Otium Cette période de temps libre, éloignée du quotidien, consacrée à des activités intellectuelles ou créatives, est devenue un enjeu social pour certains sociologues. Elle apparaît nécessaire et donc rémunérée pour certaines professions (chercheurs, universitaires), elle s'étend maintenant dans certaines entreprises à des cadres et devient une revendication de nombreux salariés[4]. Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Otium » (voir la liste des auteurs). ↑ Revenir plus haut en : a b et c Catherine Virlouvet (dir.) et Stéphane Bourdin, Rome, naissance d'un empire : de Romulus à Pompée 753-70 av. Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Otium, sur Wikimedia CommonsOtium, sur le Wiktionnaire Bibliographie[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Oisiveté Liens externes[modifier | modifier le code]
WEI OR DIE | Une fiction interactive de Simon Bouisson - Cinétévé - Résistance Films Visual Turing test Projet politique universel Alice by Florian Cali on Prezi Bédéthèque idéale #122 : Catherine Meurisse tente de retrouver “La Légèreté” La dessinatrice de “Charlie Hebdo” et auteure de BD raconte sa lente reconstruction, après le drame du 7 janvier 2015. Un itinéraire sobre et violent, doux et poignant. « Un bon dessin de presse, c'est un coup de poing dans la gueule », lui avait enseigné Cavanna. Seulement voilà, après le 7 janvier 2015, Catherine Meurisse, dessinatrice à Charlie Hebdo et auteure de bandes dessinées (dont l'enchanteur Moderne Olympia), est comme frappée d'amnésie et de tétanie. Le cri « Cette page est tirée d'une séquence qui fait suite au 7 janvier 2015 — j'entends les tirs à Charlie Hebdo sans comprendre ce qui se passe : je veux croire que deux “preneurs d'otages” ont tiré en l'air dans la salle de rédaction. Ce tableau résume exactement ce qui se passe alors dans ma tête : l'effroi total, auquel s'ajouteront la perte de mémoire, de concentration et de discernement. « Hep, mademoiselle ! « Me voilà à la campagne, dans un cadre familier, un pré pas loin d'où j'ai grandi. Le carré des Niobides
L'emploi est mort, vive le travail ! - Bernard Stiegler - Essais L’automatisation, liée à l’économie des data, va déferler sur tous les secteurs de l’économie mondiale. Dans vingt ans, pas un n’aura été épargné. Les hommes politiques sont tétanisés par cette transformation imminente, qui va marquer le déclin de l’emploi – et donc du salariat. Faut-il s’en alarmer ? N’est-ce pas aussi une vraie bonne nouvelle ? Et si oui, à quelles conditions ? Dans un dialogue très politique et prospectif avec Ariel Kyrou, Bernard Stiegler s’emploie à penser le phénomène qui, nous entraînant dans un déséquilibre toujours plus grand, nous place au pied du mur. Cela suppose de repenser le travail de fond en comble pour le réinventer – comme production de différences redonnant son vrai sens à la richesse. Bernard Stiegler est philosophe. Ariel Kyrou est essayiste, rédacteur en chef du site Culture Mobile.
Ce qu'écrire sous pression veut dire - Sébastien Bailly Qui écrit a perdu ce qu’il écrit. Au moins une fois l’ordinateur a détruit un fichier que l’on avait mis des heures à peaufiner et qu’il faudra, si l’on en a le courage, l’envie, la nécessité recommencer, réécrire. Il faudra dépasser en tout cas le découragement du moment pour passer à autre chose : une vie sans ce texte là, au moins une vie avec une autre version. De cette expérience, François Bon a parlé bien mieux que je le ferai, et en vidéo. C’est à propos du fichier perdu, du manuscrit dont on perd la trace. « Jamais un fichier sur un seul support » : adage qui mène à la disquette de sécurité à la sauvegarde automatisée et aux logiciels à sauvegarde automatique. Tout est fait en tout cas, pour échapper à l’accident. On a choisi avant de commencer à écrire : 5 minutes à une heure, c’est selon. C’est comme un écho à l’analyse de notre société par Matthew B. The most dangerous writing app nous place temporairement du côté de ceux qui ont droit au silence et à la concentration.
La maison du docteur Hitchcock, essai de généalogie clinique Le toit du Metropolitan Museum de New York est devenu, depuis quelques années, un lieu d'exposition d'art contemporain. Car il est désormais ordinaire, pour les musées classiques, d'exposer des artistes contemporains afin de montrer qu'ils ne se contentent pas de suspendre de poussiéreuses Vierges à l'enfant ou des ruines romaines grignotées par le lierre. Le Louvre, par exemple, exposa des oeuvres de Christian Boltanski, Ian Fabre, Yan Pei-Ming, Anish Kapoor, Wim Delvoye ou encore Anselm Kieffer. Le Metropolitan Museum n'est pas en reste, il accueillit notamment les fleurs de sang d'Imran Qureshi dont nous parlions dans cette précédente chronique. Aujourd'hui, c'est au tour de la grande-bretonne Cornelia Parker de proposer sur cette terrasse new-yorkaise (depuis le 19 avril et jusqu'au 31 octobre prochain) une installation intitulée Transitional Object (PsychoBarn). De quoi s'agit-il exactement ?
Geoguessr. Jouer avec Google Maps Geoguessr est un jeu en ligne étonnant basé sur Google Maps qui vous met au défi de trouver un endroit sur une carte à partir des images prises par StreetView. Le jeu est assez simple. Imaginez que vous fermez les yeux et qu’en les rouvrant vous vous retrouvez dans un endroit totalement inconnu. C’est ce que vous propose Geoguessr qui va s’appuyer pour cela sur les millions de photos prises par Streetview de Google. Geoguessr vous expédie au hasard quelque part dans le monde dans un point répertorié sur streetview. Geoguessr vous transforme en détective. Vous pouvez choisir un point au hasard ou limiter le jeu à un pays, une ville ou une thématique, par exemple les monuments célèbres. Plus intéressant encore, en créant un compte gratuit sur le site, vous aurez accès à d’autres fonctions. Lien : Geoguessr Sur le même thème
«Le repas dominical» de Céline Devaux Aujourd’hui, c’est dimanche. Jean est invité à déjeuner chez ses parents. Comme la soirée de la veille a été bien arrosée, il se demande comment se comporter. La réalisatrice Céline Devaux a étudié à l’Ecole des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD), où elle obtenu un diplôme en cinéma d’animation. «Le repas dominical» Réalisatrice : Céline Devaux Scénario : Céline Devaux Directeur musical : Flavien Berger Acteurs : Vincent Macaigne, George Blagden Production : Sacrebleu