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Coefficient de Gini

Coefficient de Gini
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Gini. Le coefficient de Gini est une mesure statistique de la dispersion d'une distribution dans une population donnée, développée par le statisticien italien Corrado Gini. Calcul du coefficient de Gini[modifier | modifier le code] Le coefficient de Gini se calcule par rapport à la fonction (dont la représentation graphique est la courbe de Lorenz) qui associe à chaque part de la population ordonnée par revenu croissant, la part que représente ses revenus[Lesquels ?]. Il estime l'inégalité par l'écart à la courbe de Lorenz de la répartition égale (en pointillés) : c'est le rapport de la surface (A) qui sépare la courbe de Lorenz de la situation étudiée (en gras) et du triangle de surface (A)+(B). (A+B est le triangle moitié du carré 1x1) Le coefficient de Gini est égal: à la différence entre 1 et le double de l'intégrale de la fonction représentée par la courbe de Lorenz. Coefficient de Gini en 2009 Y.

Au programme du Yéti (1), revenu minimum et partage des profits | Rue89 Rien n’y fait ! Face à une situation de plus en plus catastrophique, les tenants du système néolibéral continuent de ressasser à l’envie leur vieilles lunes désormais périmées. Et, par l’indigence de leurs propositions, voire leur absence totale de projet, « les oppositions » montrent qu’elles sont plus enclines à s’opposer à un ancien monde défait qu’à en proposer un nouveau. Mais baste, la chienlit dans laquelle nous sommes irrémédiablement plongés permet toutes les audaces ! Dans ces conditions, pourquoi ne pas mettre soi-même la main à la pâte ? La révision de l’échelle des revenus Il est évident qu’une des mesures les plus urgentes à exiger est la révision drastique de l’échelle des revenus (salaires, mais aussi revenus non salariaux). Certains diront que le rapport de 1 à 20 est encore énorme. Le premier facteur prend en compte la nature humaine et lie le sort des hauts revenus à celui des revenus du bas de l’échelle pour limiter les appétits des dominants. Le gendarme fiscal

Dissertation Dissertation appuyée sur un dossier documentaire Il est demandé au candidat : De répondre à la question posée explicitement ou implicitement dans le sujet ; · de construire une argumentation à partir d’une problématique qu’il devra élaborer ; · de mobiliser des connaissances et des informations pertinentes pour traiter le sujet, notamment celles figurant dans le dossier ; · de rédiger en utilisant un vocabulaire économique et social spécifique et approprié à la question, en organisant le développement sous la forme d’un plan cohérent qui ménage l’équilibre des parties. Il sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l’expression et du soin apporté à la présentation. Sujet Dans quelle mesure la croissance permet-elle de réduire les inégalités ? Document 1 : La croissance de l'économie française a débouché sur une transformation profonde des modes de vie au cours du siècle [...]. [...] Source : Alternatives économiques, Hors série n°42, 1999. (1)BIT : Bureau international du travail. [...]

08- L’emploi et la répartition des gains de productivité Parmi toutes les fables qui ont couru et courent encore sur la bonne politique à mener pour lutter contre le chômage, celle concernant une “ préférence française pour le chômage ”, dite encore du choix entre emploi et salaires, est l’une des plus connues. Elle a pour fondement l’idée qu’il est impossible de modifier le partage de la valeur ajoutée entre salaires et profits et que la seule répartition modifiable se situe au sein de la masse salariale. Le rapport Pisani-Ferry adopte le même postulat, aussi bien quand il recommande la modération du pouvoir d’achat salarial que lorsqu’il préconise d’ici quelques années d’augmenter de nouveau la durée du travail. Or des marges de manœuvre pour promouvoir l’emploi et restaurer le lien social peuvent et doivent être cherchées dans un partage plus équitable des gains de productivité. 40% pour les profits n’est pas une loi naturelle Enterrer la réduction du temps de travail ? Examinons cette argumentation. . . . . . . .

La lutte des classes serait mathématiquement prouvée – alors que l’INSEE s’appliquerait à l’effacer. Préliminaires avec des fourmis En 1946, un certain Weber publie un article [1] sur le « dimorphisme chez l’ouvrière africaine Oecophylla ». Très simplement, cet entomologiste mesure 300 fourmis et les répartit selon leur taille. Il obtient le graphique suivant : Fig. 1. La première barre indique que Weber a trouvé huit fourmis de 40 mm, la seconde qu’il a trouvé 41 fourmis de 45 mm, la troisième 52 fourmis de 50 mm, etc. Cette distribution est dite bimodale, ce qui signifie que deux cloches sont discernables dans l’histogramme. De cette bimodalité Weber conclut qu’il existe chez sa fourmi deux populations distinctes d’ouvrières, les unes mesurant autour de 50 mm, les autres autour de 80 mm. Un standard La démarche de Weber est standard. Mais curieusement, s’agissant de la distribution des richesses chez l’humain, c’est rarement cette méthode toute simple que l’on choisit. Une seule classe, suggère l’Insee Eh bien, l’Insee donne raison aux modernes. Représentons-les graphiquement : Dessin de Zag

Le casse du siècle Hier soir, aux environs de 20 heures, des cris de joies ont résonné dans les bureaux de ONE. Nous venions d’apprendre une nouvelle historique ! En effet, le Parlement européen, les Etats membres et la Commission européenne se sont enfin entendus sur un texte qui impose une transparence inédite aux industries extractives afin de renforcer la lutte contre la corruption. Les entreprises pétrolières, minières, gazières et forestières seront dorénavant obligées de rendre public tous les paiements versés aux gouvernements des pays tiers, détaillés projet par projet et sans aucune exemption. Ce succès sans précédent n’aurait pu voir le jour sans une mobilisation des citoyens européens, dont vous, chers membres de ONE. Comme Bono l’a toujours dit, la transparence est un des meilleurs vaccins contre la corruption. Aujourd’hui, 1,5 milliards d’habitants des pays africains, riches en ressources naturelles, vivent sous le seuil de pauvreté. Encore mille mercis pour votre soutien.

Le partage des fruits de la croissance aux Etats-Unis Le texte ci-après est librement traduit de "Dividing the pie", The Economist, Feb 2nd 2006. Il est illustré par quelques liens et par quelques graphiques extraits des études citées.À qui sont allés les gains de productivité ? La forte croissance de la productivité américaine n’aurait guère profité aux travailleurs: les entreprises auraient serré les salaires alors même qu'elles faisaient des bénéfices records. Quelle qu’en soit la raison – la concurrence des ouvriers chinois, les coûts croissants de l’assurance-maladie ou l'affaiblissement des syndicats –, la perception commune est que le boom de la productivité n’a pas rapporté grand-chose à Joe Sixpack. Mais comparer la croissance des salaires et celle de la productivité est moins simple qu'il n’y paraît. Pour Ian Dew-Becker et Robert Gordon, deux économistes de l'université Northwestern, la plus grande partie de la dissonnance apparente est purement statistique. Car l'inégalité des salaires a beaucoup augmenté depuis trente ans.

Les 100 personnes les plus riches ont un revenu annuel qui pourrait permettre d'éradiquer quatre fois la pauvreté INÉGALITÉS – Du 23 au 27 janvier, les grands de ce monde se retrouvent à Davos, petite station de sports d'hiver du canton des Grisons en Suisse, pour la traditionnelle réunion annuelle du Forum économique mondial. Les semaines précédant le sommet, lobbys et ONG ont coutume de mettre en lumière quelques-uns des problèmes les plus urgents de la planète à grands coups de rapports et de mises en perspectives déroutantes. À quelques jours de la 43e édition du rassemblement, l'organisation humanitaire Oxfam n'a pas dérogé à la règle en dévoilant son rapport sur les inégalités, "The cost of inequality : how wealth and income extremes hurt us all". Avec une idée choc: le revenu annuel des 100 personnes les plus riches pourrait permettre d'éradiquer quatre fois la pauvreté. Un "new-deal" pour lutter contre les inégalités ? Loading Slideshow 26.

Les inégalités de revenus et la pauvreté s’accroissent dans la plupart des pays de l’OCDE Les inégalités de revenus et la pauvreté s’accroissent dans la plupart des pays de l’OCDE « Le fossé entre les riches et les pauvres s’est creusé dans trois pays de l’OCDE sur quatre ces deux dernières décennies. C’est ce que constate un nouveau rapport de l’OCDE. Selon ce rapport, intitulé « Croissance et inégalités », la croissance économique au cours des 20 dernières années a davantage bénéficié aux riches qu’aux pauvres. Dans certains pays, notamment l’Allemagne, le Canada, les États-Unis, la Finlande, l’Italie et la Norvège, l’écart s’est également accentué entre les riches et la classe moyenne. » OCDE, 21 octobre 2008 Les pays où l’éventail des revenus est large connaissent généralement une pauvreté monétaire plus marquée. Lors du lancement de ce rapport à Paris, le Secrétaire général de l’OCDE, Angel Gurría, a mis en garde contre les problèmes dus aux inégalités et souligné la nécessité, pour les gouvernements, de s’y attaquer. « Une inégalité croissante est un germe de division.

Observatoire des inégalités Observatoire des inégalités 7 juin 2013 - Moins de 10 % de la population mondiale détient 82 % du patrimoine mondial, alors que 3 % vont à 70 % des habitants. L’Amérique du Nord et l’Europe en possèdent 67 %. Le patrimoine mondial total détenu par les habitants de la planète est estimé à 223 000 milliards de dollars en 2012, selon les données du Crédit Suisse dans son rapport Global Wealth Databook 2012 (en anglais), soit une moyenne de 49 000 dollars par individu. Il est réparti de façon profondément inéquitable : 82,4 % de ce patrimoine est détenu par seulement 8,1 % de la population dont le niveau de fortune est supérieur à 100 000 dollars. Les ultra-fortunés représentent une petite frange de 0,6 % de la population qui détient plus de 39 % du patrimoine mondial - soit 29 millions d’adultes, dont 25,6 millions ont un patrimoine compris entre 1 et 50 millions de dollars et 84 500 personnes dont la fortune est supérieure à 50 millions de dollars. Une répartition géographique inéquitable Voir le classement complet :

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