Ressource non renouvelable Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une ressource naturelle est qualifiée de non renouvelable ou épuisable lorsque sa vitesse de destruction dépasse, largement ou non, sa vitesse de création. Ainsi un sol se forme en quelques siècles à plusieurs millénaires suivant les conditions chimiques, physiques et biologiques et est actuellement détruit dans certaines régions en quelques dizaines d'années, voire quelques années. On parle au contraire de ressource renouvelable lorsque leur production est possible sur un temps court (production animale, végétale, etc.) et ne consomme pas elle même une ressource non renouvelable, ou lorsque la ressource n'est pas détruite par l'usage (énergie marémotrice, énergie éolienne, énergie solaire). Modèles économiques[modifier | modifier le code] mplpmLa prise de conscience du caractère non renouvelable de certaines ressources est relativement récente. Histoire[modifier | modifier le code] Situation actuelle[modifier | modifier le code]
Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) | fírgoa Tomales Bay Institute: The Commons Rising (PDF) From public schools and universities to public lands and other natural resources, from the media with their broadcast and digital spectrums to scientific discovery and medical breakthroughs, a broad range of the American commons is shifting from public responsibility to private exploitation. — Bill Moyers The idea of the free market has become so widespread it’s hard to remember when public stadiums weren’t named for private corporations. But evidence is mounting—from catastrophic climate disruption to unprecedented disparities in wealth—that our present corporate-dominated economic system is leading to ecological and social disaster. There must be an alternative. In fact, there is an alternative, and it’s on the rise.
IASC COMMONS (iasc_commons) Digital Library Of The Commons Digital Library of the Commons hidden Image DatabaseExport Citations Menu: Search the DLC Advanced Search Browse the DLC My Account Commons Links DLC Home Digital Library Of The Commons Repository The Digital Library of the Commons (DLC) is a gateway to the international literature on the commons. Submit an Item DLC is a collaborative project of the: Generous funding has also been provided by the: About The Commons Feedback - Tell us about your user experience Select a Document Type Vincent and Elinor Ostrom Workshop in Political Theory and Policy Analysis | 513 N.
Le bien commun : l'assaut final - Un documentaire de Carole Poliquin Nombreux sont ceux qui pensent qu’en France le projet de loi « Création et Internet » (ou Hadopi) n’est pas qu’une simple question technique et juridique pour endiguer le « piratage », mais se situe bien au delà, sur le front politique et sociétal de la défense des biens communs contre une « marchandisation » croissante des activités humaines, ici la culture[1]. C’est pourquoi il nous a semblé intéressant de proposer aux lecteurs de passage un « vieux » documentaire que vous n’avez peut-être pas eu l’occasion de voir à sa sortie en 2002 (durée : 1 heure). Il a pour titre Le bien commun : l’assaut final et a été réalisé par la québécoise Carole Poliquin (dont nous avons obtenu accord pour diffusion). Voici ce qu’en disait Bernard Langlois dans le journal Politis : Sur le fond, c’est une charge très argumentée, très démonstrative contre la mondialisation libérale, nourrie de reportages et de témoignages recueillis au Canada, au Mexique, aux États-Unis, en Inde, en France. Loaded: 0%
Elinor Ostrom Debunks Tragedy of the Commons Nobel Prize-winning economist Elinor Ostrom proved that people can—and do—work together to manage commonly-held resources without degrading them. posted Oct 27, 2009 The biggest roadblock standing in the way of many people’s recognition of the importance of the commons came tumbling down when Indiana University professor Elinor Ostrom won the Nobel Prize for Economics. Garrett Hardin described the Tragedy of the Commons with a hypothetical example of shared herding land: If all herders make the individually rational economic decision of increasing the number of cows they graze on the land, the collective effect will deplete or destroy the common. Over many decades, Ostrom has documented how various communities manage common resources—grazing lands, forests, irrigation waters, fisheries—equitably and sustainably over the long term. Garrett Hardin himself later revised his own view, noting that what he described was actually the Tragedy of the Unmanaged Commons. -Elinor Ostrom YES!
Biens Communs -- Commons -- Bens comuns -- Bienes comunes La présentation du Manifeste pour la Récupération des Biens Communs à l'occasion du FSM 2009 à Belém au Brésil, marque le point de départ d'une campagne de mobilisation pour la préservation, la reconquête et la création des Biens Communs. Le but de cette campagne est de populariser la notion de Biens Communs en ouvrant un espace participatif de réflexion et de partage de toutes les initiatives concernant le futur des Biens Communs. Le manifeste est un point de départ. Chacun et chacune est cordialement invité à le commenter, à en faire la critique, et aussi à partager ses visions, ses idées et ses pratiques des biens communs. Nous invitons chacune et chacun à signer le manifeste, à mettre en débat les idées qu'il présente et les faire circuler. Les initiatives et les pratiques en rapport avec les biens communs sont nombreuses et très variées.
Cause commune Cause commune : l’information entre bien commun et propriété vient d’être réédité en livre numérique chez publie.net avec une préface originale. L’édition papier a paru aux Editions Fayard dans la collection Transversales (février 2005). Pour des informations sur les traductions choisissez la langue correspondante dans les menus de bas de page. Achetez le livre numérique : chez publie.net Achetez le livre papier : Achetez le chez votre libraire préféré, ou si ce n’est pas possible en ligne (Alapage, Amazon, Decitre, FNAC) … et / ou téléchargez le La version PDF du livre Cause commune : l’information entre bien commun et propriété est mise à disposition sous un contrat Creative Commons Télécharger (format PDF) Quatrième de couverture L’information et ses technologies refaçonnent notre univers technique, social et éthique, mais ces bouleversements se font dans deux directions opposées selon que l’on choisit d’en encourager l’appropriation privée ou d’en faire des biens communs. Revue de presse
Category:Commons = What we share. Creations of both nature and society that belong to all of us equally, and should be maintained for future generations. The Commons has the potential to replace the commodity as the determining form of re-/producing societal living conditions. Such a replacement can only occur, if communities constitute themselves for every aspect of life, in order to take „their“ commons back and to reintegrate them into a new need-focused logic of re-/production. [1] This new section exclusively devoted to the emergence of Commons in various fields. Most commons fall into three general categories – gifts of nature, material creations, and intangible creations (i.e. the Three Commons. [2]. "Our global economic system is now in grave crisis, threatening the entire planet, its institutions and species. A new kind of common wealth is needed to protect the assets of Earth, resolve our private and public debts, and create a global society of justice, sharing and sustainability for everyone.
Quelles différences entre les biens communs et le communisme ? » Article » OWNI, Digital Journalism Quelle sont les similitudes divergences entre les traditions socialistes et l'émergence des idées et pratiques liées au P2P et des biens communs ? Michel Bauwens, fondateur de la P2P Foundation, nous explique sa vision. Titre original : How does the idea of p2p and the commons differ from the socialist tradition? Dans cet article du journal Pagina 12, le journaliste Mariano Blejman écrit que je mets sur le même plan le matériel ouvert et socialisme. Et c’est également le message qui semble être relayé aujourd’hui sur twitter. Ceci n’est pas exactement ma position, et j’aimerais donc en profiter pour publier de nouveau un précédent article qui explique notre positionnement vis à vis du socialisme. Quelle est la connexion entre la tradition historique du socialisme/communisme et l’émergence contemporaine des idéologies liées au peer to peer et des biens publics ? Notre interprétation du communisme Et le Peer to Peer ? Quelles sont alors les principales différences avec le communisme ?
La redécouverte des biens communs Traduction de l'anglais de «The Rediscovery of the Commons» David Bollier David Bollier est un spécialiste en stratégie, journaliste et consultant indépendant avec des activités d'intérêt général variées. La majorité des travaux récents de Bollier a été concentrée sur la défense vigoureuse des communs comme un nouveau paradigme en politique, économie et culture, un thème qu'il a exploré dans son ouvrage Silent Theft: The Private Plunder of Our Common Wealth (Routledge, 2002). Traduction de l'anglais: Olivier Berger Copyright © 2003 David Bollier Résumé Le discours qui prévaut pour parler de l'Internet est celui du marché. The prevailing discourse for talking about the Internet is that of the market. Les catégories intellectuelles de la doctrine du libre marché sont ancrées si profondément dans notre conscience qu'il est souvent difficile de voir le monde tel qu'il existe. Le discours qui prévaut pour parler de l'Internet est celui du marché.
Tragedy of the commons Self-interests causing depletion of a shared resource The tragedy of the commons is a metaphoric label for a concept that is widely discussed, and criticised, in economics, ecology and other sciences. According to the concept, should a number of people enjoy unfettered access to a finite, valuable resource such as a pasture, they will tend to over-use it, and may end up destroying its value altogether. Even if some users exercised voluntary restraint, the other users would merely supplant them, the predictable result being a tragedy for all. The metaphor is the title of a 1968 essay by ecologist Garrett Hardin. As another example, he cited a watercourse which all are free to pollute. The principal concern of Hardin's essay was overpopulation of the planet. Some scholars have argued that over-exploitation of the common resource is by no means inevitable, since the individuals concerned may be able to achieve mutual restraint by consensus. Expositions[edit] Classical[edit] Application[edit]
Ming the Mechanic: Ten incredible things we get for free by Flemming Funch Life2.0: Here are 10 wonderful things that just seem to happen by themselves: • Diversity & Harmony • Connection & Friendship • Self-organisation & Synergy • Resonance & Synchronicity • Insight & The spread of great ideas • Emergence & Paradigm Shifts • Learning & Growth • Happiness & Flow • Healing & Forgiveness • Relaxation & Enlightenment Not a bad list is it? My favorite stuff in life is that kind of stuff that comes for free, the stuff one can't control, but that is great when it happens. And my favorite passtime is to try to figure out how to make those kinds of things happen anyway. That's a bit of a paradox, of course. This kind of knowledge is surprisingly scarce, but not altogether non-existent. You can't organize emergence. You can't force synergy. Humans are still a little too dumb to really have it figured out. But, luckily, these kinds of mysterious emerging phenomena happen anyway.
Le partage est légitime Le partage de fichiers représentant des oeuvres couvertes par le droit d’auteur entre individus sans but de profit a été rendu illégal au cours des 30 dernières années dans la plupart des pays et dans la plupart des cas. Cela ne m’empêche d’affirmer haut et fort que l’acte de prendre une oeuvre numérique qu’on a acquis et de la copier, la rendre accessible à d’autres ou leur envoyer est non seulement légitime, mais une contribution essentielle à l’établissement d’une culture commune. Je propose de défendre cette position en suivant les points suivants: montrer l’utilité du partage (délimité comme ci-dessus) et sa légitimité même sans autorisation des auteurs, montrer que lorsqu’on l’interdit, les pratiques culturelles appauvrissantes chassent les pratiques enrichissantes, et finalement affirmer que la prohibition du partage sera un jour vue comme un étonnant obscurantisme. 1. Le partage est utile et légitime même lorsqu’il concerne des œuvres dont on n’est pas l’auteur 2. 3.