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Les nouveaux parcours d'achat omnicanaux passés au crible

Les nouveaux parcours d'achat omnicanaux passés au crible
46% des cyberacheteurs préparent en ligne leurs achats en magasin. Mais quels dispositifs web-to-store préfèrent-ils ? Et quel rôle confèrent-ils à leur smartphone ? Entre autres enseignements de la nouvelle étude e-commerce de CCM Benchmark (éditeur du JDN), qui analyse les comportements d'achat en ligne et en magasin des cyberacheteurs, il apparaît que tous secteurs confondus, 46% des acheteurs en ligne préparent leurs achats sur Internet avant de les finaliser en point de vente physique. Cette part monte même à 70% pour les produits high-tech et électroménagers, achats chers et engageants que les consommateurs préparent de plus en plus longuement sur le Web. Consulter la disponibilité d'un produit en magasin Quels sont dès lors les dispositifs web-to-store et web-in-store les plus demandés ? Mieux que les bornes tactiles, le smartphone Méthodologie Plus d'informations sur "L'e-commerce en France – Les nouveaux parcours d'achat" Related:  marketing digital

Les 4 parties de l'Atelier - /le hub de La Poste, tendances du marketing relationnel > Retour au sommaire navigation contenu 23 avril 2015 La grande majorité des entreprises sont aujourd’hui confrontées à une révolution digitale qui transforme les usages et les modes de travail. Plutôt que de la subir, pourquoi ne pas en faire l’occasion de refondre l’organisation et les services aux clients ? Un Atelier de la Relation Client proposé par La Poste et animé par Maryse Mougin, Directeur de la Relation Clients à La Poste. La transformation digitale dans une entreprise de services, c’est quoi ? Changement de culture, innovation à tous les étages, agilité : nos trois experts expliquent et détaillent cette révolution digitale qui impacte toutes les entreprises. Chez Capgemini, un Lab’innovation pour tester en accéléré les idées Un même lieu, des technologies à la pointe, des équipes multidisciplinaires : Sylvain Canu explique le concept et le fonctionnement du Lab’innovation, accélérateur de la transformation digitale. Allianz : une nouvelle culture digitale en moins de 24 mois

Les calculs commerciaux : TVA, HT, TTC, marge... Que vous soyez vendeur ou bien gérant d'un commerce, vous devez maîtriser les calculs commerciaux sur le bout des doigts. Ce dossier synthétise les formules essentielles à connaître dans le cadre de votre métier ou activité professionnelle. Des fiches pratiques sont associées pour chacune des notions à calculer. Les formules à maîtriser : 1 - Le calcul des marges Pas facile de savoir ce qu'est une marge et surtout un taux de marge : par rapport aux achats, aux ventes ? Accéder à la fiche pratique sur le calcul des marges Pour vous aider nous mettons également à votre disposition un outil en ligne qui réalise les opérations pour vous. 2- Le calcul de la TVA Parmi les calculs commerciaux, voici un point clé qui ne doit pas avoir de secret pour vous. En B to B, soit dans les affaires interentreprises, le TTC est peu usité par le service commercial, car, client comme fournisseur, chacun raisonne en hors taxes. Accéder à la fiche pratique sur le calcul de TVA 3 - Le calcul des parts de marché

[Tribune] La boutique n'est pas morte mais doit être connectée Si la vente en ligne n'a représenté que 5,5% du commerce de détail français en 2013, les consommateurs sont résolument connectés : 91% d'entre eux se renseignent sur Internet avant d'effectuer un achat selon une étude Ifop. Le e-commerce ne va pas tuer la vente physique mais va la transformer en profondeur. La tendance est au "phygital" : l'utilisation complémentaire d'une stratégie digitale et des atouts d'un point de vente classique. Introduire le digital dans le magasin Les exemples de digitalisation des points de vente sont nombreux. Pour un shopping plus fun De nombreux dispositifs ludiques ont vu le jour et jouent sur cette convergence des techniques de vente digitales et physiques. Le beacon : un nouveau venu très prometteur La nouvelle étape de ce processus se présente sous la forme d'un outil particulièrement puissant : les beacons. D'abord développés par Apple et installés dans les Apple stores, les beacons connaissent aujourd'hui une forte croissance. Mathilde Roussel

Les consommateurs français très exigeants envers les distributeurs Le comportement des consommateurs ainsi que leurs attentes évoluent sans cesse. Pour les distributeurs, qu'ils soient e-marchands ou retailers traditionnels, connaitre ces évolutions est capital, afin de déterminer s'ils sont en phase avec elles, et le cas échéant, s'adapter. Dans son étude intitulée "La nouvelle démocratie de la distribution", Oracle met en lumière le besoin croissant des consommateurs en informations produits, mais aussi la percée des "nouvelles" technologies dans le processus d'achat, et l'attente forte d'une expérience client personnalisée. "Quelques années en arrière, les distributeurs avaient une façon de gérer les clients de manière quasi dictatoriale, explique Franck Westrelin, directeur Oracle Retail Europe du Sud. Par exemple, les horaires d'ouvertures des magasins étaient choisies unilatéralement, mais avec l'arrivée du e-commerce, les choses ont changé. Franck Westrelin, Oracle

Communication commerciale - L'Express L'Expansion Les quinze tendances du marketing de demain A chaque nouvelle année, son lot d'oracles. Data, mobilité, réseaux sociaux... Nous avons épluché pour vous les prédictions des meilleurs experts en la matière pour retenir les 15 tendances lourdes de 2015. Les leçons des champions du m-commerce Le point commun entre McDo, Leboncoin et Vente-Privée ? Les Big Data Les Big Data, qui signifie littéralement en anglais "grosse donnée", fait référence à un nombre important de données numériques, dont le traitement nécessite une redéfinition de la gestion de ces mêmes données. Big Data, pourquoi les entreprises françaises peinent à se lancer Connaître son client, prévoir son comportement et adapter en temps réel ses offres : sur le papier, les bénéfices de la Big Data sont alléchants. "Le mobile, plus qu'un canal de vente, un nouveau service" Un cinquième des audiences digitales de Darty sont d'ores et déjà mobiles. Pourquoi le m-commerce fait déjà rêver Le mouvement est lancé.

Les bonnes techniques de vente Comme il existe de nombreuses techniques de vente, la question qui se pose pour chaque entreprise est de savoir laquelle choisir. Le but de la vente Avant tout, il est essentiel de connaitre l’objectif de la vente. Avant de rencontrer un client, tout vendeur doit se mettre à l’esprit qu’il doit faire en sorte de conclure un accord commercial. Pour ce faire, il est important d’avoir un caractère humain et le sens du relationnel. Vous devez aussi également bien maîtriser le secteur de votre activité. Les qualités humaines dont un vendeur doit disposer Les qualités humaines sont essentielles pour un commercial. - Honnête : la base de la vente est la confiance. Avoir une bonne qualité relationnelle La relation avec les clients est une manière de pouvoir susciter la vente. - Être attentif : le vendeur doit écouter le client lorsqu’il parle. Se préparer pour la rencontre avec le client Afin de pouvoir convaincre un client, il est important d’élaborer un argumentaire de vente. À propos de l'auteur

- Tendances du marketing relationnel, consommation : le hub Un transfert des métiers du marketing traditionnel vers le digital Les experts interrogés par /le hub de La Poste s’accordent : alors que le marché de l’emploi est assez terne en France, le secteur du marketing et de la relation client recrute… sur certains postes. Essentiellement ceux liés au digital et à la connaissance client. Pour Martin Villelongue, responsable de la division Marketing au sein du cabinet de recrutement Michael Page : « Les fonctions marketing sont relativement conjoncturelles. Pour Claire Romanet, fondatrice et dirigeante du cabinet de recrutement Elaee, spécialisé dans les métiers de la communication, du marketing et du digital : « Le marketing est directement lié à l’acte d’achat, donc aux ventes et revenus de l’entreprise, vecteur important de sa rentabilité. Un exemple : la compétence la plus demandée sur LinkedIn l’an dernier, tous secteurs et tous métiers confondus, était le social media marketing. Pouvoir identifier les nouvelles exigences des clients

Le terminal mobile, l'allié du commercial en rayon Mallette de travail ouverte sur le sol, PC portable posé sur une palette, catalogue papier coincé sous le bras... Pas facile pour un commercial de travailler dans ces conditions! C'est pourtant souvent le cas, car le chef de rayon a de moins en moins de temps pour le recevoir dans ses bureaux. Du coup, le chef de secteur doit se contenter d'un quart d'heure d'entretien, dans le rayon, en se débrouillant comme il peut pour sa présentation. Pour pallier ce désagrément, les industriels de la grande conso ont alors ­décidé, lors du renouvellement de leur parc informatique, d'équiper leur force de vente d'outils nomades: smartphone, tablette, PC hybride. Les avantages sont nombreux: plus petits, plus légers, plus performants et rapides, plus autonomes (les batteries peuvent tenir jusqu'à 18 heures pour certains appareils, quand le maximum pour un PC portable est d'environ trois heures...), plus connectés, ludiques et modernes...

High-Tech : Boulanger, Darty, Fnac... lequel est le mieux armé face à la concurrence du Web Face à Amazon & Co, c'est l'enseigne nordiste Boulanger qui donne le plus envie d'aller en magasin. Mais Fnac et Darty sont plus numérisés. Une information du «Wall Street Journal» a récemment surpris tous les professionnels du commerce : à New York, Amazon envisagerait d'ouvrir une échoppe. Le cador de la vente sur Internet n'a pas démenti. Si c'est vrai, quelle revanche pour la boutique de papa ! «Souvenez-vous, quand les pure players sont arrivés, beaucoup annonçaient la mort rapide des magasins classiques, rappelle Frédérique Giavarini, directrice de la stratégie à la Fnac. Derrière ce mot barbare se cachent une kyrielle de services désormais bien connus des consommateurs : commander en ligne et venir chercher son produit en magasin ; acheter un objet sur le site Internet de la chaîne, depuis la tablette d'un vendeur ; sélectionner un article sur la Toile et finaliser son achat après l'avoir testé en rayon... A condition d'abord d'assurer une bonne complémentarité Web-boutique.

Les Français sont connectés, qu'attendent les magasins ? Toujours plus. Les Français ne sont pas tendres avec les magasins. C'est un comportement certes historique, mais il devient de plus en plus structurel. Ils en attendent donc davantage, quitte à payer un peu plus cher : 1 Français sur 2 fréquente moins les magasins qu'il y a 5 ans, 59% d'entre eux veulent aller à l'essentiel et 65% regrettent de ne pas avoir un conseil plus personnalisé par exemple. C'est ce que révèle une étude consacrée aux relations des Français avec les magasins signée miliboo.com et réalisée avec OpinionWay *. Principaux enseignements (extraits de l'étude) 47% des Français déclarent se rendre moins souvent en magasin qu'il y a 5 ans pour faire leurs achats. Manque de reconnaissance dans la vraie vie - 13% des sondés ont le sentiment que les magasins se souviennent des problèmes qu'ils ont rencontrés lors de leurs derniers achats - 22% pensent que les magasins se souviennent de la dernière fois qu'ils sont venus, Les vendeurs boucs émissaires Toujours plus vite

Digital : la moitié des distributeurs français ne sont pas prêts La grande distribution française serait-elle à la traine en matière de stratégie digitale ? Il semblerait. Une étude menée par le cabinet Oliver Wyman pour le compte de nos confrères de chez LSA montre en effet que parmi l'ensemble des acteurs de la grande distribution (alimentaire et non-alimentaire) interrogés - points de vente, sièges de sociétés de distribution, centrales d'achat, et e-commerçants - près de la moitié (46%) affirment que leur société n'est pas adaptée aux transformations digitales actuelles. Cependant, il est intéressant de noter que les points de vue diffèrent selon la catégorie de sondés. Plus particulièrement, les sièges des sociétés de distribution paraissent plus optimistes que les opérationnels. Ainsi, si près de 60% des sièges pensent que leur société est adaptée au digital, seuls 47,1% des personnes travaillant en points de vente sont d'accord. Source : La Mutation digitale de la distribution, Oliver Wyman/LSA, novembre 2014

Le « Big » Data Marketing : quels bénéfices pour les annonceurs et pour le consommateur final ? Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final. Le Big Data ne doit pas devenir un grand Big BlaBla : les annonceurs doivent être capables d'en tirer un bénéfice business tangible tout en étant utile pour le consommateur final.Les technologies hyper puissantes du Big Data sont aujourd’hui disponibles et les données à agréger, structurer, segmenter et exploiter ne manquent pas ! Elles foisonnent au travers des différentes sources internes ou externes de l’entreprise (Données clients, Open Data, Données Tierces…).Cependant à quels objectifs opérationnels cette masse de données crunchée répond-elle ? Quelles finalités concrètes pour les annonceurs et les consommateurs ? Du Big Data au Small et Smart Data : pour être utile au consommateur, osons le marketing de l’anticipation Du marketing de masse au marketing one-to-one

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