de compte.
Comment créer de nouveaux modèles d’entreprise Qu’y a-t-il de commun entre la conception de voiture et la création d’une entreprise ? Pas grand-chose hélas, regrette Alexander Osterwalder, un consultant spécialisé dans les modèles d’affaires de l’innovation. Pourtant, la conception des automobiles est structurée par une série d’étapes qui seraient grandement profitables pour structurer la conception d’une entreprise, estime l’auteur de Business Models Generation à l’occasion de la conférence Lift11 qui se tenait à Genève. « Aujourd’hui, comment se passe le lancement d’une nouvelle entreprise ? Image : Alexander Osterwalder sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin. Il nous faut apprendre du design des automobiles, estime le consultant dans sa présentation. “Combien d’entre vous ont testé votre entreprise dans la vie réelle avant de la commencer ? Peut-on inventer un langage pour décrire et concevoir les modèles d’entreprise ? L’important est-il le résultat ?
L’humiliation tue l’innovation La question de l’innovation est récurrente dans les grandes entreprises. C’est une tarte à la crème: tous les dirigeants souhaitent que leurs collaborateurs fassent preuve d’imagination et d’initiative pour inventer des solutions originales permettant de conquérir des marchés et de fidéliser les clients. Mais le concept d’innovation est difficile à cerner, souvent incantatoire, et les managers ont du mal à imaginer ce que cela signifie concrètement que de «développer l’innovation». Les nombreuses conversations que j’aie eues à ce sujet chez AREVA et ailleurs ont fini par clarifier un peu les choses dans mon esprit, à la lumière de ma compréhension de la dynamique des communautés professionnelles décrite dans mon livre en 2007. Dans ce contexte, l’ennemi absolu de l’innovation, c’est l’humiliation. Un troisième forme d’innovation, dite « participative », concerne ces “boîtes à idées” qu’on place un peu partout dans les entreprises, majoritairement en version intranet aujourd’hui.
Le covoiturage dynamique sort de l’impasse Partager Le covoiturage, victime de préjugés tenaces ? Ses vertus en matière de réductions des nuisances sont connues de longue date, mais l’auto-soliste s’accroche encore à sa voiture individuelle. Avec l’essor des nouvelles technologies, les acteurs du domaine sont techniquement prêts à passer la seconde et développent des solutions dites de covoiturage dynamique. Les entreprises et les collectivités, plus dubitatives, expérimentent ce nouveau service avec des résultats parfois mitigés. 500 milliards de dollars. Cible principale : les trajets pendulaires Dans ce domaine, les opérateurs de plateformes de covoiturage sont donc aux aguets.
Et si les entreprises pr?taient leurs salari?s aux associations?? Un Stormtrooper Lego au milieu de clowns (kennymatic/Flickr). Baisse des subventions publiques, chute des dons de particuliers... les associations vivent des heures difficiles, tandis qu’on leur demande de plus en plus de se professionnaliser. Mais depuis quelques années, grâce au mécénat de compétences, elles trouvent dans les entreprises un renfort de poids pour rendre leurs structures plus performantes. L’idée Le mécénat de compétences repose sur le transfert gratuit de compétences de l’entreprise vers la structure soutenue, par le biais de salariés intervenant volontairement sur leur temps de travail. Juridiquement, il est assimilé à la mise à disposition de personnel, dans le cadre d’une prestation de services ou d’un prêt de main d’œuvre, les bénéficiaires devant être des structures d’intérêt général. Bénédicte Menanteau, déléguée générale d’Admical, association qui milite pour le développement du mécénat en France, explique : Comment la mettre en pratique ? Ce qu’il reste à faire