Le leadership clef de voûte de la démarche RSE articles liés Constant Calvo Nombreux sont les experts qui critiquent les business schools et les accusent d’être incapables de préparer les nouvelles générations à devenir les futurs leaders de la responsabilité sociétale; ou qui fustigent les lenteurs de la mise en œuvre de l’égalité hommes femmes, et les résistances individuelles, collectives et systémiques qu’elle suscite, dans la mesure où ces dernières particulièrement engagées et impliquées dans les objectifs du développement durable et de la RSE font preuve de leadership. Lorsqu’on parle de leadership on est enclin à penser qu’il s’agit nécessairement d’une personne physique, et, de ce point vue, on tend à entretenir la confusion sinon l’amalgame entre leadership et charisme. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le leadership n’est pas une qualité ou compétence seulement associée à un individu, mais aussi à l’entreprise. Les médias du groupe Finyear
Le web marketing : escroquerie ou illusion ? J’éprouve toujours une certaine méfiance quand on commence à parler de web marketing autour de moi. Honnêtement je ne crois pas au concept tel qu’il est généralement vendu aux entreprises : une opération mystérieuse qui va permettre de créer une identité « online », de générer du « buzz » et de créer in fine du « ROI ». Tout cela avec des outils technologiques hyper sensibles et à changement hyper véloce. Outils dont la nature impliquent donc que l’on saura toujours mieux faire que le client, qui lui n’a pas le temps de réapprendre les arcanes du web toutes les semaines… Au final c’est souvent l’image du pachinko qui me vient à l’esprit. Or même si le web est un terrain de jeu complexe aux règles parfois absurdes, pour les entreprises, il n’en reste pas moins que les mécanismes sous-jacents sont assez simples et n’ont que peu changé depuis des années. Je vous propose donc une présentation qui me sert assez souvent en ce moment pour des clients dans l’univers du 2.0 et du web social.
Le marché des avions grossit, le duopôle Airbus-Boeing s’effrite... - Aéronautique Les besoins en avions n’ont jamais été aussi forts, le marché aussi porteur. De quoi contenter les géants Airbus et Boeing. Mais aussi les nouveaux acteurs qui comptent bien profiter du boom... Le ciel est si bien dégagé, qu’aucun nuage ne semble le menacer. Airbus vient de publier ses prévisions de demandes mondiales d’avions pour les vingt prochaines années. Sans surprises, cette croissance sera essentiellement tirée par les émergents qui voient dans l’aviation un outil pour soutenir leur développement économique. De nouveaux entrants qui se bousculent "Un cinquième de la population des marchés émergents effectue un vol par an et, d’ici 2032, ce taux passera à deux tiers", peut-on lire dans le document d’Airbus, citant John Leahy, directeur des ventes. Quels industriels profiteront de cette envolée des commandes ? Mais les nouveaux entrants ne comptent pas faire éternellement de la figuration. Les long-courriers comme dernier rempart Olivier James
Méthode PESTEL - définition et exemples d'analyse Qu'est-ce qu'une analyse PESTEL ? A l'instar du modèle de Porter (les 5 forces), l'objectif de l'analyse PESTEL est d'évaluer l'influence des facteurs externes sur l'entreprise étudiée. Le point de départ indispensable pour toute étude sur le macro-environnement de l'entreprise. Que signifie l'acronyme PESTEL ? PESTEL est l’acronyme des 6 facteurs d'influence formant un cadre d’analyse de l’environnement externe : Politique : ensemble des décisions prises par les gouvernements nationaux et instances internationales (comme les décisions de l'Union européenne, de l'OMC...) qui fixent de nouvelles règles du jeu. Cette analyse externe permet d'identifier les forces de son environnement susceptibles d'avoir un impact positif ou négatif sur les activités de son entreprise sur le moment ou dans le futur. Remarque - Il existe aussi une approche plus synthétique : PEST, excluant les aspects législatifs et écologiques. Les enjeux de l’analyse externe Pourquoi réaliser une analyse PESTEL ? Avantages
Voici comment les grandes entreprises motivent leurs salariés Travailler chez Google, Microsoft ou Facebook, ça en fait rêver plus d’un. Dans la majorité des classements sur les entreprises où il fait bon travailler, ces multinationales caracolent généralement en tête de liste. Question d’image, de moyens financiers mis à disposition, de fidélisation des employés et d’attraction des meilleurs talents de ce monde. Et oui car pour attirer les meilleurs candidats, il faut les choyer, leur proposer des avantages qu’ils ne trouveront pas ailleurs, les faire se sentir unique, leur montrer que l’entreprise est (quasiment) prête à tout pour qu’ils se sentent bien. Motivation au travail rime avec avantages! Voici une infographie très complète réalisée par NexGeneration sur la manière dont ces grandes entreprises motivent leurs collaborateurs. Avantage proposés aux salariés de Google, Airbnb ou encore Facebook (Source: Nextgeneration) La bonne réputation d’une entreprise sur son environnement de travail, élément déterminant pour les candidats
Ecommerce : Les types d'acheteurs en ligne Définition de l’acheteur en ligne Toute personne ayant effectué un acte d’achat directement sur un site web ou indirectement dans un magasin réel suite à une recherche d’informations relatives à cet achat sur le web. Que pensez-vous de cette définition ? Proposez la votre en commentaire si elle ne vous semble pas complète ! Classification des e-acheteurs Selon une étude (Mc Kinsey), les internautes, acheteurs peuvent être classés en sept groupes : - Les Accros : Ce sont les plus gros utilisateurs mais sont seulement 11% du total. « Pour eux, Internet est un loisir, ils l’utilisent pour tout et tout le temps. - Les Explorateurs : Ils représentent le segment le plus vaste avec 26% des internautes. - Les Pragmatiques : 21% du total. - Les Communicants : 22% du total. - Les Info-glaneurs : 14% du total. - Les Marchandeurs : 3% du total. - Les Monomaniaques : 3% du total.
Comment booster sa prospection ? Dans encore de (trop) nombreuses entreprises la prospection est encore gérée de manière artisanale : on confie aux nouveaux commerciaux un fichier Excel avec une liste de clients, un téléphone portable et une voiture… et après une formation sur le tas on l’envoie sur le terrain… On trouve la preuve de cet « amateurisme » dans de nombreuses études, comme par exemple celles du Mercator ou le Portail des PME menées en 2009, qui ont présentés des chiffres étonnants lorsque l’on sait que pour 85% des entreprises le développement du chiffre d’affaires est la priorité N°1 : – 50% des entreprises déclarent relancer leurs devis uniquement si elles en ont le temps. – 23% n’ont pas planifié un cadencement d’opérations commerciales dans l’année. – … Or la prospection doit être structurée et optimisée pour assurer un maximum d’efficacité à l’entreprise. Il doit y avoir un vrai travail de connaissance du client et de l’analyse de ses motivations. La Pyramide de la Prospection Cas clients : En conclusion…
Le Modèle PESTEL » 50Minutes.fr - Élargissez vos horizons L’analyse PESTEL, aussi appelée modèle PESTEL, permet au manager de recenser les principaux facteurs macroéconomiques ayant une influence potentielle sur l’évolution future de l’entreprise. L’identification de ces facteurs et la construction de différents scénarios conduisent le manager à anticiper au mieux les décisions stratégiques à prendre pour garantir la pérennité de l’entreprise. L’analyse de la conjoncture économique, rendue possible par des outils tels que le modèle PESTEL, permet la mise en place d’une stratégie compétitive dans le but de parvenir à un avantage concurrentiel qui assurera le bon développement de l’entreprise. Pourquoi acheter le livre « Le Modèle PESTEL » ? En achetant notre ouvrage sur l’analyse PESTEL, vous gagnerez un temps précieux et vous serez plus à même de : • identifier les facteurs évolutifs de l’environnement macroéconomique ; • initier une discussion proactive pour aborder l’avenir sereinement ; • prévoir les changements probables.
Comment fidéliser ses salariés autrement que par l’argent ? Selon une étude américaine, le départ volontaire d’un salarié causerait une perte comprise entre la moitié de son salaire annuel et jusqu’à trois fois son salaire (dans le cas par exemple d’un commercial qui part avec ses clients). Ces chiffres ne prennent pas en compte les effets négatifs d’un tel départ sur le reste de l’équipe, dans les entreprises de moins de 20 salariés. La fidélisation des salariés est donc un enjeu majeur pour une entreprise, quelle que soit sa taille. Envisagez vos collaborateurs comme des clients Pour fidéliser ses salariés, il faut commencer par accepter un principe simple : les salariés sont les clients du service de ressources humaines. N’oubliez jamais que les deux critères qui priment le plus souvent pour les salariés ce sont les opportunités de carrière au sein de l’entreprise et l’équilibre vie privée/vie professionnelle. Managez vos managers Ménagez un cadre optimal de travail Prenons l’exemple de Google. Pensez aux avantages en nature défiscalisés
L'Europe veut-elle tuer le e-commerce ? Le commerce en ligne, c’est aujourd’hui environ 10% des transactions en Europe. D’après plusieurs spécialistes (notamment J.A. Granjon), le potentiel de croissance reste énorme. Cependant, l’Europe présente des règles différentes selon les pays. Une simplification est donc en cours, qui risque d’avoir des répercussions économiques fortes pour ce secteur. Article rédigé par Cyril Bladier. Le commerce en ligne, c’est aujourd’hui environ 10% des transactions en Europe. Cette différence de règles pénalise à la fois les consommateurs et les entreprises. 1 mois de réflexion Aujourd’hui, les clients ont 7 jours pour retourner un article. Remboursement anticipé Malgré ce délai d’un mois accordé aux clients, les sites marchands n’auront que 14 jours (après la notification) pour rembourser. 2 à 3 fois plus de retours Si la commande dépasse 40 €, c’est au commerçant de prendre en charge les frais de retourn en plus des frais de livraison. Rien n’est encore joué