Humaniste - Carl Rogers
Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Cette approche a été introduite en France sous l'appellation de méthode non-directive dans les années 1950, mais Carl Rogers l'avait déjà dénommée psychothérapie centrée sur le client (« Client-Centered Therapy ») puis approche centrée sur la personne (« Person-centered Approach »). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ᵉ psychologue le plus important du XXe siècle[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études[modifier | modifier le code] Les trois attitudes rogériennes[modifier | modifier le code] L'empathie (ou verbalisation) s'exprime par des messages verbaux et non verbaux. 1930.
Irving Janis
Irving Lester Janis (May 26, 1918 – November 15, 1990) was a research psychologist at Yale University and a professor emeritus at the University of California, Berkeley most famous for his theory of "groupthink" which described the systematic errors made by groups when making collective decisions.[1][2] Early years[edit] Irving Janis was born on May 26, 1918 in Buffalo, New York.[2] He received a bachelor of science degree from the University of Chicago in 1939, then received a doctorate from Columbia University.[3] Career[edit] During his career, Janis studied decisionmaking in areas such as dieting and smoking. Janis also made important contributions to the study of group dynamics. Janis wrote or co-wrote more than a dozen books, including Psychological Stress (1958), Victims of Groupthink (1972), Decision Making (1977), Groupthink (1982), and Crucial Decisions (1989).[1][3] Personal life[edit] Janis was married to Marjorie Janis, with whom he had two daughters. Selected books[edit]
Constructivisme
Le constructivisme est une théorie de l’apprentissage fondée sur l’idée que la connaissance est élaborée par l’apprenant sur la base d’une activité mentale. Cette théorie repose sur l’hypothèse selon laquelle, en réfléchissant sur nos expériences, nous nous construisons et construisons notre propre vision du monde dans lequel nous vivons. Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d’appréhender les réalités qui l’entourent. L’enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que toute personne apprend mieux lorsqu’elle s’approprie la connaissance par l’exploration et l’apprentissage actif, les mises en pratique remplaçant les manuels. Le modèle andragogique de l’apprentissage chez les adultes, développé notamment par Malcolm Knowles, ne dit pas non plus autre chose que cela. Bibliographie
Modèle social - John DEWEY
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dewey. John Dewey XIXe siècle-XXe siècle John Dewey en 1902 Sa philosophie est d'abord marquée par l'instrumentalisme, c'est-à-dire par sa volonté de rompre avec une philosophie classique qu'il voyait comme plus ou moins liée à la classe dominante, pour en faire un instrument permettant aux hommes de mieux s'adapter au monde moderne. Dewey a participé également, en parallèle avec le Nouveau Libéralisme anglais, à la constitution de ce qui est actuellement nommé le « social-libéralisme » dont il se situe à l'aile gauche. Biographie[modifier | modifier le code] Son parcours[modifier | modifier le code] Les années de jeunesse[modifier | modifier le code] Les années à l'université de Chicago[modifier | modifier le code] En 1886, il se marie à Alice Chipman, une femme d'une grande force de caractère dont il a six enfants. Maturité et postérité[modifier | modifier le code] Bibliothèque Harper de l'université de Chicago.
Stanley Milgram
Stanley Milgram (August 15, 1933 – December 20, 1984) was an American social psychologist. He conducted various studies and published articles during his lifetime, with the most notable being his controversial study on obedience to authority, conducted in the 1960s during his professorship at Yale.[1] Milgram was influenced by the events of the Holocaust, specifically the trial of Adolf Eichmann, in developing this experiment. His small-world experiment while at Harvard would lead researchers to analyze the degree of connectedness, most notably the six degrees of separation concept. Biography[edit] Early life[edit] Stanley Milgram was born in 1933 to a Jewish family in New York City,[2] the child of a Romanian-born mother, Adele (née Israel), and a Hungarian-born father, Samuel Milgram.[3][4] Milgram's father worked as a baker to provide a modest income for his family until his death in 1953 (upon which Stanley's mother took over the bakery). Professional life[edit] References in media[edit]
Socio-constructivisme
Ce mouvement pédagogique est à la base des principes du social learning. Mais de quoi s’agit il ? En réalité, il font suite aux travaux de Piaget, et démontrent que le processus d’assimilation/accommodation est en réalité assuré par une médiation sociale dans laquelle l’apprenant est co-auteur dans l’acquisition de la connaissance. Ainsi le processus d’apprentissage comporte plusieurs dimensions : la capacité cognitive de l’individu en terme de développement neuronal par exemple mais aussi la richesse des interactions sociales dont il pourra bénéficier. Lev Vigotsky (1896 – 1934) est un psychologue russe connu en occident depuis les années soixante pour ces travaux sur les apprentissages des groupes d’individu. Le tableau suivant présente succinctement les grandes différences entre les positions de ces deux chercheurs : Ainsi, ces travaux prolongent les travaux de Piaget, plus individualistes, en intégrant les influences sociales. A consulter ici
Faire apprendre : vocation, profession, occupation ou passe-temps ?
Il existe plusieurs appellations pour nommer celui à qui on donne le mandat de faire apprendre. Qu’on le nomme enseignant, professeur, maître, formateur, animateur, pédagogue, instructeur, moniteur ou éducateur, sa fonction est toujours essentiellement la même : amener la personne en formation à changer. Là où le bât blesse le plus souvent, c’est dans la manière d’agir de celui qui est en avant de la classe pour atteindre le but et les attentes de la formation qui fait en sorte que la raison d’être de la fonction s’en trouve dénaturée. Contrairement à la pensée populaire, être un enseignant ou un formateur compétent ne relève pas d’un don que l’on reçoit à la naissance. Il est vrai que certaines personnes ont des aptitudes à faire apprendre qui semblent nous indiquer que cela relève plus de ce qu’ils sont que de ce qu’ils savent. Faire apprendre a toujours été, et est encore, une tâche complexe. Ce n’est pas parce que c’était vrai à cette époque que cela l’est encore de nos jours.
Solomon Asch
Solomon Eliot Asch (September 14, 1907 – February 20, 1996) was an American Gestalt psychologist and pioneer in social psychology. He created seminal pieces of work in impression formation, prestige suggestion, conformity, and many other topics in social psychology. His work follows a common theme of Gestalt psychology that the whole is not only greater than the sum of its parts, but the nature of the whole fundamentally alters the parts. Asch stated, “Most social acts have to be understood in their setting, and lose meaning if isolated. No error in thinking about social facts is more serious than the failure to see their place and function” (Asch, 1952, p. 61).[1] He is most well known for his conformity experiments, in which he demonstrated the influence of group pressure on opinions. Early life[edit] Asch was born in Warsaw, Poland on September 14, 1907 to a Jewish family. In 1920 Asch emigrated at the age of 13 with his family to the United States. Education[edit] Family life[edit]